Maison rouge

| | | | | |- elle est portée par les filles | | | | |M | | | | | | |- on la porte avec une jupe ou un pantalon | | | | |E | | | | | | |- on la porte en hiver au cou | | | | |N | | | | | | | | | | | |T | | | | | | |- on les porte aux pieds dans la maison | | | | |S | | | | | | | | | 4. Jouons un jeu ! Regardez bien vos camarades ! Qu’est-ce qu’ils portent aujourd’hui ? Vous allez tirer au sort un billet avec le nom d’un de vos camarades de classe et vous allez décrire les vêtements de

les conditions abominables dans lesquelles ont vécu les Poilus. Puis on discerne trois personnages : Le cadavre suspendu au centre, le corps décomposé à droite et à gauche le soldat. L’arrière plan est occupé par la représentation de ruines, de maisons écroulées. Un paysage désertique au sein duquel aucunes traces de présence humaine n’apparaissent. Il y a aussi l’évocation des ravages causés par les bombardements. La prédelle représente la fosse des cadavres ou le repos des soldats. On y

Paysage à Collioure a été peint en 1906 à Collioure (c’est une huile sur toile). Le tableau mesure 59.5 x73 cm et il est exposé au Musée de l’Hermitage à Saint-Pétersbourg. Collioure est une ville composée d’un petit port catalan, de rues étroites aux maisons serrées, de toits de tuiles rouges, d’une vie locale haute en couleurs, rythmée par la cadence régulière des barques de pêche et le balancement des voiles sur la mer. Et autour, la nature, le vert des vignes qui tapisse les flancs des coteaux, les

DEVOIR MAISON N°15 Exercice 1 On met dans un sac quatre jetons verts numérotés de 1 à 4 ; trois jetons rouges numérotés de 3 à 5, trois jetons noirs numérotés de 1 à 3 et deux jetons orange numérotés 2 et 3. On tire au hasard un jeton du sac. On note : V : « le jeton tiré est vert ; R : « le jeton tiré est rouge » N : « le jeton tiré est noir » ; O : « le jeton tiré est orange » A : « le jeton tiré porte le numéro 1 » ; B : « le jeton tiré porte le numéro 2 » C : « le jeton

outil d’apparence insignifiante pourrait avoir des répercussions presque à l’infini ». ------------------------------------------------- Après avoir présenté les différents artifices dont il faut user pour cacher le confort moderne au sein d’une maison traditionnelle, et en particulier les solutions qu’il a trouvées pour la sienne, Junichirô choisit comme premier exemple développé celui des « cabinets d’aisance » ! Selon lui, il s’agit de la pièce la plus propice à la « paix de l’esprit » et à considérer

noir est pur, sans mélange avec aucune autre couleur, tandis que le blanc, sur les plis du vêtement est teinté de gris cendré et de gris pigeon. La couleur rouge domine également tout le tableau, cest un rouge noirci sur le rideau, alors que sur le drap, c'est un rouge orangé et pâle. Le dégradé de rouge qui va progressivement vers le rouge sang peut exprimer une métaphore du morbide. En effet, grâce à la disposition du drap, il semblerait qu’un filet de sang coule de la taille de la jeune femme

poumons de Chloé peut symboliser deux ou trois maladies que nous connaissons bien, et singulièrement la tuberculose. Mais il s’inscrit, également, dans l’expression logique d’un monde où les fleurs poussent sur les trottoirs. L’anéantissement de la maison de Colin peut symboliser le rétrécissement d’un univers mental obsédé par la maladie d’un être aimé.(quand “on voit la vie en noir”, elle s’assombrit pour de bon). Mais il ne surprend pas un univers où les escaliers se dérobent, où les cravates refusent

reflux d'incendie, Voilà les quais ! voilà les boulevards ! voilà Sur les maisons, l'azur léger qui s'irradie Et qu'un soir la rougeur des bombes étoila.   Cachez les palais morts dans des niches de planches ! L'ancien jour effaré rafraîchit vos regards. Voici le troupeau roux des tordeuses de hanches, Soyez fous, vous serez drôles, étant hagards !   Tas de chiennes en rut mangeant des cataplasmes, Le cri des maisons d'or vous réclame. Volez ! Mangez ! Voici la nuit de joie aux profonds spasmes

Percy ne dit rien à sa mère. Une fois les 4h30 dépassées, Percy sortit de chez lui sans faire de bruit et atteignit le lieu indiqué. Les réverbères créeaient une lugubre ambiance. Il aperçut une petite boutique entre deux maisons délabrées sur lequel était inscrit un graffiti rouge étrange composé de trois symboles : O.L.D. Percy entrouvrit la porte de l'antre qui grincait et chuchota : « -Il y a quelqu'un ? » Pas de réponse. Il avança dans le batiment, on aurait dit une bibliothèque géante tellement

de mon moulin, on passe devant un mas bâti près de la route au fond d’une grande cour plantée de micocouliers. C’est la vraie maison du ménager de Provence, avec ses tuiles rouges, sa large façade brune irrégulièrement percée, puis tout en haut la girouette du grenier, la poulie pour hisser les meules, et quelques touffes de foin brun qui dépassent... Pourquoi cette maison m’avait-elle frappé ? Pourquoi ce portail fermé me serrait-il le cœur ? Je n’aurais pas pu le dire, et pourtant ce logis me faisait