Lope de Vega

1602 | | | Shakespeare : HamletCampanella : La Cité de Soleil | | 1605 | | | Shakespeare : Macbeth ; Le roi LearCervantes : Don Quichotte (1ère partie) | | 1607 | | Honoré d’Urfé : L’Astrée | | Monteverdi : Orfeo | 1609 | | | Lope de Vega : Nouvel Art dramatique | | 1610 | Assassinat d’Henri IV ; régence de Marie de Médicis | | Ben Jonson : Le Berger mélancolique | | 1611 | | Etienne Durand : Méditations | Shakespeare : La Tempête ; Le Conte d’hiver | Rubens : Descente de

leur moi avec outrecuidance. Plusieurs d’entre eux ont dénoncé les pièges de l’amour de soi et dénié à l’auteur le droit de se préférer à dieu. Plus que les individualistes effrénés de la renaissance italienne, que les tempéraments batailleurs de Lope de Vega ou de quevedo en Espagne, les classiques du XVII siècle ont aspiré à généraliser et à universaliser leur expérience. A l’instar des Anciens, ils souhaitaient être vrais pour tous les temps et pour le plus grand nombre possible de lecteurs cultivés

dans une pièce de Tirso de Molina Le Trompeur de Séville et le convive de pierre. Tirso de Molina :            (1779-1648) à Madrid, né sous le nom de Gabriel Téllez, Tirso de Molina est un dramaturge espagnol du siècle d’or influencé par Lope de Vega, il écrit des comédies de mœurs, d’intrigue, de caractères, moraux et religieux. Fervent religieux, il intègre en 1601 un couvent espagnol et devient un moine de l’ordre de la Merci. De 1610 à 1627 il voyage beaucoup, part découvrir « le nouveau

baroque tels que Corneille (Comédies, L'Illusion comique) et Molière (Dom Juan ou le Festin de pierre) en France ; Shakespeare (Roméo et Juliette) en Angleterre ; Tirso de Molina (Marthe la dévote, comédie ; l'abuseur de Séville, drame historique) et Lope de Vega (l’Etoile de Séville, Aimer sans savoir qui, comédies) ou Calderon (La Vie est un songe) en Espagne. Le théâtre baroque peut se définir, dans un premier temps, comme le négatif du théâtre classique. À l’analyse intellectuelle, le baroque préfère

Molière, l’exagération des sentiments et des gestes, le mélange des tonalités, … Les dramaturges plus emblématiques de ce mouvement, Corneille (Le Cid), Molière (Dom Juan), Shakespeare (Roméo et Juliette), Tirso de Molina (L'abuseur de Séville) et Lope de Vega (Aimer sans savoir qui) ou Calderón (La vie est un songe) nous présentent bien dans ses œuvres des caractéristiques irréels qui séparent notre monde de celui présenté. Le théâtre de l’absurde, fait pour montrer l’absurdité de l’homme et de la vie

culture jusqu'alors réservée aux seuls intellectuels. 2. Un monde qui s'ouvre et donne le vertige Avec les Grandes Découvertes, le monde connu change brutalement de dimension. Les récits de voyages (Le Nouveau Monde découvert par Cristobal Colon de Lope de Vega, par exemple) suscitent l'émerveillement et ouvrent des perspectives sur le monde. Les premiers pas sur la Lune (1969), les progrès et les découvertes en astronomie élargissent nos perspectives à d'autres galaxies, à l'Univers. Ces bouleversements

Les grandes découvertes enrichissent l'Europe “Séville : port et porte de L'Amérique” Lope de Vega, poète espagnol 1562-1635 des Indes”. Consignes : vous allez réaliser une étude de documents sur Séville. Reprenez le titre de cette étude, la problématique et le plan de cette étude sur votre cahier Puis faites une étude attentive et précise des documents en évitant la paraphrase. Notez vos réponses dans votre cahier en reprenant la formulation des questions. Enfin ,à partir de ce travail préparatoire

Facel-Vega FV3B conduite par son ami Michel Gallimard, le neveu de l'éditeur Gaston Gallimard, qui perd également la vie. La voiture quitte la route et percute un premier arbre puis s'enroule autour d'un second, parmi la rangée qui la borde[29]. Les journaux de l'époque évoquent une vitesse excessive (180 km/h), un malaise du conducteur, ou plus vraisemblablement, l'éclatement d'un pneu. L'écrivain René Étiemble déclara : « J'ai longtemps enquêté et j'avais les preuves que cette Facel Vega était

éclat avant le déclin final. En littérature, c'est tout à fait à la fin du siècle que l'Espagne ruinée et chancelante de Philippe II trouvera son peintre inimitable, Michel Cervantès, l'immortel auteur du Don Quichotte, et l'on doit aussi nommer Lope de Vega. L'époque est encore celle de fondations des universités de Salamanque et d'Alcala de Henares. Mais le règne de Philippe II avait été marqué par la ruine des derniers vestiges de liberté, par un appauvrissement de plus en plus grand du pays, par

bicicletas son para el verano» Autor: Fernando Fernán-Gómez 1978 (1. edición), Espasa Calpe, Selecciones Austral, 2006 Madrid, edición 36ª Presentación de la obra para el profesor En 1978 ganó el escritor Fernando Fernán-Gómez el famoso premio Lope de Vega de Madrid con una obra de teatro titulada «Las bicicletas son para el verano». Tan sólo tres años antes había muerto el dictador Francisco Franco, y España se encontraba en ese momento en un proceso de democratización que más tarde se conocería