Loin Des Yeux Loin Du Coeur

par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse

les plus difficiles à prononcer : 5) Prestidigitateur 4) Inéligibilité 3) Phénylalanine 2) Désoxyribonucléique 1) Pardon. » Cette amie d'enfance que tu n'oublies pas, que même que si tu ne la fréquentes plus énormément, restes gravée dans ton coeur éternellement. » Chérie, si je gagnes au loto tu fais quoi ?- Je prends la moitié et je me casse !- J'ai gagné 3 euros, prends 1.5 € et casse toi. »  - Wesh gro ta une clope? Tete d'ma reum jte la ren!  - Sorry I don't speak wesh.  » J'aime

| |Et les rend gais et doux comme des jeunes filles, | |Et commande aux moissons de croître et de mûrir | |Dans le cœur immortel qui toujours veut fleurir ! | |Quand, ainsi qu'un poète, il descend dans les villes, | |II ennoblit le sort des choses les plus

Laisse Parler ton Cœur Je m’appelle Alhem, je suis fille d’un Emyr, j’ai toujours vécue dans un palais, je viens d’avoir mes 22ans et c’est la dernière fois que je vous écris, je tiens à partager une partie de ma vie. AHLEM & MOHAMED LAMINE HASSAN… J’ai toujours étais parfaite, je devais toujours avoir une tenue différente, je prenais des cours de musique, d’écriture, de littérature et aussi cette fameuse matière les mathématiques, des cours de théologie islamique. J’étais très proche

gouttelettes qui s’écrasaient au sol. Dans cette atmosphère rabougrie, seule une idée me guidée. J’étais en manque, un manque énorme. Je fumais ma cigarette ça suffisait pas, je fumais mon joint ça suffisait toujours pas. Je devais partir plus loin, encore plus loin. Pour oublier cette pluie monstrueuse, cette robe trop rouge et ce trottoir trop noir. Manu étais déjà la. Il m’a envoyé que, soit disant, je serais en retard. Il était marseillais, je n’avais qu’une minute de retard. Il m’offre mon sachet

Ecrire Pour Exister Pour une première fois j’écrirais, je donnerai mon tout Peu importe, je briserais mes chênes et mes tabous Je nettoierais la noirceur de mon cœur Mais  je ne pourrais pas je pense que c’est une rumeur Quand je pense à toi, je regarde le toit Je me mets à genoux à la solitude comme un roi Blessé, je commence à saigner comme un soldat Qui a vécu tout au long d’un combat Tu es entrée dans ma vie En faisant renaître mes rêves et mes envies Désormais je n’arrive plus

méprisée, Voudrait-elle à la fin justifier Thésée ? Et vous mettant au rang du reste des mortels, Vous a-t-elle forcé d’encenser ses autels ? Aimeriez-vous, Seigneur ? HIPPOLYTE Ami, qu’oses-tu dire ? Toi qui connais mon coeur depuis que je respire, Des sentiments d’un coeur si fier, si dédaigneux, Peux-tu me demander le désaveu honteux ? C’est peu qu’avec son lait une mère amazone M’ait fait sucer encor cet orgueil qui t’étonne ; Dans un âge plus mûr moi-même parvenu, Je me suis applaudi quand

Voudrait-elle à la fin justifier Thésée ? Et, vous mettant au rang du reste des mortels, Vous a-t-elle forcé d’encenser ses autels ? Aimeriez-vous, seigneur ? HIPPOLYTE Ami, qu’oses-tu dire ! Toi qui connais mon cœur depuis que je respire. Des sentiments d’un cœur si fier, si dédaigneux, Peux-tu me demander le désaveu honteux ? C’est peu qu’avec son lait une mère amazone M’ait fait sucer encor cet orgueil qui t’étonne, Dans un âge plus mûr moi-même parvenu, Je me suis applaudi quand je

l’idéal qu’au plus profond du spleen. Certains mêlent les deux, comme « Harmonie du soir » (XLVII, Spleen et Idéal) où les sonorités semblent joyeuses tandis que les mots sont mélancoliques. On peut lire Les Fleurs du mal juste pour le plaisir des yeux et de l’ouïe. Baudelaire utilise sans cesse les mêmes termes, si bien que son recueil possède une unité de sons. Les Fleurs du mal est sans doute un des recueils les plus mélodieux de la poésie française. Baudelaire joue également avec la forme de

 Une vie meilleure : Alitée la pauvre, des douleurs atroces la dominais, mal de partout ne pouvait crier elle hurlait si fort que le son de sa voix ne pu point être détaché de son cœur souffrant, abattu il battait lentement. Va-t-elle mourir. Doit-elle mourir ? On la tant négligé, humilié, brisé. Non ! Elle n a jamais baissé les bras, elle pense à une vie meilleure, une vie où tout sera parfait, puisqu’ elle est trop intelligente pour croire aux miracles, elle décida donc de canaliser son