Lyrisme Collectif Hugo

modernité littéraire dans ses ouvrages critiques qu’il a publiés durant sa carrière littéraire. C’est l’un des premiers qui a abordé la question de la modernité dans l’art. Baudelaire était un poète romantique influencé par les écritures de Victor Hugo. Alors au milieu du XIXe siècle, quand la "scène littéraire" était dominée par deux grands mouvements qui se partagent l'espace d'expression poétique, on parle du Romantisme et de Parnasse. La poésie a subi un changement littéraire qui rompt avec

révolution surréaliste avec Breton à celle de l’existentialisme avec Sartre, toute une génération, principalement de poètes et de romanciers, redécouvre ainsi l’urgence des questions sur la fonction de l’écrivain, sur son engagement, individuel ou collectif. 3. Vers la crise des idéologies : de la Seconde Guerre mondiale date, pour des raisons historiques et géo-culturelles, le décloisonnement de la littérature française, dans le contexte d’une histoire des mentalités et des idées qui s’internationalise

échappe aux règles. Le 1er a utilisé le mot romantisme dans les arts est Gut. Il oppose classicisme et romantisme : « le romantisme est ce qui est malade par opposition au romantisme qui représenterait ce qui est sain. » Idée reprise par Victor Hugo dans la préface de Kromuel. Il parle du romantisme en faisant l’apologie du laid, où on trouve la diversité et la vie par opposition au beau idéal du classicisme dénué de vie et de variété. Architecture – Naissance du néo-gothique en Angleterre

différente, plus démonstrative, les deux héros créent les événements ; lors du séjour chez le duc et la duchesse, de chapitre en chapitre alternent les mésaventures de don Quichotte et le gouvernement par Sancho de son île ; il y a moins de souffle et de lyrisme. Cervantès avait alors dix ans de plus, avait mûri, se trouvait aux prises avec un héros qui vivait déjà de sa vie propre dans l’imaginaire du public. Un maître dans l’art du récit, il est le narrateur le plus souple, le plus varié, le plus puissant

(héros, exploits guerriers…), par la présence d’éléments surnaturels ou mythologiques er par la personnification des forces de l’univers (feu, air, terre, eau). Le 19ème siècle va étendre le registre épique à la poésie et au roman : poèmes de Victor Hugo et fresques de Emile Zola. Procédés stylistiques et grammaticaux du registre épique : - Champs lexicaux de l’héroïsme, la guerre, la fraternité et surnaturel - Procédés rhétoriques d’amplification comme l’hyperbole, la gradation, l’antithèse

marche de long en large, la main crispée sur le couteau enfoui dans ma poche et tiède, ruminant des actes effrayants. © Cned, Français 3e — 39 © Cned – Académie en ligne c c Séquence 4 SÉQUENCE 4 Séance 1 Étymologie du mot lyrisme : lyrisme et lyrique viennent du grec lura, la lyre. Cet instrument à cordes a des origines légendaires. On raconte qu’Hermès, dieu des troupeaux, des routes et des marchands, en fut l’inventeur, mais qu’elle devint l’attribut d’Apollon. Dans l’Antiquité

caractéristiques très variés. On peut parler du romantisme au pluriel. Chateaubriand a créé le romantisme et sa relation avec la nature. Il y a de l’importance de la mélancolie. Victor Hugo avait une voix plus forte. Lamartine c’est plutôt la sensibilité avec les larmes. Il commence avec Chateaubriand et termine avec la mort de Victor Hugo. Baudelaire, à la fin du siècle sera un peu romantique. L’expérience de la vie et l’individu vont être des thèmes très importants. Au XVII siècle il y avait la règle, la

écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. » Avec les découvertes de Freud, de la volonté d’un travail collectif naît l’écriture automatique, souvent laissant libre court au rêve, si ce n’est au cauchemar. Dalí fera d’ailleurs preuve d’un grand apport à cette théorie par son analyse paranoïa critique. On verra d’ailleurs se développer un automatisme pictural

1802-1805) l'art commence par la subjectivité lyrique, puis s'élève à l'objectivité épique et atteint enfin à la synthèse dramatique, interpénétration de la subjectivité et de l'objectivité. De même Hugo, dans la Préface de Cromwell (1827) envisage une vaste histoire anthropologico-poétique. Le lyrisme est l'expression des temps primitifs, où l'homme s'éveille dans un monde qui vient de naître. L'épique est l'expression des temps antiques où tout s'arrête et se fixe. Et le drame est le propre des

lexical de la mort : « sang », « mort », « deuil », « crèvent » et « pourrir ». 3. Au vers 38, le ton du poème change. 4. La familiarité et la sympathie laissent place à la vulgarité et à la violence d'un language antipoétique qui rompt avec le lyrisme : « Quelle connerie ». 5. Violence qui transparaît dans les sonorités : L'allitération en « d » et en « t » des vers 39 à 58 : cela marque l'agressivité du poète. L'allitération en « r » dans les quatre derniers vers du poème : dénonce la violence