Loutre

Sanglier, chevreuille et campagnole amphibie. Autres : Libellule, damier de la succise. Milieux : Eaux permanentes Oiseaux : Foulque (noir et long bec blanc), oie (long cou et patte orange), canard (tête verte). Mammifères : Ragondin, loutre d’europe. Autres : Brochet, grenouille. [pic] [pic] Damier de la succise Brochet Bilan de cette journée au marais de Goulaine -Un écosystème est une unité écologique fonctionnelle formé par la biocénose.

agréable Bouche en cocarde -> joyeux Jambes de fusées -> Finesse 3. Le corps de la femme est un microcosme (monde miniature) On retrouve un ciel avec étoiles, éclairs / mers avec écume, écluse / Pierre avec ambre, ardoise / Animaux avec loutre, souris… / Végétal avec foin coupé, moelle de sureau. Mécanisme avec le sablier. Elle parvient à confiner les contraires. Source d’apaisement. Femme précieuse -> luxe et richesse -> ambre, champagne, or, rubis… André Breton réaffirme les

nous vous invitons à les lire avec attention, et nous espérons qu’ils vous plairont. Bonne lecture ! Union libre « Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d'éclairs de chaleur A la taille de sablier Ma femme à la taille de loutre entre les dents du tigre Ma femme à la bouche de cocarde et de bouquet d'étoiles de dernière grandeur Aux dents d'empreintes de souris blanche sur la terre blanche A la langue d'ambre et de verre frottés Ma femme à la langue d'hostie poignardée

lèvres où se forme un doux miel savoureux. La plupart de ces descriptions apporte un aspect agréable et harmonieux à la femme. La nature permet aussi d'accentué le coté animale de la femme puisqu'elle est souvent comparé a un animale à la ''taille de loutre entre les dents du tigre'', aux ''dents d'empreintes d'une souris blanche'' et au ''sexe de placer et d'ornithorynque''. Cependant la nature donne aussi une image violente et déplaisante comme '' Ma femme au sexe d'algue et de bonbons anciens'' ou

différents éléments, les différentes formes de vie : le minéral : « ambre, pierre, ardoise, écume de mer, rubis, vif-argent, craie, grès, amiante... » le végétal : « bois, foin, fênes, troènes, blé, moelle de sureau, orge, rose... » l’animal : « loutre, souris, hirondelle, dauphins, martre, oiseau, paon... » le mécanique : « sablier, poupée qui ouvre et ferme les yeux, écluse, moulin, mouvements d’horlogerie, dépliement, balance, hache... » CONCLUSION : Breton a su créer ici un nouveau langage

cet incipit car elle dévoile le personnage. La casquette va amplifier le ridicule de se personnage, « Une coiffure d'ordre composite »: en parlant de la casquette. Description amplifiée par la longue énumération. Référence à l'animalité: « poil », « loutre », « poil de lapin ». Champs lexical de la Géométrie ridicule: « Boudins circulaires », « losange de velours », « polygones de carton », « croisillons (…) en manière de gland ». Et surtout, une personnification péjorative, insultante, qui apparaît

1)Le train 2) La vache 3)Vrai 4) L'électricité 5) Gaz 6) 120 litres 9 tonnes 8)Non 9) 100 ans 10) Le plastique 11) La coccinelle 400 litres 13) ours, lynx,loutre 14) 9kilos un label de commerce équitable Le développement durable 2: 1)Vrai 2)Faux 3)Faux 4)épluchures de fruits 5) La mairie Vrai 7) 3500 8) Vrai 9) Vrai 10) Faux

totale = 12 Abondance totale = 12 Espèce clef : espèce ayant un rôle dans la communauté est démesuré par rapport à son abondance (son abondance n’est pas important, mais si on l’enlève, son absence a un impact négatif sur son milieu) > exemple : loutre / étoile de mer espèce ingénieure : espèce qui modifie de manière importante la structure physique de son milieu > allogène : utilise dans éléments présents dans le milieu et modifie son milieu > autogène : utilise sa proche matière organique

Pyrénées, en Bigorre, on disait qu'à la Chandeleur l'animal sortait de la grotte où il hibernait, inspectait le ciel, et si celui-ci était dégagé, retournait dans son gîte pour quarante jours. Dans le Limousin, il s'agit du loup, en Lorraine de la loutre, en Irlande du hérisson, etc. En prenant pied sur le continent américain par les émigrants, la tradition s'est attachée à l'animal hibernant le plus répandu, la marmotte. Une entrée du journal personnel de James Morris, commerçant du comté de Berks

pourtraicts représentez au plus près du naturel (1555). Sa définition du mot poisson est très large par rapport à aujourd'hui : il y rassemble tous les animaux marins y compris la baleine ou l'otarie, des crustacés ou des anémones, l'hippopotame et la loutre de mer (et même le caméléon). Pourtant, ses commentaires, souvent basés sur ses propres observations, sont très bons et surpassent ceux de ses contemporains. Le xviie siècle est marqué par l'œuvre de John Ray (1627-1705) et Francis Willughby (1635-1672)