Machiavel Le Prince

le fait que le droit émane de sa seule volonté : « ce que le prince a décidé a force de loi » phrase qui va connaître un vrai succès dans l'Europe et pas seulement en France, insiste sur la souveraineté interne et à l'extérieur. Souveraineté à l'extérieur « le roi est empereur en son royaume » souligne l'indépendance du roi face au pape, face aux autres puissances étrangères. Autre ex qui insiste sur l'absolutisme du roi « le prince est délié des lois » n'insiste pas sur l'arbitraire du roi mais

révolution est une substitution d’un ordre nouveau à l’ordre, au moyen de la prise du pouvoir. L’acquisition du pouvoir par la force ne lui assure pas de durer, de se conserver. *Or ce qui préoccupe le Prince ( ie le détenteur de l’autorité politique) c’est de conserver le pouvoir. Machiavel (cf. Le Prince) est un technicien du pouvoir qui montre comment on l’acquiert, on l’exerce mais aussi comment on le perd. Les trois finalités de la politique seront donc : acquérir le pouvoir (en l’absence d’héritage

encadrées de pilastres antiques. B. La Renaissance met l'homme au centre du système artistique 1. Nouveau statut de l'artiste et de l'œuvre d'art L'artiste est désormais considéré comme un ouvrier à part entière. Soutenu par de riches mécènes (princes, grands bourgeois ou puissants ecclésiastiques), il répond le plus souvent à une commande. En France, les règnes de François Ier et Henri II permettent l'ouverture de chantiers royaux qui représentent près du tiers des dépenses publiques. 2.

sur le fait que toute vérité nest pas bonne à dire. D’après Machiavel, philosophe italien de la Renaissance, toute vérité n’est pas bonne à dire en politique. Dans son œuvre intitulée « le Prince » parue en 1513, il défend un point de vue selon lequel l’homme politique peut mentir et doit le faire pour réussir, comme le faisait Laurent de Medicis. Laurent de Médicis possedait ce pouvoir de « simuler et dissimuler » comme le dit Machiavel et c’est ce qui lui permettait de jouer de l’ambivalence entre

Mélanger ces deux différents groupes de personnes ne ferait qu’aggraver le problème. Comme Machiavel le décrit si bien dans ses œuvres, nous devons faire preuve de vertu. Nous devons évoluer sans l’aide d’autrui. Nous devons réaliser ce que nous voulons avec notre propre force. Nous devons avoir l’habilité politique qui permet de choisir les moyens appropriés à une situation. Si nous relions ce que Machiavel dit à la situation présente, nous pouvons en déduire que nous devons refuser l’entrée aux

qu’il est un animal qui a l’idée du droit et qui veut utiliser la force pour faire valoir son droit. Ce dernier point conduit à ma seconde remarque. La guerre peut être jugée deux fois : d’abord en considérant les raisons qu’ont les Etats ou les Princes de faire la guerre, ensuite en considérant les moyens qu’ils adoptent pour la conduire. Ainsi, pour juger la guerre du Vietnam, il faut examiner d’abord le but apparent ou réel, poursuivi par les Etats-Unis – défense du monde « libre », par exemple

face a juif fur utiliser par les nazis ,ainsi que sa forte prise de position contre les « sorcières » il approuva aussi la répression de l'anabaptisme . Nicolas Machiavel : (1469-1527) est un penseur italien de la renaissance , philosophe , théoricien de la politique , de l'histoire et de la guerre . Il est le fils de Bernard machiavel , trésorier pontifical a Rome et docteur en droit , il mène des mission diplomatiques en Italie et a l'étranger , se forgeant ainsi une opinion sur les mœurs politique

parle du pouvoir, on l’associe immédiatement au pouvoir politique. Ce préjugé réduit en fait le concept de pouvoir à celui plus particulier de pouvoir politique. Pourquoi cette association ? Machiavel est le premier à associer la notion d’état à celle de pouvoir. Dans son livre le prince, il montre en quoi le prince (l’état) se doit d’être souverain, il doit représenter le pouvoir suprême qui doit tendre a toujours avoir plus de pouvoir. Ainsi le pouvoir est non seulement politique mais on le met dans

chez ses citoyens admiration et dévouement. Dans son œuvre Le Prince, Machiavel traite cet aspect de la politique chez la figure du prince humaniste. Il explique qu’il n’y a rien « qui fasse tant estimer un Prince que d’accomplir de hautes et magnanimes entreprises et donner de soi des exemples dignes de mémoire ». Après avoir utilisé des exemples historiques tels que celui de Ferdinand d’Aragon ou encore de Barnabé Visconti, Machiavel montre que les grands exploits rendent les citoyens fascinés :

devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 547 Citation 548 « On doit bien comprendre qu'il n'est pas possible à un prince [...] d'observer dans sa conduite tout ce qui fait que les hommes sont réputés gens de bien, et qu'il est souvent obligé, pour maintenir l'État, d'agir contre l'humanité, contre la charité, contre la religion même. » Machiavel, Le Prince, 1532 (posth.) http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 548