Louise Weiss Son Combat

demoiselles ? ( Analyser une caricature. [pic] 3. Les premières revendications féministes. [pic] [pic] 1900 Jeanne Chauvin 1er avocate française ( Quel est le point commun entre ces deux photographies ? ( Quel type de combat peuvent-elles illustrer ? On pourrait énumérer toutes les premières femmes à être : prix Nobel de physique (Marie Curie en 1903) ; cinéaste (Alice Guy en 1900) ; chauffeur de taxi à Paris (Mme Decourcelle en 1908) ; brevet de pilote (Elise Deroche

de la CGT, et défense nationale à tout prix, soutenue notamment par Victor Basch, le vice président de la ligue des Droits de l’Homme, qui parle même de « guerre sainte ». Mais les français au lendemain de la guerre sont violemment marqué par les combats et les conflits, chez eux naît alors une volonté et un désir de paix profonds : la Première Guerre Mondiale reste un traumatisme. Ce pacifisme repose sur les sensibilités et les remords d’après guerre, ainsi, bien que la volonté de paix soit générale

auxquelles elle fait encore face au 21ème siècle Sommaire Sommaire Introduction page 1 page 2 Des acquis au fil du temps... Première guerre mondiale, amorçe de l'émancipation féminine Seconde guerre mondiale, le combat continu et les femmes revendiquent leur place dans la vie politique Le combat des femmes pour leurs libertés individuelles, et les mouvements féministes ...Mais des inégualités demeurent Introduction Dans la sphère privée Au travail En politque Conclusion Sources Synthèses pages 4 à 5

leur condition. À l’époque, les jeunes filles ne choisissaient pas leur futur époux, elles devaient s’unir avec les hommes issus du choix de leurs parents ; ce fut donc le cas de la jeune Marie Gouze qui fut mariée en 1765, à l’âge de seize ans, à Louis-Yves Aubry, un traiteur parisien de quarante-six ans. Un an après, la jeune femme donna naissance à leur fils, Pierre. Son époux décède en 1766. Elle monte à Paris avec son fils. C’est une jeune veuve de dix-huit ans, mais elle choisit de vivre seule

historique du crime collectif qu'elle implique, est mise en accusation en tant que forme « figée, muséale, impropre à assurer le relais, le va-et-vient entre la scène et la salle » (Jean-Pierre Sarrazac). « Le chœur frustré comme toujours » indique Peter Weiss dans Marat/Sade : voix consacrée du spectateur, est-elle vouée désormais à l'attestation navrée d'une intrigue sur laquelle elle n'a pas prise, dernière instance encore viable selon Jean-Marie Thomasseau du tragique dans des pièces qui ne sont plus

août, on devait s'être battu quelque part, du côté de Froeschwiller : cela était dans le ciel anxieux et accablant, de grands frissons passaient, de brusques souffles de vent, chargés d'angoisse. Et, depuis deux jours, la division croyait marcher au combat, les soldats s'attendaient à trouver les Prussiens devant eux, au bout de cette marche forcée de Belfort à Mulhouse. Le jour baissait, la retraite partit d'un coin éloigné du camp, un roulement des tambours, une sonnerie des clairons, faibles encore

février 1919. De ce fait à la proposition de René Viviani et d'Aristide Briand en 1919, la majeur parti des député votent en faveur du droit de vote des femmes. Trois an plus tard la loi est à l'ordre du jour au Sénat où elle fut rejettée. Un long combat s'entame afin de combattre le conservatisme. En effet à la base le mouvement était pacifiste, mais il prend une autre tournure, ces femmes pour la plupart, sont alors prête à recourir à la violence afin d'obtenir l'égalité des sexe et surtout le

initiatives ne manquent pas, dont celles de la journaliste Louise Weiss qui ne cache pas sa déception en 1936 malgré le geste symbolique de Léon Blum qui nomme trois femmes sous-secrétaires d’État dans son gouvernement de Front : Cécile Brunschvicg, Irène Joliot-Curie et Suzanne Lacore ; une situation paradoxale car ces femmes, membres du gouvernement ne sont pas citoyennes. « Trois hirondelles ne font pas le printemps » dit Louise Weiss. L'ordonnance du 21 avril 1944 accorde le droit de vote aux

niveau du gouvernement fédéral. Cette nouvelle stratégie est adoptée par le NAWSA en 1916. Afin de rassembler les électeurs, Carrie Catt abandonne plusieurs de ses valeurs : le pacifisme (au milieu de la 1re Guerre Mondiale pour le patriotisme), le combat pour l'égalité des droits entre blancs et noirs (afin de gagner des voix dans le Sud) et les mouvements radicaux féministes comme le National Woman Party32. Le 30 septembre 1918 le Président Wilson s'adresse au Congrès lors du vote de l'amendement

l’instauration du droit de vote des femmes ? Ces questions peuvent se synthétiser dans une même problématique à laquelle nous tenterons de répondre. Malgré une authentique victoire pour la reconnaissance du suffrage féminin, pourquoi peut-on dire que le combat pour l’affirmation du caractère universel du vote se doit d’être continué ? Après avoir expliqué pourquoi les femmes n’auraient pas été aptes à bénéficier du droit de vote, nous développerons les principales idéologies qui ont permis la progression