Lyrisme Hugolien

certaine harmonie dans la forme et sur le plan formel Le contenu (le fond est lié à la forme du texte) Thèmes et éléments I références à l’Antiquité et opposition entre Liré et Rome II sentiment de nostalgie de sa terre natale et présence de lyrisme I Mise en évidence d’espaces et de temps privilégiés a) Présence (valorisée) de l’Antiquité ⇨ Cette présence est circonscrite à la première strophe, ce qui traduit l’unité. ⇨ Les verbes sont aux temps du passé « a fait » (v.1), « conquis »

grands genres poétiques de l’Antiquité ou de la Renaissance italienne, d’autre part (odes, épopée, tragédies, satire, sonnet, élégie). Enfin, et c’est peut-être là l’apport le plus important de cette jeune école, la Pléiade renouvelle les thèmes d’un lyrisme intime et personnel que l’âge classique répudiera. Après une guerre de pamphlets avec les marotistes se manifeste, à partir de 1553, une évolution sensible au sein de La Pléiade, évolution qui se traduit essentiellement par la reconnaissance

dernier recueil Le Phénix, au titre évocateur du pouvoir magique de l'amour. Le poème proposé, extrait de ce recueil, est constitué de trois strophes de vers libres, structurées par l'anaphore du verbe «je t'aime». Ce commentaire montre en quoi le lyrisme de ce poème tient d'une part à la déclaration d'amour faite à une femme idéalisée, d'autre part à la célébration de l'amour comme renaissance ou résurrection. I- Une déclaration d'amour passionnée 1/ Une structure significative 2/ La figure

 » Le registre est lyrique : il a de nombreux points communs avec le mouvement romantique, se caractérisant également par l’expression des sentiments intimes et les thèmes du bonheur, de l’amour et de la nature (voire paragraphes précédents). Le lyrisme a recourt à la fonction injonctive du langage (on invoque un destinataire) : dans les poèmes de l’Âme en fleur, Hugo se confie généralement au lecteur ou interpelle l’être aimé. On a une musicalité, un rythme du ver, avec des rimes croisées et des

ville : espace ouvert, de liberté => enthousiasme des artistes du début du siècle pour la ville b)-thème errance mètre : quintils d'octosyllabe, antithèse avec l'errance → Absence de ponctuation, diérèse « melodieux » c)-Référence a l'antiquité, lyrisme → Référence à Apollon : le soleil dont il est le dieu + la lyre qu'il a inventé. → Le registre lyrique s'impose ici la ville et le moi sont liés, errer dans la ville au rythme du moi. II La célébration de la ville moderne a)-Éléments concrets, évocation

le lyrisme afin d’exprimer les sentiments personnelle les plus intense. Des thèmes aussi différenciés que l’amour, la passion ou la mort sont traités. Mais dans quelles mesures peut-on dire que la mort est un des sujets de predilection des poetes lyriques ? Apres avoir vu que les poetes lyriques semblent inspiré par les dieux, nous verrons que la mort, touche aussi et surtout à tout ce qui a un rapport avec la vie. Enfin, les poetes traite de la mort pour célevrer la vie. Le lyrisme ne saurait

INTRODUCTIONS ET CONCLUSIONS L'albatros traduit chez baudelaire(1821-1867) la conscience d'êtres different des autres. Le poète a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'Albatros capturé évoque l'idée d' un êtres completement étranger au monde qui l'entoure. Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits c'est à dire non compris par les gens de son époque. Les trois premieres strophes de son

individualité, leurs libertés, leur engagement dans certaine cause (Le dernier jour d’un condamné est un bon exemple de l’engagement de Victor Hugo contre la peine de mort), le mal du siècle (le romantique se plaît à la tristesse), l'exaltation du "moi" (lyrisme), la beauté et l'amour En règle générale, les romantiques sont de jeunes gens engagés dans leur époque. C. Rapport avec le classicisme Le romantisme est la cession des artistes avec la droiture et les règles du classicisme. Pour eux, les

est une poésie qui s’ancre dans l’histoire, avec les conséquences des événements historiques et des changements que cela entrainent sur l’expressivité des poètes. Après l’époque baroque au style flamboyant, qui avait mis de côté toutes formes de lyrisme, les révolutions françaises réaniment ce genre, mais le modifie. En effet, le poète n’exprime plus des sentiments personnels, mais cherche à valoriser le collectif. Le « je » disparait au profit d’un « nous » humaniste, plein d’espoir. La première

enthousiasme pour le savoir et un optimisme qu'illustre Rabelais et qui permet de rompre avec les contraintes du Moyen Âge.La deuxième période privilégie l’art et l'imitation des auteurs italiens, romains et grecs. Le raffinement s’impose sans éliminer le lyrisme avec des poètes comme du Bellay et Ronsard. Le dernier tiers du siècle voit un questionnement marqué par le scepticisme (Montaigne) et le tragique du temps des guerres de Religion (Robert Garnier, Étienne Jodelle) : la notion de sagesse évolue, et