Macbeth Fatalité

assez bien la Mort et le Temps dans sa peinture Vanités, ou allégorie de la vie humaine (Annexe 1). En effet son œuvre représente un crâne au centre, un vase avec une fleur à gauche, et un sablier à droite. L’artiste montre l’essentiel, mais aussi la fatalité à travers son œuvre. Si nous lisons de gauche à droite nous avons : la vie, la Mort et le Temps (représentation de la vie qui s’écoule comme le sable qui tombe). Le temps fait partie intégrante de la fin qui approche, comme Charles Baudelaire6 en

également à la production de plusieurs spectacles Ro- méo et Juliette (Romeo and Juliet), Candide (Candida) et The Barretts of Wimpole Street. Puis, ayant fondé sa propre troupe qu'il parvint à faire subventionner par l'État, il monta notamment en 1936 Macbeth, avec des comédiens noirs, et le Faust de Marlowe. L'interprétation et la mise en scène de ces pièces suscitèrent de violentes critiques. En 1937, il fonda le Mercury Theatre. La compagnie, essentiellement composée d'inconnus, joua quelques spectacles

Maurice Maeterlinck, Préface, in « Théâtre », Genève, Slatkine Reprints, 1979, p. III-IV. 212 Ibid., p. IV-V. 213 Ibid., p. XVI. 214 Adela Gerardino, op. cit., p. 179. 211 43 fatalité »215. Cette fatalité ressemble à la fatalité de l’antiquité classique, mais elles ne sont certainement pas identiques : « Elle diffère de la fatalité antique en ce sens que celle-ci s’abattait surtout sur les révoltés, les orgueilleux, les nature prométhéennes ; celle de Maeterlinck écrase de préférence l’innocence frêle

radicalement la population dramatique. L'héroïsation de personnages marqués par le destin, la fatalité, le génie du mal et le spectacle de la passion font plus que préparer le drame romantique, qui refusera d'avouer son énorme dette. L'inversion des valeurs et l'apparition de nouvelles thématiques et typologies relance le genre. Les marginaux deviennent les héros, la démesure remplace les convenances bourgeoises, la fatalité n'a plus la même efficacité morale que la providence. Publicado por Toni Maganona

part). Analyse d’extraits de Phédre : Tonalité tragique Sujet prisé dans mythologie = label de la qualité de la pièce (intertextualité) Personnages illustres = label de prestige (intertextualité) Intervention des dieux = souligne le rôle de la fatalité où quoi que fassent les personnages, tout finira mal. Fin catastrophique pour tout le monde = soit il meurt, soit il aura une vie remplie de malheurs. Conclusion de la tragédie : Même s’il puise ses sujets dans l’Antiquité, les tragédies de Racine

l'épopée ressort de partout. Elle monte sur la scène grecque sans rien perdre en quelque sorte de ses proportions gigantesques et démesurées. Ses personnages sont encore des héros, des demi-dieux, des dieux ; ses ressorts, des songes, des oracles, des fatalités ; ses tableaux, des dénombrements, des funérailles, des combats. Ce que chantaient les rapsodes, les acteurs le déclament, voilà tout. Il y a mieux. Quand toute l'action, tout le spectacle du poëme épique ont passé sur la scène, ce qui reste,

l’épopée ressort de partout. Elle monte sur la scène grecque sans rien perdre en quelque sorte de ses proportions gigantesques et démesurées. Ses personnages sont encore des héros, des demi-dieux, des dieux ; ses ressorts, des songes, des oracles, des fatalités ; ses tableaux, des dénombrements, des funérailles, des combats. Ce que chantaient les rapsodes, les acteurs le déclament, voilà tout. Il y a mieux. Quand toute l’action, tout le spectacle du poëme épique ont passé sur la scène, ce qui reste, le

théâtre et la poésie Le théâtre et la poésie sont deux genres qui accueillent le baroque. L'un parce qu'il joue sur l'apparence, les illusions (Corneille, L'Illusion comique ; l'Espagnol Calderón, La vie est un songe ; l'Anglais Shakespeare, Hamlet, Macbeth). L'autre parce qu'il permet les jeux de langage, les images, les métaphores, le vertige des mots... Les deux vers de Marbeuf en sont un bon exemple. Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage Et la mer est amour et l'amour est amer Marbeuf,

faut donc bien admettre que c'est l'homme lui-même qui creuse sa propre ruine, qui crée l'esclavage, I'oppression et l'exploitation ! Je ne dis que des choses très consolantes et très utiles puisque je montre que tout ce qui nous nuit n'est pas une fatalité et que tous ces vices n'appartiennent pas à l'homme mais à l'homme mal gouverné. Je dis qu'au lieu de me montrer du doigt, on devrait m'élever des statues ! Et me célébrer comme un nouveau Jésus-Christ ! Car enfin, s'il est prouvé que les hommes

l’épopée ressort de partout. Elle monte sur la scène grecque sans rien perdre en quelque sorte de ses proportions gigantesques et démesurées. Ses personnages sont encore des héros, des demi-dieux, des dieux ; ses ressorts, des songes, des oracles, des fatalités ; ses tableaux, des dénombrements, des funérailles, des combats. Ce que chantaient les rapsodes, les acteurs le déclament, voilà tout. Il y a mieux. Quand toute l’action, tout le spectacle du poëme épique ont passé sur la scène, ce qui reste, le