Machiavel Le Prince

3) 3) Les symptômes de la maladie historique (chapitres 4 à 9) 4) L'éloge de l'oubli comme remède à cette maladie Conclusion I II- Des bons usages de l'histoire A- L'utilité de l'histoire (le passé " vivant ") 1) Les leçons de l'histoire -Machiavel 2) L'histoire peut encore servir à la connaissance du genre humain B- Mais n'est-ce que l'utilité qui fait que l'homme s'intéresse à son passé ? N'est-ce pas également un plaisir gratuit ? 1) Peut-on vraiment tirer des leçons de l'histoire ? -

demandent pas de rémunération pour leurs leçons. Machiavel dans Le Prince combat les valeurs traditionnelles qui, lorsqu’elles inspirent la politique, conduisent le plus souvent à l’échec. Le bon Prince (républicain ou monarque) « doit apprendre à pouvoir n’être pas bon ». Comme il y a deux manières de gouverner, l’une par les lois, qui est proprement humaine, l’autre par la force ou la ruse, qui est propre aux bêtes, il est nécessaire pour le Prince de « savoir bien pratiquer la bête et l’homme »

siècle) 1) Les origines philosophiques de la pensée sur la société (Platon) 2) Les origines philosophiques de la pensée sur la société (Aristote) B. Philosophie politique et société 1) La réflexion sur les pouvoirs et l’Etat (Machiavel) 2) Première réflexion sur les contrats sociaux (Hobbes) 3) La réflexion sur les formes de gouvernement et la séparation des pouvoirs (Montesquieu) §2 L’émergence de la pensée sociologique * Quels auteurs méritent d’être tenus pour

naissante va prendre ses distances avec la Religion  (Séparation Eglise/Etat : 1903). B . La légitimité par la stabilité du pouvoir . L’un des premiers à séparer nettement politique et théologie fut Niccolo machiavel (1469-1527). .Selon lui, la stabilité d’un Etat ne peut être fondée sur la religion seule ou sur la morale. En fait, quelle que soit l’origine de l’Etat, légitime ou non, le pouvoir politique est nécessaire au sein d’une société ( pour Max Weber

Délimitation du champ politique B- Stratèges de la « polis » II- Stratégies concevables A- Stratégie offensive B- Stratégie d’usure C- Les attitudes possibles *Note sur Machiavel et Clausewitz I- Précision conceptuelle Le concept de stratégie a un champ très extensif, le sujet que nous abordons balaie un vaste domaine de réflexion ouvert à l’homme quand il doit penser et agir pour résoudre les problèmes posés dans

savoir la pensée machiavélienne. A ce propos en effet, Bernard Masson fait remarquer dans son ouvrage Musset et son double, lecture de Lorenzaccio, que l’auteur s’est reporté à Machiavel pour peindre Lorenzo et le doter d’une identité politique. Masson rapporte plus exactement que Musset s’est référé à un commentateur de Machiavel, Ginguené, qui a consacré près de deux cent pages au penseur italien, dans son Histoire littéraire d’Italie, au tome 8. Voici l’extrait où il est fait allusion au Lorenzo de

pouvoir plus fort, sans le consentement ou l’approbation du Pape. Si ce détachement entre le roi et le Pape est un premier pas vers l’Etat moderne, la notion n’est pas encore évoquée. C’est dans son ouvrage « Le Prince », rédigé en 1513, environ, que Machiavel y fait occurrence. Pour Machiavel, l’Etat existe sous deux formes : la République, ou la monarchie. Ce qui les différencie, c’est qui possède le pouvoir ?

où l’on peut noter qu’il existe « un ministère de la vérité ». Cette communication est ambigüe au sens ou elle part d’un vers les autres, et c’est peut être en cela que réside son plus grand défaut, point que nous étudierons par la suite avec Machiavel. La différence entre sophiste et philosophe n’est alors plus qu’une question de finalité, on dira que celle du sophiste est fausse et donc mauvaise, et que celle du philosophe est bonne. Le constat est simple à tirer, la vérité, ne peut pas être

sur quoi Hobbes fait reposer cette légitimité tout en la comparant  a la conception de communauté  politique d’Aristote. Dans une seconde partie nous allons présenter la conception de la nature humaine par Hobbes puis analyser les similitudes avec Machiavel et enfin nous proposerons  une critique sur ces deux conceptions hobbesiennes.      Il est difficile de connaître clairement les origines de la théorie du droit divin dans les instances politiques ni qui en sont les précurseurs, mais historiquement

plus véritable. (judaïsme =>Moïse ; Islam=> Averoes) 7) La philosophie des temps modernes (1400-1800) Autonomisation de la raison. De Machiavel à Kant Développement de la culture grâce à l’imprimerie. Vasco de Gama et Galilée => Homme symbolique de ce passé Machiavel émancipation de la raison politique par rapport à la religion. Dans le livre « Le prince » il nous décrit les buts de la politique. Pour lui on peut accéder au pouvoir et s’y maintenir de quelques moyens que se soit (tous