Lydec Assainissement

Maroc. Les communes disposent de compétences étendues, de la majeure partie des ressources affectées aux collectivités locales. Proches du citoyen, elles interviennent dans les aspects de la vie quotidienne qui les touchent : éclairage publique, assainissement, adduction d’eau et d’électricité, transport public, Etat civil….[4]. 2. Les attributions de la commune  Les compétences et attributions du Conseil Communal sont fixées par les articles 35 à 40 de la Charte Communale. Il règle par

gestion déléguée des services d’assainissement liquide et de distribution d’eau potable et d’électricité des wilayas de Tanger et de Tétouan. Il s’agit de la troisième expérience de privatisation des régies autonomes, après la régie de Casablanca (Lydec) en 1997 et Rabat (Redal) en 1998. L’appel d’offres international est lancé le 31 décembre 1998, par la commune urbaine (CU) de Tanger ; et un autre à Tétouan le 15 décembre 1998 par la CU de cette dernière ville. Il a connu la participation de

critère de ce que l’on appelle en espagnol la « razonabilidad », c'est-à-dire que notre offre technico-économique avait été jugée tout à fait raisonnable. L’objectif était bien entendu la desserte de l’ensemble de l’agglomération en eau et en assainissement, y compris les quartiers défavorisés. Nous avons d’ailleurs beaucoup travaillé sur le sujet de l’alimentation en eau des quartiers pauvres, comme l’évoquera Sacha Braïlowsky tout à l’heure. C’était un contrat très ambitieux, très précis dans ses

son organisation, sa gouvernance. Le thème de l'eau est traditionnellement divisé en trois sous secteurs : l'eau potable, l'assainissement et l'irrigation. Certains opèrent une distinction eau propre, (accès eau potable, irrigation)/eau sale, (assainissement). D'autres territoriales ou en termes de centres urbains majoritairement concernés par les secteurs d'accès à l'eau et d'assainissement et de périphéries rurales plus concernées par le problème de l'irrigation. Mon choix se place dans une approche

progressivement de la production et de la distribution d’électricité pour s’occuper seulement du transport d’électricité et de l’électricité du pays. C’est ainsi que la distribution d’électricité dans les villes de Casablanca et Rabat ont été cédée au privé (LYDEC, REDAL). De plus l’importation de l’électricité d’Espagne confirme cette tendance. La consommation annuelle d’électricité au Maroc est de 9millions de tonnes équivalent pétrole (TEP). Le contexte de forte croissance exige en permanence la mise en service

et de la REDAL1 assure en 2003 les services de distribution de l’eau potable, de l’assainissement liquide et de l’électricité sur 17 collectivités locales 1 relevant de 3 préfectures (Rabat, Salé et TERRITOIRE DU SERVICE REDAL : Eau potable, Assainissement liquide et électricité A. Jusqu’en septembre 2003 Préfecture de Rabat : - Municipalités de Yacoub el Mansour, Hassan, Youssoufia, Agdal-Riad, Touarga = Communauté Urbaine de Rabat. Préfecture de Salé : - Municipalités de Bab Lamrissa, Tabriquet

investissements réalisés par les Régies de distribution portent sur le renforcement des réseaux de distribution d’eau, d’électricité et d’assainissement liquide. Ils se sont élevés à 571 MDH en 2003 (hors LYDEC, REDAL et AMENDIS). L’évolution 2003-2005 se présente comme suit : Rubriques (MDH) Eau Electricité Assainissement TOTAL 26/10/04 13:10 2003 2004 201 133 237 571 25 2005 505 202 669 1.376 364 204 825 1.393 La forte progression enregistrée en 2004 et 2005 reflète l’importance accordée à ces secteurs

centres de loisirs, colonies de vacances, maisons de culture, théâtre municipaux, offices de tourisme, etc.). Au Maroc, plusieurs services publics revêtant un caractère tantôt industriel et commercial (eau, électricité) tantôt administratif (assainissement, ramassage des ordures) ont été concédés. Les activités pouvant être concédées sont très variées : 2 Les transports (routiers, aériens, ferroviaires, maritimes) ; L’infrastructure des voies de communication (routes, ponts, aérodromes, ports)

SECTION N Santé et action sociale 85 Santé et action sociale : 85-1 Activités pour la santé humaine : 85-2 Activités vétérinaires : 85-3 Action sociale : SECTION O Services collectifs, sociaux et personnels 90 Assainissement, voirie et gestion des déchets : 90-0 Assainissement, voirie et gestion des déchets : 91 Activités associatives : 91-1 Organisations économiques : 91-2 Syndicats de salariés : 91-3 Autres organisations associatives : 92 Activités récréatives, culturelles et sportives :

décompte définitif (ce qu'on a payer réellement), on recalcul la taxe et on paye le reste. - Topographe : il rapporte la réalité pour qu'on la compare avec le plan NE VARIETUR. - Provoquer la comission de réception provisoire. (télécommunication, assainissement). - Topographe : Implanter les bornes. - Cadatre : Contrôle sur terrain et procédure d'éclatement (CF : on paye 1.5% de la valeur du lot pour chaque nouveau titre). Remarque : Normalement le topographe doit être le policier de la quantité