Lutte Biologique

sanitaire de l'agrosystème est donc nécessaire. Les moyens de lutte phytosanitaire sont très variés. Vous pouvez ainsi avoir recoure à l'utilisation de produits chimiques : antibiotiques pour les élevages, pesticides pour les cultures. Ces derniers permettent notamment d'éliminer les insectes (insecticides), les champignons (fongicides), les « mauvaises herbes » (herbicides). Ou à l'utilisation des moyens biologiques : lutte biologique comme l'épandage de coccinelles, prédateurs des pucerons qui peuvent

La Protection Biologique Intégrée • Introduction Problématique : Peut-on réduire les pesticides dans les champs grâce a des moyens non polluants ? Motivations : Nous voulons préserver notre planète, en essayant de minimiser les dégâts causés par les pesticides sans en imprégner les plantes. C’est pourquoi nous avons décidés de faire de la PBI (Protection Biologique Intégrée) notre TPE. 1. Présentation de la PBI Pour avoir le minimum de problèmes dans les cultures

variées : • • • • • • • • agriculture et sylviculture : phytopathologie lutte contre les ravageurs, lutte biologique pollinisation élevage des insectes domestiques : apiculture (abeilles), sériciculture (vers à soie) écologie, notamment pour la détermination de l'IBGN (Indice biologique global normalisé) médecine humaine et vétérinaire (lutte contre les insectes parasites - parasitologie - et vecteurs de maladies infectieuses), lutte contre la gangrène par traitement impliquant des asticots, acuponcture

peuvent devenir des prédateurs, ou transmettre des maladies ou encore détruire directement leur habitat ,allant jusqu'à provoquer l’extinction de nos espèces pour de nouvelles espèces venant de pays lointains comme la chine ou l’inde. L’invasion biologique est désormais reconnais maintenant comme la deuxième cause , après la destruction des habitats, de la destruction de la diversité .Ses espèces sont de plus en plus nombreuses comme montré sur le graphique ci-dessous 2)exemple : a)plantes :

cortège d'ennemis naturels notamment des œufs, des chenilles, des chrysalides et des papillons. Champignons, virus, bactéries, insectes, oiseaux, rongeurs… Des études sont en cours sur la prédation par les mésanges Moyens de lutte Pour les petites surfaces : * Lutte mécanique, l'échenillage : pour les surfaces réduites (parcs et jardins), elle consiste à enlever et à détruire les pontes et les nids. les nids seront incinérés. Dans ce cas, il convient de se protéger de tout contact avec les

en groupe, serrées les unes contre les autres. Malheureusement durant cette période elles sont souvent attaquées par un champignon, le Beauveria. Ce dernier peut parfois détruire 70 % des effectifs.Un insecte utile à l'homme    La lutte biologique est une méthode de lutte contre les ravageurs des cultures, qui fait appel à des organismes vivants (prédateurs, parasitoïdes) ou à leurs produits (toxines bactériennes ou virales). Cette méthode permet d'une part la préservation des cultures, d'autre part

(cultures, élevage, échanges de produits, ...). Un Agrosystème est donc contrôlé en permanence par l'homme. Ce sont des écosystèmes totalement artificiels où le temps de renouvellement des organismes vivants est extrêmement court. Lutte biologique Une forme spécifique est la lutte «autocide» : on fait appel à des mâles stériles, qui lâchés en grand nombre concurrencent les mâles sauvages et limitent particulièrement fortement la descendance des femelles. Cette méthode est bien adaptée aux cultures sous

d'éviter que le sol ne s'épuise. De plus, il existe de nombreux ennemis des cultures qui diminuent les rendements : plantes adventices, insectes, animaux dits ravageurs, parasites. Pour tous ces problèmes ci-dessus , il y a la lutte biologique , c'est une méthode de lutte contre un ravageur ou une plante adventice au moyen d'organismes naturels antagonistes de ceux-ci, tels que des phytophages (dans le cas d'une plante adventice), des parasitoïdes (arthropodes…), des prédateurs (nématodes, arthropodes

haricot, le pois, la tomate, le melon, la laitue... Chez les arbres et les arbustes, le noyer, le noisetier, l'amandier, le cerisier, le platane, le framboisier, le groseillier, le rosier, sans oublier la vigne, sont aussi concernés. Prévention et lutte Des mesures préventives sévères doivent accompagner les cultures. Le champignon parasite se conserve plusieurs années dans le sol, d'où la nécessité de pratiquer des rotations longues des plantes sensibles (5 à 6 ans). Choisir aussi des semences pour

fraisier et de mauvaises herbes jusqu'à l'automne, puis se mettent à la recherche de sites d'hivernation. Une population endémique (qui est établie en permanence dans la fraisière) peut s'installer dans les plantations de trois ans. 3) - Lutte Biologique L'élimination des mauvaises herbes, surtout les dicotylédones (feuilles larges), aide à réduire la survie des jeunes adultes de l'AFF en faisant disparaître un habitat de choix. Un champ exempt de mauvaises herbes ne favorisera pas