Loin Des Yeux Loin Du Coeur

regardant le tableau et déclara : - C’est magnifique n’est ce pas ? Je bougeai ma tête en accord, et il ajouta : - on voix bien qu’il peigne avec une conviction profonde. Et il causait sans qu’il s’aperçoive que je ne l’entendis pas. Je fus loin avec mes pensés. Le tableau réveilla ma douleur ancienne. Le jeune homme me regarda avec un sourire et déclara : -je voix que le tableau t’a plu -Tout l’art de Renoir m’attire, mais ce tableau a une particularité déferrante des autres.

tout le mal, Et ces yeux, où plus rien ne reste d’animal Que juste assez pour dire : « assez » aux fureurs mâles ! Et toujours, maternelle endormeuse des râles, Même quand elle ment, cette voix ! Matinal Appel, ou chant bien doux à vêpre, ou frais signal, Ou beau sanglot qui va mourir au pli des châles !… Hommes durs ! Vie atroce et laide d’ici-bas ! Ah ! que du moins, loin des baisers et des combats, Quelque chose demeure un peu sur la montagne, Quelque chose du cœur enfantin et subtil,

ferme la fenêtre tandis que dehors, sept heures quatre minutes vrombissent. ********** De l’autre côté du parc de la demeure, la micheline du matin perce le petit ciel du village frigorifié. La loco bazarde loin au devant des jets de lumières fumeux déchirant la voûte brumeuse en esclandre fantastiques. Des zébrures bondissent en éclairs extravagants sabrant l’éther en une cheminée gigantesque. Un fût d’éruptions mauves et roses préviennent une aube fabuleuse

la complexité des traits du visage de l'homme. Dans cet extrait, l'homme est beaucoup caricaturé. Mercure dit indirectement que les hommes sont trop sensibles : « peut-être allez-vous avoir à pleurer » quand Jupiter se charge de modifier ses yeux. Plus tard dans le texte, Mercure demande à Jupiter : « avez-vous l'idée que vous seul existez ? » dans le sens où les hommes son égoïstes, ne pensent qu'à eux, et pas aux autres. Pour faire un bon humain, Jupiter doit impérativement avoir cet état

ZARATHOUSTRA 1. Lorsque Zarathoustra eut atteint sa trentième année, il quitta sa patrie et le lac de sa patrie et s’en alla dans la montagne. Là il jouit de son esprit et de sa solitude et ne s’en lassa point durant dix années. Mais enfin son cœur se transforma, – et un matin, se levant avec l’aurore, il s’avança devant le soleil et lui parla ainsi : « Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n’avais pas ceux que tu éclaires ? Depuis dix ans que tu viens vers ma caverne : tu te serais

Victor Hugo dans les notes des Orientales, est le premier exemple de pantoum apparu en France - voir la section Histoire du pantoum : Les papillons jouent à l'entour sur leurs ailes ; Ils volent vers la mer, près de la chaîne des rochers. Mon cœur s'est senti malade dans ma poitrine, Depuis mes premiers jours jusqu'à l'heure présente. Ils volent vers la mer, près de la chaîne de rochers... Le vautour dirige son essor vers Bandam.; Depuis mes premiers jours jusqu'à l'heure présente, J'ai

On ne les excuses pas non plus, On les comprend c'est tout ... L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines La vie, c'est comme le métro, lorsqu'une porte s'ouvre, il faut foncer… Seul, on marche plus vite, A deux, on marche plus loin Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre. C'est regarder ensemble dans la même direction « J'ai réalisé qu'aucun grand jour dans ma vie n'avait d'importance sans toi. C'est toi que je veux à mes côtés quand mes rêves deviennent réalité. Et c'est

qui a tout perdu.» L'anthologie se termine par Mélancholia de Victor Hugo, qui n'est classé dans aucune des deux parties car ils ne se rattache pas au deux sujets cités. J'ai tout de même choisi de vous le présenter car c'est un thème qui me tiens à cœur parce que c'est encore un problème d'actualité dans les pays en voie de développement.. J’espère, à travers cette anthologie, vous apporter certaines pistes de réflexion sans oublier que la poésie a pour but de faire réfléchir chacun d'entre nous

s’élargit ;Eustache de Saint-Pierre tendait les clefs des portesCinquante fils la mort les prit,Cinquante qui chantaient dans l’échoppe et sur la plaine,Cinquante sans méfaits, ils étaient fils de chez nous,Cinquante aux regards plus droits dans les yeux de la haineS’affaissèrent sur les genouxCinquante autres encore, notre Loire sanglanteEt Bordeaux pleure, et la France est droite dans son deuil.Le ciel est vert, ses enfants criblés qui toujours chantentLe Dieu des Justes les accueilleIls ressusciteront

durement par rigueur. | Et si par vous ne m’est grâce donnée, | En languissant définiront mes jours. |        | Allégement ne pourraie trouver | Du mal que j’ai par créature née, | Si par vous non, en qui veut affermer | Entièrement mon cœur, sans dessevrée. | Il est vôtre, longtemps vous ai aimée | Céléement, sans en faire clameur. | Et si l’amour de vous m’est refusée | En languissant définiront mes jours. |         | Ci vous supplie humblement que passer | Ma requête veuillez