Lyrisme Chez Rimbaud

Samain IV. Le dormeur du val (1870) Arthur Rimbaud V. Allégorie (1857) Charles Baudelaire VI. Melancholia (1856) Victor Hugo VI. Quand la fureur ... (1550) Du Bellay Préface La poésie est un art complexe dont la définition est propre à chacun. Si on s’informe, on nous répond que l'art poétique est le meilleur moyen pour exprimer ses sentiments, tels que l'amour, le regret, la solitude, les souvenirs, thèmes récurrents exprimés par le biais du lyrisme. Je connais très bien cette définition de

moyen d'exprimer ses sentiments, de les faire savoir. Notamment, au travers du lyrisme qui se centre avant tout sur le "moi" du poète. La poésie est, en effet, souvent reliée à des sentiments mélancoliques ou de désespoir. Pour Musset, l'inspiration poétique proviendrait même de cette souffrance : "Les plus désespérants sont les chants les plus beaux", dit-il. Le thème priviligié surtout chez les romantiques mais aussi chez les poètes des courants suivants, est celui de l'amour. Les femmes inspirant

le poème Mors, qui s’ouvre sur la figure de la Faucheuse, allégorie de la mort. Le contraste avec la première partie du recueil « Autrefois », consacrée aux poèmes du bonheur, montre bien le mal dont souffre Hugo à cette époque de sa vie. Arthur Rimbaud, qui a fait de nombreuses fugues dans sa jeunesse, est aussi un poète « maudit ». Il pousse à son comble la révolte qu’il ressent, notamment dans son recueil Une saison en enfer, qu’il écrit après une période de crise avec son grand ami Paul Verlaine

découverte des ‘’Fleurs du mal’’. Il n’avait quasiment pas étudié depuis quatre ans quand, en 1862, il obtint tout de même son baccalauréat en 1862, dans les mêmes conditions que Baudelaire : de justesse ! Cette année-là, il passa ses vacances d'été chez Élisa, et essaya à cette occasion de reconquérir son cœur. En vain. En 1863, il commença à publier des poèmes dans ‘’La revue du progrès moral’’. Il rencontra Banville, Heredia, Coppée. Contribuèrent à le désaxer la mort de son père en 1865, puis

caractéristique de la poésie devient la remise en cause des normes. Le romantisme est l'appel des émotions. Le poète interpelle les puissants + le peuple. Il est positionner comme la conscience de la société. Il evoquera les différentes pallettes d'émotions chez l'homme ( amour, solitude, souffrance devant la mort)* Victor Hugo dit : " Le poète a pour rôle de marcher devant les peuples comme une lumière." Victor Hugo a eut un rôle de precurseur. La révolte des poètes maudit ( ou poètes incompris): Baudelaire

utilisent dans la poésie engagée des images, éveillent des sensations, sentiments ou encore des émotions chez le lecteur afin de leur faire prendre conscience de la véracité de leurs dires. Durant la seconde guerre mondiale comme dans de nombreuses guerres qui ravagèrent l'histoire de l'humanité, les poètes se succédèrent pour appeler les peuples à se soulever contre l'oppression en faisant naître chez eux des sentiments de colère et de patriotisme. C'est le cas du poème « Ce cœur qui haïssait la guerre

AGE, MOYEN FRANçAIS Cette littérature médiévale va s’affiner avec le Moyen français et des gens comme RUTEBEUF : « savez-vous comment je m’arrange ? L’espérance du lendemain, Ce sont mes fêtes. » Premier à exprimer en langue d’oïl un lyrisme personnel. CHRISTINE de PISAN : 1ère femme à vivre de sa plume. Des œuvres de commande mais aussi des rondeaux qui laissent échapper la confidence personnelle. = poésie de circonstance et fonction lyrique marquée par la confidence personnelle

de l'identification du genre, cependant, une autre dimension vient s'installer pour nous ouvrir une nouvelle fenêtre donnant sur le repère générique, et là on doit parler de ce que l'école allemande appelle "l'horizon d’attente », et qui se traduit chez H.R. JAUSS par la réception ou la théorie de la réception ; en d’autres termes, c’est La relation entre genre et lecteur qui est liée à une « précompréhension » naïve, certes, dénudée d’une quelconque réflexion. L’acte du jugement préréflexif

fort vocabulaire de la peur , de l'étrange (« peur, épouvante , terrible, atroce,...»)ce qui suscite chez le lecteur des émotions semblables à celles du narrateur (« haletant et frissonnant d’effroi, nerveux,...»). Nous sommes alors transportés dans un monde parallèle où l'effroi est omniprésent. Mais cette peur est due à l'inconnu, à l'imagination, ce qui serait la définition du fantastique chez Maupassant mais aussi sa méthode d'intégration du lecteur dans son histoire car tout le monde s'y retrouve

remplacement par un passant poète du panneau d’un aveugle, « Aveugle de naissance » par «Le printemps va venir, je ne le verrai pas ». Cette phrase contraste avec la simplicité habituelle de ces panneaux pour suggérer des images, des contrastes, un lyrisme avec l’emploi du « je ». Le langage poétique s’oppose au langage quotidien, il est plus personnel, plus complet, il fait appel à un effort de compréhension, à l’imagination, à l’utilisation de nombreuses métaphores qu’il faut décoder, à de nombreux