Lutter Contre La Déforestation

avancées de la convention et prendre des décisions pour atteindre les objectifs de lutte contre les changements climatiques. La première en date, eut lieu à Berlin en 1995 1.2 Protocole de Kyoto. Le Protocole de Kyoto est un traité international signé le 11 décembre 1997, lors de la COP3 au Japon. Il peut être assimilé à une feuille de route, qui comprend les mesures nécessaires pour lutter à long terme contre le changement climatique causé par l'augmentation des gaz à effet de serre anthropiques

selon lequel, normalement, le pollueur doit assumer le coût de la pollution, dans l’intérêt public et sans fausser le jeu du commerce international et de l’investissement. Le principe de solidarité : La protection de l’environnement et la lutte contre la pauvreté concernent tous les pays selon des responsabilités communes, mais différenciées. La coopération entre les Etats devra être basée sur la bonne foi sans nuire aux autres Etats, qu’il convient d’avertir de toute catastrophe ou activités dangereuses

introduites dans l’archipel d’Hawaii ont ainsi apporté avec elles des virus de la malaria aviaire qui ont décimé les espèces indigènes qui n’y avaient jamais été exposées et n’avaient donc développé au cours de leur histoire évolutive aucune défense contre ces virus. Ajoutant leurs effets aux destructions d’habitat, ces introductions ont ainsi fait disparaître, depuis 1800, 31 espèces d’oiseaux endémiques. Du point de vue de l’Homme : les services écosystémiques La notion de « service écosystémiques

comme Roger A Pielke pensent que l'influence de l'homme sur le changement climatique est plus complexe que le seul accroissement du CO2. Les combustibles fossiles sont : * le charbon * les produits pétroliers * le gaz naturel * La déforestation : une forêt mature est un réservoir important de carbone. La disparition de surfaces toujours plus grandes de forêt au profit de cultures ou de pâturages (emmagasinant une quantité moindre de matière organique), a pour effet d'augmenter les rejets

société avec des catastrophes écologiques causées par l’homme et les conséquences qu’ils peuvent ou qu’ils ont provoquées. Dans cet ouvrage, il ne s’agira pas de dénoncer, comme le fait ce photographe écologiste français, toutes les actions néfastes contre l’environnement, mais plutôt de comparer plusieurs sociétés anciennes, contemporaines ou futures et de voir comment elles protègent, respectent, partagent, exploitent, dominent, ou détruisent l’environnement dans lequel elles s’implantent. Cette

Théâtre National de Dakar. Cette année, Jean-Marie Gustave Le Clézio, prix Nobel de littérature, présidait le jury qui comptait parmi ses 11 membres l’écrivain Haïtien Lyonel Trouillot. L’auteur récompensé, Kamel Daoud, l’a été pour son roman Meursault, contre-enquête, et s’est vu remettre son prix en p... Afficher la suite Partager · 41 Organisation internationale de la Francophonie (OIF) 19 h Pavillon de la Francophonie © - OIF Partager · 1 Fil d’actualité Organisation internationale

augmenté, et est de 2800 cal/jour/ personne. Cependant, ces moyennes cachent l'écart alimentaire entre les pays riches et les pays en développement. En 2002, des pays comme la Chine, les État-unis ou la France, disposent de plus de 2900 cal/jour/hab, par contre, l'Éthiopie et le Congo possèdent moins de 1900 cal/hab/jour. Les habitants de ces pays sont sous-nourris, 850 millions de personne dans le monde sont dans la même situation. Cela concerne les pays riches: 26 millions aux État-Unis mais majoritairement

dominant du système capitaliste a engendré des dégâts écologiques qui ont dégradé la qualité de l'environnement. On constate un épuisement des ressources non renouvelables en matières premières et en énergie, une pollution de l'air, de l'eau, une déforestation ... La croissance actuelle rejette en quantités grandissantes des déchets qu'elle ne sait pas traiter sans compter les nuisances sonores, embouteillages... Ce sont les pays développés qui exercent le plus de pression sur la nature. Ce sont eux

d'émission qu'ils disent entreprendre. Ils ont confirmé la création d'un Fonds vert afin de financer l'adaptation des pays du Sud au changement climatique à hauteur de 100 milliards de dollars par an en 2020 et précisé les mesures pour lutter contre la déforestation. Les autres actions La convention sur la diversité biologique, adoptée lors du sommet de Rio et entrée en vigueur en décembre 1993, a pour objet la réduction du rythme d’appauvrissement de la diversité biologique à l’échelle planétaire

(Italie, 1976), Bhopal (Inde, 1984), Tchernobyl (Ukraine, 1986), Exxon Valdez (au large de l’Alaska, 1989), etc. Sans oublier les dégâts écologiques inquiétants : pollution de l’air et de l’eau, disparitions des espèces animales et végétales, déforestation massive, désertification… La poursuite au même rythme des émissions de GES, notamment celles de gaz carbonique, pourrait en effet, selon un scénario moyen, entraîner un doublement de leur concentration d’ici à 2100 et une élévation de la température