Louis-René de Rohan

roi à la guerre, pas plus qu’aux échecs. » LOUIS VI, en 1119 Citations historiques expliquées Louis VI a régné en France de 1108 à 1137. Il fut surnommé le Gros, mais aussi le Père des communes, le Justicier, l’Éveillé, ou encore le Batailleur ! Le 20 août 1119, il affronte le roi d’Angleterre et duc de Normandie Henri Ier Beauclerc sur le champ de Brémule (« crottin de mule »), dans l’Eure. L’abbé Suger, principal ministre et biographe de Louis VI, reconnaît que le roi s’est jeté dans la

néo-classique. On parle aussi des Lumières pour désigner les intellectuels, écrivains, philosophes emblématiques de ce mouvement de pensée. Début du XVIIIe siècle La question financière au cœur de la société Lorsque Louis XIV meurt en 1715 à Versailles, il laisse à son successeur, Louis XV, une économie relativement prospère en dépit de la misère populaire, mais un Etat au bord de la banqueroute. Le dramatique « grand hiver » de 1709, qui provoque une pénurie décimant les populations européennes, a

approfondissement, en passant d’une définition strictement géographique à des approches plus culturelles, et du pluriel à un singulier souvent très personnel (« la » Cévenne). Les « Cévennes des Cévennes » ont été inventées en 1878 par l’écrivain Robert Louis Stevenson, avec pour seules frontières celles qu’avait tracées au lendemain de 1685 le protestantisme prophétique et clandestin. Une définition géographique et paysagère n’en conserve pas moins toute sa valeur : les poreuses Cévennes, immense amphithéâtre

l'iconographie du Jugement dernier depuis les débuts de la sculpture gothique. Ces anges - trois sont exposés au musée - accompagnaient le décor de l'église des dominicaines du prieuré Saint-Louis de Poissy, fondation importante du roi Philippe le Bel, destinée à célébrer le lieu de naissance de son grand-père Louis IX, canonisé en 1297. Cette commande royale fit appel aux meilleurs artistes parisiens. Sculpture funéraire La sculpture funéraire devient figurative. Les sarcophages montrent les

dans esprit régionaliste, mais plutôt avec un décor varié, un ensemble pittoresque. On se pose la question de reconstruire à l’identique, question d’idéologie et d’esthétique. Apparition des ISAI. Reconstruction de St-Malo 4/5° logements détruits. Louis Arretche s’appuie sur les immeubles classiques subsistants faisant des immeubles modernes de gabarit similaire avec du granit, ardoises et toitures à lucarnes. Ce n’est pas une reprise du style ancien mais pour la sauvegarde d’un caractère fort, la

par MM Bernard Pons, Claude Labbé, Jacques Chirac, Alain Juppé, Jacques Toubon, Mme Elisabeth Hubert, M Jean Ueberschlag, Mme Suzanne Sauvaigo, MM Jean Kiffer, Jean-Louis Goasduff, Pierre Pasquini, Mme Roselyne Bachelot, MM Michel Cointat, Philippe Auberger, François Grussenmeyer, Jacques Godfrain, Alain Peyrefitte, Claude Dhinnin, René Couveinhes, Robert Pandraud, Gabriel Kaspereit, Jean-Paul de Rocca Serra, Alain Devaquet, Jacques Limouzy, Benjamin Brial, Etienne Pinte, Arnaud Lepercq, Patrick Balkany

approfondissement, en passant d’une définition strictement géographique à des approches plus culturelles, et du pluriel à un singulier souvent très personnel (« la » Cévenne). Les « Cévennes des Cévennes » ont été inventées en 1878 par l’écrivain Robert Louis Stevenson, avec pour seules frontières celles qu’avait tracées au lendemain de 1685 le protestantisme prophétique et clandestin. Une définition géographique et paysagère n’en conserve pas moins toute sa valeur : les poreuses Cévennes, immense amphithéâtre

particulièrement de la technique du burin moins que celle de l’eau-forte. On est à cette période-là en pleine explosion du livre avec comme de modèle de diffusion principal la « Nymphe de Fontainebleau » d’après Fiorentino Rosso de Pierre Milan et de René Boyvin datant d’avant 1553. La reproduction de ce modèle permettra de connaitre les parties hautes mais aussi les parties basses de l’œuvre composées de suites gravées de trophées, de chutes d’armes mais également de grotesques comme ceux de Jacques

 d’Orléans-­‐Tours DUBOSCLARD, Geneviève, professeur agrégé, Académie de Nancy-Metz DUPERRAY-RICHARD, Adeline, professeur agrégé, Académie d’Aix-Marseille FEUGEAS, Françoise, professeur de chaire supérieure, Académie d’Orléans-Tours FORT,  Pierre-­‐Louis,  maître  de  conférences,  Académie  de  Versailles     FUG PIERREVILLE, Corinne, professeur des universités, Académie de Lyon GAILLIARD, Michel, IA/ inspecteur pédagogique régional, Académie de Toulouse GALLE,  Hélène

tous les extrémismes, à être tolérant, et surtout à aimer la vie telle qu’elle est et à la goûter pleinement. ------------------------------------------------- 3. ROMAN DANS LE XVII SIECLE: DE L'ASTREE A PRINCESSE DE CLEVES Au XVIIème siècle (Louis XIV: la Monarchie absolue) le théâtre est le genre dominant (Corneille, Molière Racine); mais le Roman était si peu considéré que très peu d'écrivainss sont exclusivement romanciers et certains hésitent à avouer une activité aussi peu honorable, utilisant