Macédonien

trouver le meilleur modèle. C'est à cette période que se fait l'invention de la démocratie. De la fin du 4e siècle av JC jusqu'au 1er siècle av JC on entre dans l'époque hellénistique : c'est l'époque du déclin de la cité état, c'est la monarchie macédonienne qui va dominer. L'idée va être d'isoler la cité d'Athènes, qui est la plus puissante. Philippe de Macédoine va créer une ligue contre Athènes, puis Alexandre Legrand va fonder un immense empire et va poursuivre l'idée d'une monarchie. L'empire

-1er foyer de tension entre la Serbie et le Monténégro, le Monténégro a déclaré leur indépendance, les Serbes perdent l’accès à la mer. -2ème foyer : entre les Grecs et les Macédoniens : les Grecs ne reconnaissent pas l’existence de la Macédoine. -3ème foyer entre les Grecs et les Turcs. La question des élargissements futurs 1er problème : La Turquie

démocratiques sont complexes. On va aboutir à un certain nombre de crises politiques. La démocratie athénienne sombre dans l’anarchie, le régime est perverti et il laisse place à une alternance de régime démocratique et aristocratique jusqu’à la domination macédonienne d’Alexandre Le Grand.

Le problème de la légitimité de Constantin VII Le conflit entre l’empereur Léon VI et le patriarche Nicolas Mystikos Basile Ier fonda la dynastie macédonienne, en prenant le pouvoir à Michel III. Elle fut la plus longue dynastie que les byzantins aient jamais connue. Cependant elle faillit bien disparaitre dès son deuxième empereur Léon VI. En effet, cet empereur eut beaucoup de mal à assurer sa descendance. En 906, pour assurer sa descendance, Léon VI se remaria une quatrième fois, ce qui était

qui rayonne sur son voisinage L’exemple de la Macédoine Quatorze années se sont écoulées entre l'indépendance de la Macédoine (1991) et l'officialisation de sa candidature (2005). L'adhésion à l'Union Européenne représente pour la population macédonienne : - un moyen de stabilisation politique de la Macédoine, mais aussi de toute la région des Balkans, alors que la menace d'une guerre civile entre les différents groupes ethniques se fait de plus en plus pressante - la perspective d'une

tirés au sort (10 archontes, 9 stratèges..). La cité athénienne va connaitre un déclin du à ses institutions. La cité s'endette, ce qui conduit Athènes à l'impérialisme. Athènes entre en conflit avec Sparte et Thèbes, et tombera sous domination Macédonienne. SOCRATES va être victime de la démocratie, il est accusé par le peuple, il est reconnu coupable et refuse de s'enfuir. Il voit donc la sigle et meurs.

divinités et les mêmes cultes. Parenté de sang et de religion. Mais aussi culturelle : sentiment de parler le même dialecte. Et parenté par la coutume. Cette notion d’ethnos va trouver à s’appliquer aussi à des communautés plus réduites, notamment les Macédoniens et les Béotiens. Cette forme d’organisation en groupes ethniques va coexister avec la forme que constitue la cité, et va avoir des institutions, sous forme d’assemblées annuelles ou l’on pratique des activités en commun. La cité, ou polis, invention

manifestations d'humilité et sa volonté de s'observer avec lucidité. Les événements de son existence jusqu'à une mort endurée en toute lucidité, les caractéristiques de son règne et les traces qu'il laisse, rappellent celle d'un autre grand empereur, macédonien celui-là, Alexandre le Grand (356-323 av. JC). Premiers éléments pour une conclusion: Voyant la mort approcher, l'empereur Hadrien revient dans une longue lettre sur son existence et sur les traces qu'il a laissées dans l'Histoire

vient de l’expérience de la Cité Grecque. Elle apparaît au VIII° siècle avant Jésus Christ en succession au système monarchique homérique. Elle a atteint son âge d’or aux V° et IV° siècles avant Jésus Christ. Ce modèle disparaît avec la monarchie Macédonienne (Philippe et Alexandre). Ce phénomène va voir naître la première réflexion scientifique et philosophique sur la politique. Jusqu’au V° siècle, la politique et le pouvoir ne sont pas une idée, ne relèvent pas de réflexions intellectuelles. Elles

particularismes revendiqués comme tels: le droit des serbes à vivre seuls, chez eux, à disposer d'eux-mêmes. L'universalisme de la Raison se renverse en universalisme pour soi de sa particularité: Que les Slovènes, les Croates, les Bosniaque et les Macédoniens demandent en tant que peuples le droit à l'auto-détermination, et à sortir de la Yougoslavie, cela n'est pas acceptable par les Serbes. En revanche, que certains groupes serbes demandent l'auto-détermination en Croatie et en Bosnie où ils vivent