Loi Du Talion Justice

les ont mené. Il annonce même qu'il y a aura une certaine justice, que même celui qui était aimé n'échappera pas des punitions aux enfers, car ces souffrances seront toujours venger selon les Dieux. Cassandre est une prophétesse qui est condamner à n'être jamais cru (malédiction d'Apollon car elle n'a pas voulu s'offrir à lui). Elle va être tué par le couple Egisthe/ Clytemnestre en même temps qu'Agamemnon. La loi du talion (œil pour œil, dent pour dent ) justifie les vengeances et donc

de la Justice dans son ouvrage: Le Droit de la Paix. C’est ainsi qu’il se dit: « Où donc est la justice? En ceci que le jugement ne résulte point des forces, mais d’un libre début devant un arbitre qui n’a point d’intérêt dans le jeu (…). Ce qui est juste, c’est d’accepter d’avance l’arbitrage; non pas l’arbitrage juste, mais l’arbitrage. L’acte juridique essentiel consiste en ceci que l’on renonce solennellement à soutenir son droit pas la force. ». Alain estime donc que la vraie justice consiste

Parce qu’une société c’est un corps social. A l’opposé des règles morales et religieuses qui sont personnelles, la règle de droit, elle est générale et impersonnelle et sanctionnée en cas de violation de ses caractères. Des caractères régis par la loi qui impose son respect en édictant des sanctions, sanctions qui servent à préserver la sécurité publique, à rétablir le sens de la norme. Des normes, qui toutefois changent en même temps que l’évolutions de la société et des périodes rencontrées. C'est

parviennent pas aux mêmes conclusions. Tout d’abord abordons la question de la légitimité et de la justice. La punition des crimes est une pratique légitime dans les sociétés. En exécutant un meurtrier, la justice applique un châtiment proportionnel au crime commis, et empêche une éventuelle récidive. Mais en poussant l’analyse on peut observer que la justice est en pleine contradiction. En tuant, la justice reproduit ce qu’elle dénonce. Julien Clerc le chante dans sa chanson L’assassin assassiné : « Messieurs

Prétérition « irrités de la cruauté de leurs maîtres » : pour capter l’attention· Analyser les pronoms « je » (Trivelin) / « nous » (Trivelin, les habitants de l’île) / « vous » (Arlequin, Iphicrate) 2. L. 2 à 6 : la 1ère loi = le passé = une loi très dure· Trivelin raconte (« Quand » + quittèrent/ vinrent) l’arrivée des 1ers habitants de l’île : les ancêtres des habitants actuels de l’île (« nos pères ») sont des « esclaves » qui ont fui la Grèce (=on est toujours dans l’Antiquité)·

| 1-"Le sang veut du sang", Macbeth, p.179; 2-"Le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions", proverbe; 3-"Œil pour œil, dent pour dent, vie pour vie", la loi du Talion; 4-"La fin justifie les moyens", proverbe; 5-Tuer un assassin est un acte de justice et non un crime; 6-"Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage", proverbe; 7-Qui règne par l'épée périt par l'épée; 8-La terreur à une vertu cathartique: elle donne l'exemple et prévient

tout le monde est juste, si tout le monde respecte les règles d’un lieu et les droits de chacun alors il n’y aurait aucune raison d’instaurer des lois qui nous privent de nos libertés. Cela signifie que si tout le monde respectaient le principe de justice honnêtement alors tous j’ouïrais d’une liberté sans conséquent. De plus notre société pourrait ainsi être fondée sur la confiance et sur de réelles principes moraux qu’incarnent la population. Pour illustrer cela nous pouvons prendre l’exemple de

été jugée coupable et emprisonnée par la Justice en tant qu'institution juridique alors que celle-ci n'a commis aucun crime condamnable. C'est ce qu'on appelle une erreur de Justice. La notion d'injustice est polysémique. L'injustice est un principe philosophique, juridique et moral. Quoique l'injustice soit un principe de portée universelle, l'injuste varie en fonction des facteurs culturels. En morale, l'injustice c'est cette absence de vertu, de justice comme respect et équité inné d'autrui.

Lumières : 1. «Le Droit contre la coutume», Des délits & des peines de Cesare Beccaria (1764) CB (1738 – 1794) était un homme de loi : un juriste italien. Il fut très influencé par Montesquieu & les encyclopédistes français des Lumières. En effet, il publia l'essai Des délits & des peines en 1764 qui dénonce les abus, les erreurs de la justice. Cet essai fut traduit en français l'année suivante & eut un gd succès, notamment auprès de Voltaire, puisque Beccaria a osé s'élever contre la peine de

droit et de la justice ? Cet « art du bon et du juste », qui accompagne chaque homme à travers lois, droits et devoirs, nous viendrait-il des Dieux ? Mais avant d’aborder ce questionnement, il faut déjà à nous à tenir aux bases : d’où nous vient notre droit actuel ? Si traditionnellement nous associons à Rome notre héritage politico-juridique, il faut en réalité s’en référer à une période de l’Antiquité bien plus lointaine. Il s’agit notamment de la Grèce antique, sans qui la justice de Rome n’aurait