Lycée Utopique

plateaux et vidaient les cendriers. Puis les élèves n'avait qu'à s'étendre sur les canapés pour faire leur sieste. Après tout cela, les cours reprenaient pendant deux heures. Puis, lorsque les élèves avaient fini d'étudier, ils pouvaient quitter le lycée et rentrer dans leur chambre. Là, la journée était finie et à 17heures, tout le monde commençait déjà à prévoir où ils sortiraient le soir (car les élèves n'avaient pas de devoirs et pouvaient se lever tard le matin). Et ce fût ainsi qu'étudiaient

ne le touche. Je cru à un temple voué au culte d'un Dieu vénéré par les habitants de l'île. J'entreprends donc l’ascension vers ce « temple » guidée par les habitants, qui ne tardent à me dire qu'il s'agit d. lieu d'enseignement de l'île : le lycée. Loin de mon but, mais assez proche pour en décerner le sens, je perçois écrit en lettres capitales sur le mur de l'édifice SPIRITUS VITAM EST, « L'esprit est vie ». A la cime, la nature ne paraît que plus belle, sublimée par l'éclat du bâtiment

proverbe « un esprit saint dans un corps saint ». Les élèves avaient le choix entre plusieurs matières mais chaque grande catégorie était obligatoire : Les langues, les sciences, la littérature et les arts appliquées. Pour ce qui était du sport, le lycée disposait d’une grande piscine bleue azur et ses lofts ainsi qu’un stade synthétique et ses gradins aussi grands que le Stade de France à Paris. La cantine comportant plusieurs réfectoires, il était possible de choisir tout un chacun des menus différents

D'une situation industrieuse à la situation de la classe laborieuse Il est issu d'une famille d'industriels, son père avait fait fortune dans l'industrie du textile. Il doit quitter le lycée d'Elberfeld pour raisons familiales en 1838. Tout en travaillant comme commis dans une société commerciale à Brême, il commence à étudier la philosophie en profondeur. Il se rapproche particulièrement de la philosophie de Hegel, qui prédomine dans la philosophie allemande de l'époque, au détriment de celle de

hommes entre eux se désignent par le nom de “ frère ”. Enfantin transforma le mouvement saint-simonien en église. Ainsi, déjà chez les « socialistes utopiques », avant l’apparition du marxisme, l’autorité est détenue et exercée sur les individus, par le social, par la société, par la collectivité. Parmi les socialistes utopiques, Fourier est célèbre pour son idée des phalanstères. Le terme “ phalanstère ” est une combinaison des termes “ phalange ” et “ monastère ”. Le Petit Larousse

SOCIALISME SCIENTIFIQUE/SOCIALISME UTOPIQUE : Le socialisme utopique et le socialisme scientifique sont deux notions qui ont tendance à s’opposer sur leur manière de considérer les raisons qui poussent la société à se transformer. Dans un premier temps, le socialisme utopique regroupe l’ensemble des principes et des opinions des premiers socialistes européen du XIXème siècle, précédant Marx comme notamment Robert Owen en Grande-Bretagne, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet et Philippe

principes d'égalité des personnes (1 personne 1 voix), de solidarité entre les membres et d'indépendance économique. La notion d'économie sociale est née à la fin du XIX ème siècle et s'est progressivement structurée sous l’impulsion du socialisme utopique (cf encadré 1), du mouvement ouvrier et du catholicisme social. La notion d'économie solidaire, se reporta à des activités visant à expérimenter de nouveaux « modèles » de fonctionnement de l'économie, tels le commerce équitable ou l'insertion

LE FAMILISTÈRE DE GUISE 1858-1883 de Jean-Baptiste Godin Jean-Baptiste André Godin, est né à Esquéhéries en 1817 et mort à Guise en 1888. C’était un industriel et philanthrope1 français, inspiré par le socialisme utopique et acteur du mouvement associationniste2, créateur de la société des poêles en fonte Godin (les cheminées Godin, fin 19ème siècle) et du familistère de Guise. 1philanthrope : Du grec philos (ami), et anthropos (homme), la philanthropie est la philosophie ou doctrine

communautaire utopique Selon le dictionnaire une communauté est un "groupe de personnes vivant ensemble et partageant des intérêts, une culture, ou un idéal communs." « A l’origine, le terme utopie, forgé sur le grec ou (non) et topos (lieu), c’est-à-dire "en aucun lieu ", désigne un plan de gouvernement, de société imaginaire, où tout est parfaitement réglé pour le bonheur de chacun, comme au pays fabuleux d’Utopie décrit par l’humaniste anglais Thomas More »[1] La vie communautaire utopique est donc

Exposé Sur "les Socialismes" Les socialismes Exposé Introduction 1 • Étymologie 2 • Définition 3 • Naissance d’une idée I • Les courants de la pensée socialiste 1 • Le socialisme utopique 2 • Le socialisme marxiste 3 • Le socialisme libertaire ou l’anarchisme socialiste 4 • Le socialisme réformiste et la social-démocratie 5 • Les autres socialismes II • Le socialisme en action 1 • Les deux traditions socialistes   1-1 • Avant et pendant la 1ere Internationale   1-2 • L’époque