Ma Guerrière Cassandre

devant moi croasse... ViauÔ beaux yeux bruns... (Sonnet II) Louise LabéTu es plus belle que le ciel et la mer Blaise CendrarsDebout maintenant, mon pays et moi CésaireJe vis, je meurs ; je me brûle et me noie Louise LabéJe ne suis point, ma guerrière Cassandre... RonsardL'autre jour que j'étais sur le haut d'un degré RonsardBallade de celui qui chanta dans les supplices AragonHeureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Du BellayVICTOR HUGO :MorsChansonL'enfantHorror - IVMelancholiaMelancholia autre

syntaxe deux termes incompatibles par le sens (ex. : «Cette obscure clarté qui tombe des étoiles», Corneille). ALLITERATION. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots (ex : allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : « Cassandre sous son Capuce ») ANAPHORE Répétition d'une même expression ou d'un même mot en début de phrase ou de vers (ex : « partout des fleurs, partout des fruits, partout des légumes, partout des oiseaux… ») ASSONANCE Répétition

pop° et transfert. La guerre = endémique car c’est une protection contre le vol des élevages. Importance des micros tribus (surtout en Epire) qui sont renforcées par le syst de l’ethnos. Certaines conduites sont marquées par l’élevage (danses guerrières, rites de passage, présence importante de l’élevage dans la numismatique). * Progression de la sédentarisation s’est faite bcp plus par la construction de fortins (rôle de contenir la poussée des pop° qui descendaient des montagnes) qu’elle

Trois femmes ont inspiré la majeure partie de la poésie amoureuse de Ronsard : Cassandre1 (poèmes 1 à 3), Marie2 (poèmes 4 à 6), et enfin Hélène3 (poème 7). 1. « Ode à Cassandre » (Odes, 1545) 2. « Quand je suis vingt ou trente mois… » (Odes, 1550) 3. « Je voudrais bien richement jaunissant… » (Les Amours de Cassandre, 1552) 4. « Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse… » (Les Amours de Marie, 1555) 5. « Je vous envoie un bouquet que ma main... » (Continuation des Amours, 1555) 6. « Comme

mythologique faite de croyances entre des dieux et des êtres imaginaires (vision du monde bien différent aujourd'hui) •Entre l'Iliade et L'Odyssée a due d'écouler presque 200ans (les valeurs n'y sont donc pas les mêmes). > L'Illiade : Valeurs guerrières, exaltation du héros (Achille et Hector chez les troyens). > L'odyssée : la Métis (capacité d'Ulysse à se servir de son intelligence). _A l'origine ces chants étaient transmis oralement par des Aèdes (poètes grecques itinérants qui

jugement fut confié à Pâris. (et c'est là que les emmerdements commencèrent) Troisième épisode : Les trois déesses essayèrent à tour de rôle d'influencer le jugement de Pâris. Pallas Athéna déesse de la guerre, lui promit force et vaillance guerrière, Héra épouse de Zeus, lui apprit qui il était réellement, et lui promit puissance et richesse, tandis qu'Aphrodite déesse de l'amour lui promit l'amour d'Hélène, la plus belle des mortelles. Pâris, tenté par la proposition d'Aphrodite, lui offrit

qu’apparut Eris, déesse de la discorde, qui n’avait, une fois de plus, pas été invitée. Elle jeta alors une pomme d’or au milieu d’une des tables, sur laquelle était portée l’inscription « A la plus belle. » Trois déesses se la disputaient, Athéna déesse guerrière, Héra femme de Zeus et Aphrodite déesse de l’amour et de la beauté. Pour déterminer la gagnante les trois femmes allèrent demander à Zeus, celui-ci ne voulant pas crée un favoritisme envoya son fils, Hermès, sur le mont Ida afin qu’un mortel choisisse

désignée pendant un songe. Pendant son court séjour dans les îles des Strophades, les Troyens sont attaquées par les Harpyes, oiseaux affamés aux visages de vieilles femmes. Puis Énée aborde en Épire, où règne son parent Hélénos, frère jumeau de Cassandre, qui comme elle possède le don de prophétie. Hélénos prédit qu'Énée fondera une ville au bord d'un fleuve près de la côte italienne. L'endroit lui sera indiqué par la présence d'une laie (sanglierfemelle) nourrissant une portée de trente marcassins

de sa parolle, D'un dextre éclair fut presage à mes yeux. Titre : Bien que les champs, les fleuves et les lieux Bien que les champs, les fleuves et les lieux, Les monts, les bois, que j'ai laissés derrière, Me tiennent loin de ma douce guerrière, Astre fatal d'où s'écoule mon mieux, Quelque Démon par le congé des Cieux, Qui présidait à mon ardeur première, Conduit toujours d'une aile coutumière Sa belle image au séjour de mes yeux. Toutes les nuits, impatient de hâte, Entre

exploits. En dépit de son hostilité à l’endroit des sentiments et des transports amoureux, il s’est épris de la jeune princesse retenue captive par Thésée : Aricie . Protégé par Artémis, Déesse de la chasse, il est un écuyer hors pair. Sa valeur guerrière est indéniable. Thésée : Il est le petit-fils de Jupiter. Le Dieu des Mers Neptune est son protecteur. Par son père Egée il est roi d’Athènes, et par sa mère roi de Trézène où se situe l’action de la tragédie. Il est l’époux de Phèdre, dont il