Lorenzaccio Acte 1 Scène 1

- Approche de l'histoire littéraire.  Britannicus, Racine http://www.lettres.net/cours/racine-amour/britannicus.htm Corrigé (plan détaillé) du commentaire littéraire de l'acte II, scène 2.  Britannicus, Racine http://www.matisse.lettres.free.fr/ouvertures/fbritannicus.htm Un résumé de la pièce, acte par acte.  Britannicus, Racine http://www.universdeslettres.com/ens_liste_pdf.php?oeu_id=14 Dossier pédagogique à consulter en ligne ou à télécharger gratuitement sur le site des Classiques

genres irréductibles. Le système dramatique Le théâtre est un art de la mimêsis, Platon mimêsis = le poète fait parler ses perso. diégésis = “ parle en son nom. 1 Le dialogue ou la double médiatisation du discours 1 Absence de discours commentatif Dans le poème dramatique il faut que le poète s’exprime par la bouche des acteurs ; il ne peut y employer d’autres moyens (D’Aubignac, La Pratique du théâtre, livre I)

fauteuil", le théâtre déstiné non pas à être joué sur scène mais à être lu dans son fauteuil. Son drame Lorenzaccio a été publié en 1834. Dans cette pièce le personnage de Lorenzo de Médicis, est un homme débauché et corrompu sous le duc Alexandre de Médicis. Peu à peu sous ce masque parfait apparait un Lorenzo bien différent, aspirant qu'à assassiner le duc afin d'offrir une société plus libre à la ville de Florence. L'éxtrait étudié est la scène 9 de l'acte IV, le monoloque de Lorenzo, ce dernier

rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie est un drame, c’est-à-dire une action, une imitation (mimésis) de la vie des hommes sur une scène de théâtre. Il y avait les acteurs d’une part et un chœur d’autre part, lequel commentait, par des chants, l’action qui se déroulait sur la scène. Dans sa Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit ainsi la tragédie : « La tragédie est donc l’imitation d’une action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une certaine

Lorenzaccio, «J’ai vu les hommes tels qu’ils sont...» Introduction : Entrée en matière : Drame romantique et historique paru en 1834. Inspiré de chroniques italiennes d’un auteur du XVIe, Varchi. Fait revivre Florence de la Renaissance en interprétant à sa manière le personnage de Lorenzo devenu le modèle du héros romantique. Resserement de l’extrait : Dans ce texte, l’auteur affirme la souffrance de son personnage éponyme. Souffrance marquée par une forte tonalité lyrique et polémique Annonce

Lorenzaccio Résumé de l’action I 1 scène d’exposition : le duc Alexandre attend dans un jardin la sortie d’une jeune fille, Gabrielle, séduite pour lui par Lorenzo. La jeune fille est « enlevée », malgré la défense vaine de son frère Maffio I 2 2e tableau : 2 marchands discutent devant le palais Nasi, où se déroule une noce, et expriment leur opinion face à la débauche d’un pouvoir qui collabore avec les puissances étrangères (Charles-Quint). Réactions du peuple, entre complicité (par intérêt

que par et pour sa représentation. L’étymologie même du mot théâtre renvoie au grec theomai qui signifie regarder et renvoie au lieu de la représentation, la scène. Antonin Artaud, dans le Théâtre et son double , en 1938, déclare pourtant que le théâtre en Occident, est un théâtre de la Parole, que la mise en scène est inférieure au texte, et que « le théâtre n’est qu’une branche de la littérature ». Le théâtre occidental n’est-il qu’un théâtre de la parole ? Nous verrons

Les genres théâtrauxSYNTHESE : les genres théâtrauxLa tragédie 1) Origine du genre Les origines de la tragédie remontent à la période grecque antique (ve siècle acn).  D’une structure régulière (prologue, épisode, exode), son dénouement est toujours connu du spectateur : l’issue de la représentation est toujours la mort du héros qui se bat contre le destin qui l’accable , sans pouvoir réellement lutter contre

Licence 1 Bloc 1 Bibliographie commentée Les crises d'identité ou crises existentielles M. Bésuchet Année 2013-2014 : Semestre 1 Introduction De nos jours, le mot crise est utilisé pour

Extrait acte I, scène 4 de Lorenzaccio, de Musset : Une cour du palais du Duc LE DUC. (…) Cardinal, écoutez un peu ces messieurs qui disent que le pape est scandalisé des désordres de ce pauvre Renzo, et qui prétendent que cela fait tord à mon gouvernement. LE CARDINAL. Messire Francesco Molza vient de débiter à l’académie romaine une harangue en latin contre le mutilateur de l’arc de Constantin. LE DUC. Allons donc, vous me mettriez en colère ! Renzo un homme à craindre ! le plus fieffé  poltron