Loi pour l'égalité des chances

regard de la loi, tous les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. L’égalisation des conditions est pour Tocqueville L’égalité des chances qui définit la possibilité pour tous d’accéder à n’importe quelle place dans la société. Si l’égalité des droits est en place et acceptée par toute la société, ce n’est pas le cas de l’égalité des chances qui reste plus difficile à appliquer, qui est toujours recherchée. 2) Le dilemme égalité-liberté. Pour Tocqueville, l’égalité et matérielle

DIVERSITE ET DE DISCRIMINATION 1.1. La diversité Définition ⎝ La diversité : une notion floue A ce jour, la diversité n’a jamais fait l’objet -en France du moins- d’une définition officielle, ni dans la Constitution2, ni dans les textes de loi. Comme le rappelle le sociologue Michel Wieviorka3, « la diversité est une notion à géométrie variable (…) dont les fondements juridiques sont bancals ». En raison de sa faible normativité, la notion a donné lieu, dans le débat public, à de nombreuses

Aristote, Rhétorique, I, 13. (… )la définition du juste et de l'injuste se rapporte à deux sortes de lois (…). Je veux parler de la loi particulière et de la loi commune. La loi particulière est celle que chaque collection d'hommes détermine par rapport à ses membres, et ces sortes de lois se déterminent en : loi non écrite et loi écrite. La loi commune est celle qui existe conformément à la nature. En effet il y a un juste et un injuste, communs de par la nature, et que tout le monde reconnaît

justice est contraire à l’égalité et les inégalités ont comme objectif de dénoncer une injustice. Nous allons tout d'abord analyser la notion d’égalité. Il faut noter, qu'il existe de nombreuses sortes d'égalités. L’État qui veut œuvrer dans le sens de l'égalité doit d'abord se poser la question de savoir « égalité de quoi ? ». On peut chercher à garantir une égalité des droits c'est-à-dire devant la loi entre tous les citoyens. On peut aussi vouloir garantir une égalité des chances c'est-à-dire que tous

De nos jours, on observe l’apparition de plus en plus fréquente, de collectifs féministes comme « Ni putes, ni soumises ».Ces mouvements militent pour la plupart, en faveur, de la parité entre hommes et femmes et de l’égalité des chances. Selon Elisabeth Badinter, « l’égalité des sexes est le thermomètre le plus réaliste de l’état d’une démocratie ». Cette égalité entre les sexes désigne le droit d’avoir des conditions égales pour réaliser leurs droits afin de participer à l’évolution politique

scolaire appelée aussi démocratisation qualitative. Celle-ci signifie qu’il existe un accroissement de l’égalité scolaire entre les enfants de catégories sociales différentes. L’école s’est donc ouverte a plus d’enfants, de façon plus égalitaire. Mais pourrions nous considérer que l’école d’aujourd’hui est accessible à tous et de façon égalitaire? Nous pouvons nous demander avec quelle limite l’égalité scolaire entre les élèves ainsi que la proportion de jeunes scolarisés a augmenté. Pour répondre à

12 Introduction Cinq, c’est le nombre de chances en moins qu’a une personne magrébine d’obtenir un entretien d’embauche à curriculum vitae équivalent. Un problème quand on sait que l’une des valeurs républicaines de la France est l’égalité. Fort de ce constat, le gouvernement pour lutter contre les inégalités en France (I) s’empare du principe de discrimination positive (II). La discrimination positive… Le principe d’égalité est aujourd’hui mis à mal (A), malgré l’intervention des acteurs

Loi n°2005-102 du 11 février 2005 La loi n°2005-102 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a été votée le 11 février 2005 et publiée au Journal officiel du 12 février 2005. Cette loi apporte de nombreux changements (prestation de compensation, compléments de l'AAH, maisons départementales du handicap, accessibilité, obligation d'emploi en milieu ordinaire, ressources en milieu protégé, etc). L'ampleur de ces changements est cependant

hapitre Ier : Dispositions générales. Article L111-1 En savoir plus sur cet article... Modifié par Loi n°2006-396 du 31 mars 2006 - art. 1 JORF 2 avril 2006 L'éducation est la première priorité nationale. Le service public de l'éducation est conçu et organisé en fonction des élèves et des étudiants. Il contribue à l'égalité des chances. Outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission première à l'école de faire partager aux élèves les valeurs de la République. L'école garantit

société démocratique est l’égalité. En effet, une démocratie est un système fondé sur l’égalité des droits, juridique. Différentes formes d’égalités existent cependant : l’égalité en droit, définie par l'article ci-dessus, l’égalité des chances (méritocratique, dans nos sociétés) et l’égalité réelle ou l’égalité des situations. Depuis toujours, la recherche de l’égalité est incessante. Dans les sociétés traditionnelles (sociétés d’ordres ou de castes), la recherche de l’égalité n’existait pas puisque