Marcel Duchamp Les Readys Made

exemple, aux Ready Made de Duchamp (que Man Ray avait d'ailleurs connu et fréquenté à New York, à l'époque du dadaïsme américain); l'innovation des dadaïstes tient entre autres dans l'utilisation d'un matériau qui a déjà sa place dans la vie courante et qui est détourné de son lieu, abstraitcomme on l'a suggéré précédemment, pour être replacé dans un nouvel environnement et, ainsi, générer une ou des significations nouvelles. Je reprends cette même analogie: une des premières pièces de Duchamp, Roue de

premier est le jeu : il faut se moquer, dédramatiser et chercher la liberté sous toutes ses formes. Duchamp, « L.H.O.O.Q. » (1930)L'œuvre de Marcel Duchamp bouleverse radicalement l'art du 20e siècle. Avec l'invention, dans les années dix, du ready-made - une pièce que l'artiste trouve « already-made », c'est-à-dire déjà toute faite et qu'il sélectionne pour sa neutralité esthétique. Après Duchamp, il devient possible d'utiliser n'importe quel objet, avec ou sans transformation.Fontaine, 1917/1964

la peinture abstraite de cette époque[1] mais sans tomber dans le piège de la figuration, connotée (au choix) petite-bourgeoise ou stalinienne, et préconisent l'utilisation d'objets prélevés dans la réalité de leur temps, à l'image des ready-made de Marcel Duchamp. Ces conceptions s'incarnent notamment dans un art de l'assemblage et de l'accumulation d'éléments empruntés à la réalité quotidienne : accumulations d'objets par Arman, affiches de cinéma lacérées par Jacques Villeglé... Historique

cartes, 1913 Pablo Picasso • Le guitariste, 1910 Juan Gris • Le livre, 1911 • Le petit déjeuner, 1915 Fernand Léger • La couseuse, 1909-10 • La noce, 1911 • Contrastes de formes, 1913 Albert Gleizes • Paysage à Toul, 1915 Raymond Duchamp-Villon • Le Cheval majeur, 1914-1976 Henri Laurens • Bouteille et verre, 1918 Texte de référence Chronologie Bibliographie Contacts Une façon neuve d’aborder le monde Le Cubisme est sans doute le mouvement le plus décisif

adopter une attitude plus spirituelle, nulle propagande chez Warhol, cette superficialité est assumée .La rupture vient une nouvelle fois de la technique et de la nouvelle définition de l’art qu’elle remet en question, en digne continuateur de Marcelle Duchamp : transformer quelque chose banal et de vulgaire au rang d’œuvre d’art est la concept adopté par les artistes issus du Pop art . Warhol cesse de travailler au pinceau comme les peintres, il n’a plus de touche, plus de recherche de l’illusion

Matisse et " la fenêtre ouverte". Matisse fait scandale. Il a en effet utilisé du rouge, du vert et du jaune dans le seul visage de la femme au chapeau. Madame Matisse n'ose pas entrer visiter l'exposition, ni son plus fidèle supporter, le socialiste, Marcel Sembat. Matisse, s'écrie " la tendance dominante de la couleur doit être de servir le mieux possible l'expression ... le choix de mes couleurs est basé sur le sentiment, sur l'expérience de ma sensibilité." La raie verte, Copenhague : 1905 L’ombre

forme de beauté et ne peuvent pas être forcément belles aux yeux de tous. On peut citer comme exemple les Ready-Made initié par Marcel Duchamp, consistant à trouver un objet commun et à le considérer comme un objet d'art, notamment avec sa fameuse "Roue de bicyclette" composée d'une roue de vélo assemblée sur un tabouret. Pour clore cette tentative de définition non-exhaustive, nous citerons Marcel Mauss qui a brillamment souligné la particularité de cette notion " un objet d'art, par définition, est

vertige chez le narrateur tout en se déroulant en spirales internes où les escaliers permettent l'accès à des passages souterrains secrets qui sont interconnectés. Dans les galeries, les objets décrits par le narrateur ressemblent aux objets ready made que Marcel Duchamp éleva au niveau d'objets d'art. De plus, les objets mécaniques prennent aussi une place élevée dans l'échelle artistique. Le paysage quotidien se métamorphose en paysage merveilleux où le narrateur crée une confusion entre sujet - objet

que celles de dépeindre la réalité sous différentes facettes. Le phénomène de l’accessibilité à l’objet retrouvé dans le Pop Art avait déjà ses précurseurs chez des artistes d’avant-garde des années 20. Pensons notamment au travail de Marcel Duchamp avec ses «ready-made » ou objets trouvés et remaniés afin de leur attribuer une nouvelle vocation esthétique, celle d’être un objet «d’art » (mentionnons à titre d’exemple un tabouret sur lequel était vissée une roue de bicyclette : aucun des deux objets

d’objets divers sans lien apparemment comme dans l’inventaire de Jacques Prévert. Ce sont les surréalistes dans la première moitié du 20ème qui mettent en scène des objets de la vie courante pour en faire des oeuvres d’arts. Marcel Duchamps en 1917 à crée le Ready made a détourné des objets usuels pour les mettre en scène et les transformer en oeuvre d’art comme le fameux urinoir exposé a new york. Avec l’art contemporain, deuxième moitié du 20ème, on se rend compte que ce n’est plus la beauté