Lutte Contre L Exclusion

plus de 25 ans, ils peuvent percevoir le RSA si nécessaire. Ils peuvent faire appel et/ou être bénévoles dans des associations ou fondations comme Emmaüs, Les restos du cœur, La banque alimentaire… | La loi 98-657 du 29 juillet 1998 de « lutte contre les exclusions » énonçait que « CHRS, dont les conditions de fonctionnement et de financement sont prévues par décret en Conseil d’Etat, assurent tout ou partie des missions définies au 8o de l’article 3 de la loi 75-535 du 30 juin 1975 relative aux institutions

thérapeutiques et de catastrophes sanitaires récentes (sang contaminé), elle s’est inscrite dans le prolongement de textes précédents visant au : - renforcement du contrôle et de la veille sanitaire des produits destinés à l’homme, - la lutte contre les exclusions dans le domaine de la santé, - la mise en place d’une couverture maladie universelle assurant la gratuité des soins pour les personnes les plus démunies, - le développement des soins palliatifs, - la réforme de la législation

les différents acteurs de ce siècle passé ont su prendre les initiatives, et la prise en main collective des problématiques de voisinage pour faire des Centres Sociaux ce qu'ils représentent aujourd'hui: un établissement de proximité de lutte contre les exclusions, un lieu où l'on participe collectivement à la gestion d'un équipement de loisirs, que l'on soit habitant ou professionnel de l'action sociale. III – Le résumé 1 – L'époque des pionniers ( 1897- 1945 ) En 1889,Jane Addams crée Hull House

Intégration et solidarité Pré-requis : Socialisation Valeurs / normes Statut / rôle Reproduction Culture Intégration Notions du programme officiel : Lien social Socialisation Intégration Exclusion Pauvreté Anomie Déviance Individualisme Solidarité organique / mécanique État-providence Assurance / assistance Redistribution Risques sociaux Universalisme / communautarisme Problématiques essentielles : Comment

discours dominants. De plus, elle considère que donner la parole aux subalternes signifie aussi qu'ils forment un sujet homogène. Cependant, les réseaux de pouvoir, de désir et d'intérêt des subalternes sont hétérogènes : unis uniquement par leur exclusion du discours et du pouvoir hégémoniques ; rien n'unit ces familles rurales, ces peuples tribaux et ces communautés de travailleurs précaires. C'est toute la difficulté de la recherche postcoloniale : identifier les subalternes a permis de mettre en

besoins de ce public : Les Permanences d’Accueil, d’Information et d’Orientation (PAIO), conçues au début des années 80, reçoivent et accompagnent les jeunes de 16 à 25 ans dans leur projet d’insertion sociale et professionnelle. Les lois de Lutte contre les exclusions (1998) puis de programmation pour la cohésion sociale (2004) ont créé, pour les jeunes le programme Trace (Trajet d’Accès à l’Emploi), puis le Civis (Contrat d’Insertion à la Vie Sociale), mais aussi les Points Accueil Ecoute Jeunes (PAEJ)

L’action sociale = L’aide sociale L’action sociale = Elle tend à promouvoir, dans un cadre interministériel, l’autonomie et la protection des personnes, la cohésion sociale, l’exercice de la citoyenneté, à prévenir les exclusions et à en corriger les effets. Elle repose sur l’idée de libre initiative. Les acteurs = (publics et privés) L’Etat ; Les collectivités territoriales (département, commune) ; Les organismes de sécurité sociale (CAF/MSA/CPAM) ; Les entreprises (CE/IP/Service social) ; Les

dans l'autre, son compatriote, une image de lui-même qui lui permette de suivre le fil de la continuité de sa propre identité. [...] Pourtant, si l'on peut dire que la culture immigrée est vécue à la fois comme un enjeu et comme un instrument de lutte, il faut considérer que cet enjeu est lui même ambigu. Car l'immigré doit se battre sur deux fronts à la fois, parfois contradictoires : il doit affirmer, d'un côté, des spécificités nécessaires pour assurer la cohésion du groupe et, de l'autre côté

au sein des politiques sociales diffèrent selon les états. Les allocataires sociaux qui sont responsabilisés de leur inactivité sont engagés dans un contrat avec l’Administration. Elle procède à une hiérarchisation des individus jusqu’à leur exclusion et a recours à une échelle d’ « employabilité ». Les travailleurs les moins « employables » sont les plus susceptibles de se voir « offrir » des emplois aux conditions les plus défavorables. L’usager est ainsi mis à disposition comme main d’œuvre

. crises des valeurs MESURES ENVISAGEES POUR LUTTER CONTRE LA DELINQUANCE Il y a 2 orientations possibles : - pévention de l'éducation - traitement delinquances :repression 1-4 Exclusion: - mis l'ecart d'un individu dans la société - peut prendre plusieurs formes c-a-d economique,socio culturelle ou sanitaire Mesure de lutte contre l'exclusion: - Mesure financiere : loi sur le surendettement -