Lorenzaccio Didascalie Des Personnages

lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire FMH, p. 262-3) Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur

contre-pied un public surpris aujourd’hui encore. Le caractère diaboliquement désespéré du Dom Juan de Molière prête-t-il à rire? De même, l’excès d’honnêteté d’Alceste dans Le Misanthrope? Développez ces 2 références (Dom Juan et Le Misanthrope) Les personnages de bouffon dans les drames de Shakespeare sont porteurs d’une vox populi et qui, sous le couvert du grotesque inhumain et donc inatteignable, peuvent se permettre les pires insolences et libérer le rire censuré. Falstaff fait résonner son rire dans

Sol, l’amour pur et inconditionnel devra aller jusqu’à l’aboutissement, par la mort, et transcender tous les autres. Victor Hugo incarne et rend également compte de l’instabilité, de la perpétuelle mutation de l’âme humaine dans chacun de ses personnages, autant dans leur destinées (Hernani le bandit devient Jean d’Aragon le noble, Don Carlos le Roi devient Charles Quint l’Empereur) que dans leur essence. Hernani fait osciller sa foi entre amour et vengeance, Ruy Gomez tangue entre honneur castillan

qu’ils dessinent. • Analyse de titres On proposera à la classe de comparer les résumés qu’ils ont produits avec le titre de la pièce et celui de chacun des actes. Les élèves pourront ainsi constater que ces titres, tout en mettant en avant les personnages principaux, laissent dans l’ombre un grand nombre d’informations essentielles. On leur montrera alors que ces titres ne sont pas informatifs mais suggestifs et symboliques, et on les invitera à analyser leurs effets sur le lecteur ou le spectateur

Dans un premier temps la Reine ne peut pas accepter cet amour, puis lorsqu'elle se rend compte que Ruy Blas est en train de s'empoisonner, elle le reconnait sous le nom de Ruy Blas. La Pièce :       La pièce accorde une grande importance aux didascalies : elle est faite pour être jouée. Il y a ainsi multiplication des décors, des couleurs, beaucoup de figurants et de costumes différents : c’est un véritable spectacle pour les yeux. Les jeux de contrastes dans les couleurs ont des valeurs symboliques :

L'Avare a été écrite et représentée en 1668. Il est question, dans la scène proposée, de costumes à la mode et d'autres qui sont démodés. Un comédien et son metteur en scène s'opposent sur le choix des costumes à faire porter aujourd'hui aux personnages : faut-il, pour donner à la scène tout son comique, garder les habits suggérés par le texte de Molière ou leur préférer des vêtements plus modernes ? Vous rédigerez leur dialogue. 1 L : L’épistolaire (objet d’étude jusqu’en 2007) Texte

l'épouser alors que la suivante a eu un enfant de cette liaison. 3 - Quel est le lien entre Salluste et César, comte de Garofa, alias Zafari ? Les deux hommes sont cousins, même si tout semble les opposer. 4 - Caractérisez en quelques lignes le personnage de césar / Zafari. César est un marginal de noble naissance. Il a dilapidé tous ses biens et il vit de vols et de brigandages divers. Il fréquente d'ailleurs un célèbre « bandit » : Matolobos. Il représente le noble pauvre et errant, grand séducteur

Delorme (1829), Hernani (1830), Lucrèce Borgia (1833) et Ruy Blas (1838), mais aussi celui de Musset, avec la Nuit vénitienne (1830), les Caprices de Marianne (1833), Fantasio (1834), Lorenzaccio (1834) et On ne badine pas avec l'amour (1834), bouleversent toutes ces prescriptions. La dramaturgie romantique multiplie les personnages et les lieux, mêle le vers et la prose, le style haut et le style bas, le sublime et le grotesque, le beau et l'horrible. La Préface de Cromwell, qui contient un exposé de la

théâtre, et toutes les œuvres dramatiques ont alors « pour collaborateur le lecteur ». L'interprétation la plus directe de cette notion tient paradoxalement à tout ce qui ne relève pas du texte, ainsi les décors, la lumière, l'expression faciale des personnages, leurs gestuels, tout ce qui participe in fine à l'ambiance de l’œuvre, le lecteur se le figure sans devoir même y penser. Le texte fait appel à sa personnalité, sa personnalité au texte, et l'émulation réciproque peut créer un contenu d'une richesse

l’amour (1834), III, 3 – de « CAMILLE, cachée à part. Que veut dire cela ? […] » jusqu’à la fin de la scène. Notes introductives : A. de Musset (1810-1857) = poète et dramaturge romantique. Quelques œuvres : Les Caprices de Marianne (1833), Lorenzaccio (1834), Il ne faut jurer de rien (1836)… Un unique roman : La Confession d’un enfant du siècle (1836), en lien avec sa liaison avec G. Sand (1833-35). La pièce = genre du proverbe  illustration de l’adage du titre. Perdican et Camille sont deux