Loin Des Yeux Loin Du Coeur

1) Même s’il est loin, il est là .Pense à lui et il sera tout près de toi. 2) L’amour c’est comme du cristal, difficile à trouver mais facile à briser ! 3) On dit que l’amour et la mort n’ont rien à voir, mais moi je t’aime à en mourir. 4) Tu auras beau l’oublier dans ta tête, il restera inoubliable dans ton cœur. 5) Vis ta vie en couleur, c’est le secret du bonheur. 6) Marche tout droit, reste forte, car ta fierté reste ta plus belle arme. 7) Rire, c’est comme des essuie-glaces, ça n’arrête

d’un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis ævi spatium. L’auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte à goutte à travers les événements et les souffrances, l’a déposé dans son cœur. Ceux qui s’y pencheront retrouveront leur propre image dans cette eau profonde et triste, qui s’est lentement amassée là, au fond d’une âme. Qu’est-ce que les Contemplations ? C’est ce qu’on pourrait appeler, si le mot n’avait quelque prétention,

| |Un jour pourtant, un diable de brousse alla consulter un marabout et lui demanda quel moyen utiliser pour gagner le cœur de Sébahi. | |- " Cher génie, je vous prie de m'indiquer comment conquérir la fille du Roi, la princesse Sébahi". | |- "J'accepte de te le dire", répondit le génie qui avait l'apparence d'une chenille. Le diable

ma mère depuis longtemps défunte. Éléonora était le nom de ma cousine. Nous avions toujours habité ensemble, sous un soleil tropical, dans la Vallée du Gazon-Diapré. Jamais un pas sans guide n’avait pénétré jusqu’à ce vallon ; car il s’étendait au loin à travers une chaîne de gigantesques montagnes qui se dressaient et surplombaient tout autour, fermant à la lumière du soleil ses plus délicieux replis. Aucune route frayée ne sillonnait le voisinage, et, pour atteindre notre heureuse retraite, il

embellir, Dans mon sein ne saurait vieillir Comme l'âme, elle n'a point d'âge.Non, tu n'as pas quitté mes yeux ; Et quand mon regard solitaire Cessa de te voir sur la terre, Soudain je te vis dans les cieux.Là, tu m'apparais telle encore Que tu fus à ce dernier jour, Quand vers ton céleste séjour Tu t'envolas avec l'aurore.Ta pure et touchante beauté Dans les cieux même t'a suivie ; Tes yeux, où s'éteignait la vie, Rayonnent d'immortalité !Du zéphyr l'amoureuse haleine Soulève encor tes longs cheveux

journée Qui doit avec César unir ma destinée, J’aurai pu être plus indécise. L’aveu que vous venez de me faire A je crois bien bouleversé mon cœur Et raviver en moi une flamme que je croyais éteinte depuis des années. Je suivais ma raison sans jamais écouter mon cœur Mais maintenant que je me trouve ici devant vous Je ne peux qu’avouer ce que mon cœur au plus profond de lui ressent depuis des années. ANTIOCHUS Vous faites en ce jour, de moi, l’homme le plus comblé. Je ne peux être plus heureux

T'imagines même paas le POiDS que je SUPPORTE && l'AMOUR que je porte au PEU de gens qui m'SUPPORTE iL FAUT SAVOiR QUi L`ON EST & QUi L`ON AiME . iL FAUT ÊTRE ACHEVÉ POUR ViVRE UNE HiSTOiRE iNACHEVÉDANS CETTE ViE, MON COEUR A EU DU MAL A SUiVRE LE RYTHME, iL A RESSU TROP DE HAiNE, iL A ACCUMULER LES PEiNE, iL A ETE ViCTiME DE TROP DE MOTS BLéSSANT. TROP NAiF , iL NE VOYAiT QUE LE BiEN. J'Ai PREFERER LE METTRE SUR PAUSE UN CERTAiN TEMPS ... !J'Ai SOUVENT PENSER QUE MES ECLATS DE RiRE SECHERAiENT

d'autres yeuxComment courir avec ce cœur qui bat trop viteQue s'est-il donc passé La vie et je suis vieuxTout pèse L'ombre augmente aux gestes qu'elle imiteLe monde extérieur se fait plus

flèche de pierre rhapsodie prismatique au fanal des toisons tu voiles une cité dont j’ignore les thèmes et qui circule en moi comme un vol de questions Que sais-je encor de ses aïeux de ses charpentes héraldiques Un soleil en Décembre au cœur d’un bois rugueux Tu voiles une cité qui porte sa noblesse sur pavois de granit J’interroge les nefs les tours pudiques les colonnes bibliques et les meneaux osseux Mon appétit de gueux finit aux oubliettes et je trompe ma faim à

soin de nous rejoindre ici. Qui l'eût dit, qu'un rivage à mes voeux si funeste Présenterait d'abord Pylade aux yeux d'Oreste ? Qu'après plus de six mois que je t'avais perdu, A la cour de Pyrrhus tu me serais rendu ? PYLADE. J'en rends grâces au Ciel, qui, m'arrêtant sans cesse, Semblait m'avoir fermé le chemin de la Grèce, Depuis le jour fatal que la fureur des eaux Presque aux yeux de l'Épire écarta nos vaisseaux. Combien dans cet exil ai-je souffert d'alarmes ! Combien à vos malheurs ai-je