Mais Les Yeux Sont Aveugles Il Faut Chercher Avec Le Coeur

la richesse que porte le Voyage. Nous ne savons pas si nous serons en mesure de définir le voyage en lui-même. En effet, ce dernier est personnel, relatif, abstrait parfois, tout dépend de ce que l’on quitte, de ce que l’on fuit, ou de ce que l’on cherche… à voir, à atteindre ou bien à vivre, tout dépend de la part de nous-mêmes qui participe au voyage, qui l’habite, qui le construit… Le voyage a pris dans l’histoire de multiples visages, chaque époque l’envisage différemment : aux explorateurs solitaires

campagne après nous, et son coeur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis−tu, sans le venir chercher ici. Veux−tu qu'entre nous je te dise ma pensée ? J'ai peur qu'elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. Gusman Et la raison encore ? Dis−moi, je te prie, Sganarelle, qui peut t'inspirer une peur d'un si mauvais augure ? Ton maître t'a−t−il ouvert son coeur là−dessus, et t'a−t−il

et du faux se pose constamment. Tout y est spectacle, représentation théâtrale, tout est réduit aux signes et aux apparences. Il faut voir pour pouvoir croire (que ce soit la dévotion ou le désir interdit, dont l'épicentre est la seconde rencontre entre Elmire et Tartuffe, à l'acte IV, rencontre durant laquelle Orgon, le mari incrédule est caché sous la table). Il faut attendre le troisième acte pour que la figure de Tartuffe fasse son apparition sur la scène. Plusieurs indices de sa personnalité

1 2 VAGUE(S) 3 4 Des contrées contres à perte de vue Au royaume des aveugles On prédit non plus qu’on ne dit oui “Ha ben jdi pa non mais cé pas si simp.” Les sages singeant la sagesse Une sorte de projection en interne à guichet fermé. On dit le passager mature qui charge la locomotive Des goudrons des routes sans déroute. On dit l’homme influent Aux carrefours qui négativisent en slogans. On dit l’homme entreprenant À la tête des crépuscules des fragiles subtils Que les compresses

qu'on les balaye Démontez la lune, et le soleil Videz l'océan, arrachez la forêt Car rien de bon ne peut advenir désormais. Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire, et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d'armé et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d'en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d'avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire davantage quand tu me fais pleurer

que la vie ? C’est pour cela que j’ai donné ce titre à mon anthologie. Dans le second poème Bodelaire, personnifie la mort, dès la première ligne. Les mots tels que « hélas » ou « élixir » indique, qu’il pense que la mort est un remède, et qu’il y cherche un réconfort, comme si mourir était une solution, la sienne. Lamartine, lui a plus une vision philosophique, l’homme doit mourir c’est ainsi, donc pourquoi ce buté à résister, c’est le message que j’ai compris à travers son poème, il exprime sa

attiré l'admiration de toute la France, de cette pénétration à laquelle rien n'échappe, de cet esprit vaste qui embrasse, qui exécute tout à la fois tant de grandes choses, de cette âme que rien n'étonne, que rien ne fatigue ? Mais, MONSEIGNEUR, il faut être plus retenu à vous parler de vous-même et je craindrais de m'exposer, par un éloge importun, à vous faire repentir de l'attention favorable dont vous m'avez honoré ; il vaut mieux que je songe à la mériter par quelques nouveaux ouvrages :

dont son être soit susceptible, etc. Il y a toujours un sens dans lequel on peut condamner un écrit et un sens dans lequel on peut l'approuver. Il serait bien plus raisonnable de ne faire attention qu'aux beautés utiles d'un ouvrage, et de n'y point chercher un sens odieux; mais c'est une des imperfections de notre nature d'interpréter malignement tout ce qui peut être interprété, et de vouloir décrier tout ce qui a eu du succès. On crut donc voir dans cette proposition: Tout est bien, le renversement

Exquise » 1986 « Les Aveugles » elle demande à des aveugles ce que représente le «  beau  » pour eux 1989 Première rétrospective à la galerie Fred Hoffman à Los Angeles « Fantômes » elle demande de décrire aux visiteurs de musées de décrire des œuvres absentes (prêt ou vole) 1990 « Les Tombes » seule série photographique sans texte 1991 Première rétrospective en France au Musée d’Art Moderne à Paris « La Couleur Aveugle » elle demande à des aveugles de lui décrire

.......... 129 163 Les Petites Vieilles........................................................................................ Les Deux Bonnes Soeurs................................................................................... 131 165 Les Aveugles........................................................................................ 134 La Fontaine du sang........................................................................................ 166 À une passante...........................