Lointain Intérieur Henri Michaux

temps ………………………….. ………. 37 VII. - Francis PONGE (1899–1988) …………………………………………………. 38 - le poème à commenter : Le Cageot ………………………………………………. 39 VIII. - Henri MICHAUX (1899-1984) ……………………………………………….. 40 - le poème à commenter : Dans la Nuit (Lointain intérieur) ……………………… 41 IX. - René CHAR (1907-1988) ……………………………………………………….. 42 - le poème à commenter : PLACE ! ………………………………………………. 43 X. – Diversité des expériences

communication, nous rapporte au contraire l’un à l’autre dans la différence. La contreépreuve de cela nous est livrée par l’épreuve de la mort de l’ami. L’événement de la mort révèle en effet, et efface à la fois, cette vérité de l’amitié comme vérité des lointains : Quand vient l’événement même [i.e. celui de la mort], il apporte ce changement : non pas l’approfondissement de la séparation, mais son effacement ; non pas l’élargissement de la césure, mais son nivellement, et la dissipation de ce vide entre

l'Ouest (« Tu reviendras, Sénégal ») ; et enfin – éclairage ? - deux grands mystères de la religion chrétienne sont évoqués pour superviser ce rassemblement et préciser l'orientation profonde du 1 Henri Michaux, « L’espace aux ombres », Nouvelles de l’étranger, Paris : Mercure de France, 1952. Michaux emploie l’expression dans un sens différent : « L’espace, mais vous ne pouvez concevoir, cet horrible en dedans-en dehors qu’est le vrai espace », p. 91. 48 BALAFON D’ENGELBERT MVENG : DU SACERDOCE

querelles. Bien souvent associée au lyrisme, la poésie semble n'avoir d'autre but que celui de déclamer les sentiments propres à un seul, emprunts de mélancolie romantique, d'ivresse douloureuse. Mais est-elle seulement, selon Lamartine, "le chante intérieur de l'âme" ? Passant par un plan analytique, nous verrons en une première partie comment, atteinte du lyrisme, la poésie devient un instrument privilégié. Une seconde partie dévoilera les nombreux registres traversés par le genre poétique, soit

allemand et Max Jacob dans le camp de Drancy. Cependant, des individualités produiront des œuvres qui feront apparaître des approches différentes avec l'onirisme touche à tout de Jean Cocteau (Plain-Chant, 1923), les recherches d'expressivité d'Henri Michaux (Ailleurs, 1948), le jeu verbal repris par Jacques Prévert, poète du quotidien et des opprimés (Paroles, 1946-1949) ou par Francis Ponge (Le parti-pris des choses, 1942) à la recherche d'une poésie en prose descriptive. Tous traduisent des émotions

Zurbaran présent dans ce recueil tandis que Baudelaire l’un des plus célèbres poètes du 19ème siècle fut aussi critique d’art avant de s’orienter vers la poésie. De nombreux artistes ont su trouver un idéal poétique à travers cette forme artistique comme Henri de Régnier qui rendit hommage à Renoir et Watteau entre autres. Il appartiendra au mouvement surréaliste d’établir une fraternité idéale entre la peinture et la poésie grâce à des poètes comme Paul Eluard, ou encore Francis Picabia( peintre également)

Jean Cocteau culture africaine Cependant, des individualités produiront des œuvres qui feront apparaître des approches différentes avec l'onirisme touche à tout de Jean Cocteau (Plain-Chant, 1923), les recherches d'expressivité d'Henri Michaux (Ailleurs, 1948), le jeu verbal repris par Jacques Prévert, poète du quotidien et des opprimés (Paroles, 1946-1949) ou par Francis Ponge (Le parti-pris des choses, 1942) à la recherche d'une poésie en prose descriptive. Tous traduisent des émotions

voyage vient se substituer la verticalité (« étoiles », « fond des océans »). Le sonnet fournit l’occasion de sonder le cœur des hommes, la mer offre un miroir à partir duquel l’homme se contemple. Le dernier tercet annonce une chute, le voyage intérieur vient remplacer le voyage réel : un sonnet a donc une dimension philosophique. Séance n° 4 écriture Objectif : à partir de la lecture d’un poème, rédiger un quatrain. Support : « Le voyage » de Charles Baudelaire extrait du recueil Les Fleurs du

perso. Fonction référentielle de la poésie : poésie de circonstance Ronsard est un poète de cour : les Hymnes et dans le Second Livre des Hymnes :poésie d’éloge mêlée à la poésie épique ou scientifique dédiée à ses protecteurs : Hymne du roi Henri II (1555) : définition du poète, de son travail de sa fonction (questions essentielles de la Pléiade) ; si le poète reçoit des Muses un don, une inspiration divine, il est aussi un homme de travail. Ronsard illustre cette idée en se comparant à un

de l'inconscient, il nous faudra faire comprendre que ce rapport n'est pas, à proprement parler, causal. L'image poétique n'est pas soumise à une poussée. Elle n'est pas l'écho d'un passé. C'est plutôt l'inverse : par l'éclat d'une image, le passé lointain [2] résonne d'échos et l'on ne voit guère à quelle profondeur ces échos vont, se répercuter et s'éteindre. Dans sa nouveauté, dans son activité, l'image poétique a un être propre, un dynamisme propre. Elle relève d'une ontologie directe. C'est à