Loin Des Yeux Loin Du Coeur

comme des frelons. La nuit, je lèche les étoiles. Et si l’on m’aperçoit de loin C’est que très souvent j’en avale Une sans avoir l’air de rien.     « La tour Eiffel » de Robert Delaunay en 1926. en 1926. Jacques Brel (Les prénoms de Paris) Le soleil qui se lève Et caresse les toits Et c’est Paris le jour La Seine qui se promène Et me guide du doigt Et c’est Paris toujours Et mon cœur qui s’arrête Sur ton cœur qui sourit Et c’est Paris bonjour Et ta main dans ma main Qui me dit

la façon dont on s'est connu est plutôt bizarre, mais m'a permis de faire une magnifique rencontre, toi. Louis, Je ne t'oublierais jamais, quoi qu'il arrive, sois en sur. Tu aura toujours cette place qui t'es réservée, là, tout au fond de mon cœur, parmi les gens qui comptent le plus pour moi. Tu dois sans doutes être une des personnes à qui je tiens le plus dans ce monde. Je t'aime. Je ne te le dirais jamais assez pour que tu comprennes à quel point c'est fort. On a appris petit à petit à se

love 5- L'amour avec un A 6- Me prend pas la tete 7- Sur un nuage 8- A vif 9- Histoire de coeur 10- L'amour n'est pas dead 11- Ma vie 12- Madre 13- Moi ça va bien 14- Où sont passé 15- Perle rare 16- Petit frère, petite soeur 17- Revien moi 18- Tu es partie 19- Love story 20- J'avance sans toi 21- La rétine humide 22- Amour secret 23- Dans notre monde 24- Quelque part 25- Ma chick 26- Coeur a prendre 27- J'ai plus le time 28- D'hier à aujourd'hui 29- Kuduro 30- Summertime

qui confirme la tristesse qu'éprouve le héros * « Les sons que rendent les passions dans le vide d'un cœur solitaire ressemble au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un désert; on en jouit, mais on ne peut les peindre » PARTIE 2 * Son désir de fuir 1- Métaphore qui montre son désir de fuir pour une nouvelle vie. * « Souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux pour une nouvelle vie... j'aurais voulu être sur leurs ailes» 2- Champ lexical du mouvement qui

d'un monument construit en marbre noir, Et lorsque tu n'auras pour alcôve et manoir Qu'un caveau pluvieux et qu'une fosse creuse ; Quand la pierre, opprimant ta poitrine peureuse Et tes flancs qu'assouplit un charmant nonchaloir, Empêchera ton cœur de battre et de vouloir, Et tes pieds de courir leur course aventureuse, Le tombeau, confident de mon rêve infini (Car le tombeau toujours comprendra le poète), Durant ces grandes nuits d'où le somme est banni, Te dira : « Que vous sert, courtisane

tout notre cœur, On a beau semer les graines du bonheur, L’Amour est comme un funambule en l’air, Sa marche sur un fil tendu le rend précaire. Tant que nous continuerons à nous respecter, Tant que nous continuerons à nous écouter, L’Amour ne tombera pas de toute sa hauteur, Au-dessus du vide, il se jouera de la pesanteur, Nous le filerons parfait dans nos écrits libres, Et nous resterons ensemble là-haut en équi-libres. Citrape Parfois, quand on est amoureux, on a le coeur tellement rempli

BATTRE POUR VIVRE Même si tu voles Même si tu rêves Même si tu défies tout le monde Tu resteras dans ton prison Dans les limites de ton monde Dans le cœur de ta vie Prés de tes envies Qui sont loin de toi Mais prés de tes pensés T’as besoin d’aide T’as besoin de tout ces gens T’as besoin de ce qu’ils fassent pour toi Mais est ce que tu sais Que c’est eux qui t’empêchent de vivre tes rêves De réaliser t’es envies Ils sont les limites de ton monde Les prisons de tes fantasmes Quand

…………………………………………………… p. 3 ; – Choix de poèmes de la 6e à la 3e ; – Thèmes : l’Amour, l’Homme, la Nature, le rapport à l’Autre, le Beau, le voyage, le plaisir des mots… ; – Longueur des œuvres variable permettant l’analyse littéraire comme l’apprentissage par cœur ; – Repères bibliographiques et liens Internet ………… p. 24 ; – Grille d’évaluation pour la récitation …………………… p. 25. Florent Durel Sandrine Pons AnneAnne-Rose Guébert-Li GuébertLaetitia Boulom, CDI François Strasbourg, Collège François Truffaut

de l'amour» du recueil du recueil Les amours de Psyché et de Cupidon, de Jean De La Fontaine. -«Vos beaux yeux» du recueil Poésies diverses, de Pierre Corneille. -«Il n'y a pas d'amour heureux» du recueil La Diane française, de Louis Aragon. -«Sensation» du recueil Poésies, de Arthur Rimbaud. -«Es-tu brune ou blonde ?» du recueil Chansons pour elle, de Paul Verlaine. -«À deux beaux yeux» du recueil La comédie de la mort, de Théophile Gauthier. -«Se voir le plus possible» du recueil Poésies nouvelles

amours, les travaux, les deuils de ma jeunesse, Et quoiqu'encore à l'âge où l'avenir sourit, Le livre de mon coeur à toute page écrit! Si parfois de mon sein s'envolent mes pensées, Mes chansons par le monde en lambeaux dispersées; S'il me plaît de cacher l'amour et la douleur Dans le coin d'un roman ironique et railleur; Si j'ébranle la scène avec ma fantaisie, Si j'entrechoque aux yeux d'une foule choisie D'autres hommes comme eux, vivant tous à la fois De mon souffle et parlant au peuple