Louise Weiss Son Combat

leurs « ennemis » de faire obstacle au suffrage féminin. Avec le recul du temps, on peut constater qu’aucune des deux méthodes, violente ou pacifique, n’a directement porté ses fruits. Dans la lignée des suffragistes françaises et anglaises, Louise Weiss mène de 1934 à 1936 des campagnes tapageuses. Elle disait « c’est à coups de pied qu’il faut sortir le féminisme des quelques salons où il se pavane ». Elle fonde donc La Femme Nouvelle « association pour l’égalité des droits civiques entre Français

chapitres : Samedi soir : Ce premier chapitre nous envoie dans une tranchée pas loin du front, pendant la Première Guerre Mondiale en hiver de 1917. Le narrateur décrit la scène suivante : cinq soldats menottés se dirigent vers la première ligne de combat pour être exécutés. Tous les cinq se sont auto mutilés et le conseil de guerre les a condamnés à mort. Ces cinq soldats sont : Kléber (l’Eskimo), Francis (Six-Sous), Benoît (Cet homme), Ange (Droit commun), Jean (Manech). Et le personnage de Mathilde

élèves qui vont la superposer avec la précédente : est-ce que nous retrouvons les mêmes ruptures ? A nouveau, l’enseignant met en récit. La vie politique des femmes n’a pas commencé en 1944. Depuis l’entre-deux-guerres, des femmes comme Louise Weiss se battent pour que la femme française, tout comme les Anglaises, puisse voter. Nombreux sont les hommes, politiques ou non, qui lui refusent ce droit : la femme voterait selon les consignes de son confesseur… Parmi les dates à retenir,

attachés ; en effet, ce ne sont pas des soldats ordinaires : accusés de mutilation volontaire afin d'échapper au combat, on les a condamnés et c'est vers la mort qu'ils avancent. Il y a là Kléber Bouquet, dit l'Eskimo, un artisan menuisier ; Francis Gaignard, dit Six-Sous, ouvrier soudeur qui a essayé, en vain, d'éclairer les consciences de ses frères d'armes et de leur montrer l'inanité de leur combat ; Benoît Notre-Dame, dit « Cet Homme », un taciturne, robuste paysan de Dordogne ; Ange Bassignano, dit

Pankhurst  afin  de  représenter  l’Union  politique  et  sociale  des  femmes.  Ses  membres,  les  «  suffragettes  »  militent   pour  le  droit  de vote  des femmes. On observe que ce mouvement  a inspiré des militantes françaises  comme  Louise  Weiss,  Cécile  Brunschvicg  et  Madeleine  Pelletier  qui  sont  donc  à  l’origine  des  débuts  de  la  révolution  féministe   en  France.   Néanmoins  le  mouvement  ne parvient pas  à  faire  évoluer  la  situation  malgré   certains  coups  d'éclat

JOUR 1 : Le parlement européen de Strasbourg Depuis plus d'un demis siècle, le parlement européen, ou immeuble Louis-Weiss, est le cadre des relations internationales et du parlement européen. Situé dans le quartier de l'Orangerie, il a été achevé en 1998, grâce à l'entreprise Architecture-Studio Europe. C'est aussi là que siègent les sessions mensuelles des députés de l’Union européenne. L'arc central est coiffé d’un dôme sous lequel se trouve une prouesse architecturale immense où siègent

imposant la parité. En France depuis la censure par le conseil constitutionnel de la loi votée en 1982 instaurant des quotas, de nombreux mouvements féministes choisis avec des personnalités politiques comme Gisèle Halimi, n'avaient pas renoncé à leur combat pour faire bouger les choses, même s'il fallait, pour y parvenir, modifier la constitution. L'affaire des « jupettes » a re-mobilisé les femmes. Certaines d'entre elles qui s'étaient retrouvées peu après avoir été évincées du Gouvernement sur un

républicain fait aujourd’hui l’unanimité dans l’opinion française, il n’en a pas toujours été ainsi et il lui a fallu s’imposer en luttant pour défendre ses principes : souveraineté de la nation, démocratie, universalité des Droits de l’homme, laïcité. Ce combat oppose une France libérale, partagée entre deux tendances radicale et modérée, mais qui se perçoit comme l’héritière de la Révolution, à une France monarchique et conservatrice ; il se noue particulièrement entre les années 1880 et la première guerre

*1871 : la Commune de Paris reconnaît les droits politiques des femmes. *1876 : Hubertine Auclair fonde le premier groupe suffragiste français : "le droit des femmes", elle sera brûlée plus tard au pied de la colonne de Vendôme à cause de ses combats féministes. *Cependant, le 9 décembre 1903, un vote unanime du Parlement rejette l'égalité politique. *1904 : Alliance internationale pour le suffrage des femmes *Suite à cette décision, l’état organise un sondage auprès des femmes en 1914

valeurs morales les oppressions qui perdurent à leur époque: -Ils contestent la monarchie absolue -revendiquant un contrat social comme fondement de l’autorité politique -séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire (ex: Voltaire combat les abus du pouvoir (censure, lettre de cachet, collusion avec l’Eglise) et rêve d’un despote éclaire - les ≪ philosophes ≫ défendent une société fondée sur les talents et sur le mérite qui s’oppose à une société de classes héréditaires(les valeurs