Lyrisme Intime Ou Universel

bravoure » ? Ce texte semble-t-il susciter le rire ou l’émotion ? I Une tirade comique a) une tirade bien structurée -    sur le plan de l’énonciation : fait la demande et la réponse (se parle à lui-même ou vise un destinataire invisible ou universel ?), parenthèse où le locuteur semble jouer avec lui-même, exclut son interlocuteur, lui confisque la parole, se recrée un interlocuteur plus spirituel ; effets dialogiques, guillemets, autocitation…/ Apostrophes violentes, 2ème pers. Prise à parti…

parler, c'est dire quelque chose. Ici parler de soi, c'est parler au nom des autres, et de dire ce qu'ils pensent , tout haut . Le fait de dire ce qu'on pensent, ou même d'écrire donc , c'est de suite un échange. Les écrivains parlent de sentiments universels, donc qui peuvent toucher tout le monde. Le poète a les mots pour exprimer ce que d'autres éprouvent mais ne savent pas formuler. Ici, il va même plus loin qu'un simple échange de pensée, et de sentiment, c'est presque comme si en écrivant il s'identifie

associée à la figure d’Orphée. Aux XVII et XVIIIème siècles, la poésie est dite classique, elle est largement codifiée, l’alexandrin devient une obligation. Au XIXème S., le genre poétique cherche à s’émanciper avec le romantisme ou renouant avec le lyrisme, créant un genre tel que le symbolisme, mais aussi exprimant des observations à caractère social. Au XXème S., la poésie se fait novatrice avec la période surréaliste, l’engagement dans des causes à défendre est plus présent, notamment pendant les

confiserie pour adoucir sa peine par une sucrerie : « On va rentrer après avoir acquis du zan » (v. 8). Il demande aussi des lettres en retour : « Envoie aussi des lettres… » (v. 4). Il s’exprime alors sur le ton familier habituel dans une lettre à un intime. Il nomme la destinataire (« Ô Lou », v. 2, v. 11), qu’il tutoie (« À toi… », v. 9) et réduit la demande qui lui tient tant à cœur à sa plus simple expression : une phrase nominale (« Lettres », v. 4). Au pronom « nous », il préfère l’indéfini « on »

rachetant par un crime une longue série de pêchés et d'infamies. Le personnage incarne toute l'ambiguïté du mouvement romantique. * La poésie romantique La poésie romantique se veut à la fois intime et universelle, cosmique et inspirée. Un registre lyrique Le "je" romantique veut atteindre le plus intime de l'être et de ses sentiments.  L'épreuve amoureuse, la confrontation avec le réel, la perte des idéaux, toutes les occasions de larmes sont des chemins vers la poésie. Le poète romantique tente

voyage ", le poète n'invite pas la femme à "voyager" avec lui. Problématique : Comment Baudelaire représente le voyage dans ce poème à travers le parfum et l’exotisme ? Dans un devoir en trois parties, je vous invite à étudier le rôle de la scène intime et de la femme, puis la rêverie d’un paysage exotique, enfin l’évasion d’un voyage sensuel des sens. Au vers 1, le poète se sent apaisé, cela provoque une vision intérieure « les deux yeux fermés », ceci annonce un sentiment de tranquillité, de

sensations sont suscitées chez le lecteur, comme le dépaysement et le mystère. 1 - Le "moi" Le Romantisme s'écrit d'abord à la première personne. La poésie lyrique exalte un "je" qui s'exprimerait au nom de tous. Des genres naissent (comme le journal intime), se développent (comme l’autobiographie) et exaltent le désir de la connaissance de soi. C'est souvent un "moi" douloureux atteint par le "Mal du siècle" que met en scène le Romantisme. Le héros peut être banni (comme Jean Valjean ou Quasimodo),

je ne suis pas toi !". En répondant à ceux qui reprochent aux Romantiques leur culte du moi, Hugo nous amène à comprendre qu'écrire, même en parlant de soi, c'est parler au nom des autres : l'écrivain d'ailleurs, n'exprime-t-il pas des sentiments universels ? De fait, sa parole est fraternelle avec le monde. C'est en cela que l'écriture devient ainsi un moyen d'apprendre des autres. Comme nous le voyons, écrire en apprenant des autres, dépasse le simple stade de la communication. Dans un monde

méchamment à voir comme pesant de tout son poids sur le corps de sa «belle ténébreuse», la mort étant un supplice imposé par un bourreau et non un aboutissement. Pourtant, cette prédiction d'avenir fatal débute par une indication des charmes physiques et intimes de cette femme, car les éléments de son corps qui sont choisis sont sources de sensualité : la «poitrine» (qui est qualifiée de «peureuse», parce qu’elle se cache, ou par une hypallage qui lui attribue un sentiment alors que c’est la femme elle-même

Explication linéaire : Lamartine, « Le Lac », v.1-22. LECTURE CONTEXTUALISATION Les Méditations poétiques est un recueil constitué de 24 poèmes. Ce fut un succès triomphal, sans précédent dans l’histoire littéraire. Lamartine publiera en 1823 les Nouvelles Méditations poétiques, et la dernière édition de 1849 portera à 41 le nombre de poèmes. Ce recueil est reconnu comme le premier recueil poétique du romantisme français. La forme est classique, Lamartine respecte les règles de la versification