Maison rouge

tous leurs habitant, tout le pays à l’entour avec ceux qui l’habitaient, et tout ce qui avait quelque verdeur sur la terre. Genèse I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l’embrasement d’une ville. D’où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char

accessoires et symboles, histoire et fiction, réalité et allégorie. Les tours de Notre-Dame, symbole de la liberté et du romantisme comme chez Victor Hugo, situent l’action à Paris. Leur orientation sur la rive gauche de la Seine est inexacte. Les maisons entre la cathédrale et la Seine sont imaginaires. Les barricades, symboles du combat, différencient les niveaux du premier plan à droite. La cathédrale paraît loin et petite par rapport aux figures. La lumière du soleil couchant se mêle à la fumée

coquelicots faites de taches rouges plutot grosse. Cette imprecison de remarque également sur la tenue des personnages , grace a la robe cependant il y a un attirance lumineuse venant du chapeau du persnnage. La toile de Monet se compose donc de d’une maison sur le fond de la toile , de quatres personnages , d’un ciel , d’un champ de coquelicot , d’herbe ainsi que d’arbre rendant l’oeuvre plutot explicite aux yeux du spectateur. L’artiste , reste les couleurs qu’il choisis d’ailleur de clair apportant

peur ; Un nid que doit avoir glacé la bise amère... III Votre coeur l'a compris : - ces enfants sont sans mère. Plus de mère au logis ! - et le père est bien loin !... - Une vieille servante, alors, en a pris soin. Les petits sont tout seuls en la maison glacée ; Orphelins de quatre ans, voilà qu'en leur pensée S'éveille, par degrés, un souvenir riant... C'est comme un chapelet qu'on égrène en priant : - Ah ! quel beau matin, que ce matin des étrennes ! Chacun, pendant la nuit, avait rêvé des siennes

assis pêchait ; puis les brumes erran-tes se fondirent, le soleil parut, la colline qui suivait à droite le cours de la Seine peu à peu s’abaissa, et il en surgit une autre, plus proche, sur la rive opposée. Des arbres la couronnaient parmi des maisons basses couvertes de toits à l’italienne. Elles avaient des jardins en pente que divisaient des murs neufs, des grilles de fer, des gazons, des serres chaudes, et des vases de gé-raniums, espacés régulièrement sur des terrasses où l’on pouvait s’accouder

mre avait et le rouleau de toile cire. Sa mre allait svanouir et ils entendirent un bruit de pas presss, alors Jim les abrita sous le pont. Chapitre cinq La fin de laveugle Jim vit la scne 7 ou 8 hommes couraient, dont laveugle. Ils entrrent dans la maison et laveugle leur cria de fouiller Bill, et dautres de chercher le coffre. Ils lui dirent que quelquun est pass avant eux, que le coffre a t fouill de fond en comble, quil ny a plus le rouleau de Flint, ni sur lui. Il en conclut que cest les gens

Jean Moulin qui était un résistant très connu. Le peintre utilise plusieurs couleurs dont des couleurs sombre comme le noir, vert kaki , gris , brun. Il utilise aussi des couleurs claires comme le beige, le jaune et le blanc . On y trouve aussi du rouge qui est une couleur vive. Sur ce tableau nous pouvons remarqués plusieurs effets de couleurs. Des effets de dégradé,de contraste. Les couleurs sombre utilisé par le peintre accentuent le caractère dramatique de la scène. Les couleurs foncées au derniers

montrer les enfants et les différents symboles. Chaque coin est un domaine d’intérêt, les symboles y sont abondants et peints avec richesse. En premier plan il y a les enfants et les animaux éclairés. En second plan on voit sombrement le fond de la maison. Les filles sont debout et en hauteur alors que les garçons sont assis et placés à l’extérieur pour former une ligne en bas de gauche à droite diagonalement. La corde coupe l’image, en formant une diagonale opposée dans le coin supérieur droit

ravirent comme des joujoux du Japon, garnis d’un million de clochettes. Ils traversèrent ensuite des champs de véroniques aux grappes violettes, des champs de géraniums et de pélargoniums, sur lesquels semblaient courir des flammèches ardentes, le rouge, le rose, le blanc incandescent d’un brasier, que les moindres souffles du vent ravivaient sans cesse. Ils durent tourner des rideaux de glaïeuls, aussi grands que des roseaux, dressant des hampes de fleurs qui brûlaient dans la clarté, avec des richesses

dans lequel ils apparaissent sur la scène. La nourrice : Dans la mise en scène de Jacques Lassalle, la nourrice semble triste et plaintive. Nous sommes dans la scène d'exposition où elle explique l'intrigue de la pièce ainsi que le passé de sa maison. Elle est pleine d'humilité et d'humanité ; elle est prise par les sentiments, en colère contre Jason et apeurée pour Médée et pour les enfants. Son costume est simple et fidèle à l'antiquité. Ses cheveux sont cachés par un foulard, elle porte une