Loi des sinus

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11.3 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Lois 12.1 12.2 12.3 12.4 12.5 12.6 12.7 de probabilité Loi binomiale . . . . . . . Densité . . . . . . . . . . Loi uniforme . . . . . . . Loi exponentielle . . . . . Loi normale . . . . . . . Fluctuation et estimation Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

strictement croissante sur [0, +([ ; h(0) = 1, lim(( ch = +(, lim+( ch = +(. 6. Pour tout x appartenant à R, ch(x) ( sh(x) = e(x > 0, donc ch(x) > sh(x) 7. Les fonctions ch et sh que nous venons d'étudier sont les fonctions cosinus hyperbolique et sinus hyperbolique. Leurs représentations graphiques traînent un petit peu partout. Par exemple, on appelle chaînette la représentation graphique de la fonction ch, pour une raison que je vous laisse deviner (pas parce ch comme chaînette...). Et pourquoi

= r~er = −→ OI + −→ IB. Si l’on projet sur ~er nous obtenons −−→ OB · ~er = r = bcosβ + bcosβ = 2bcosβ = 2bsinθ } =⇒ r(t) = 2bsinθ = 2bsin ωt 2 . Notons que r est toujours positif, comme l’exige la valeur d’une norme, car θ ∈ [0, π 2 ] et donc le sinus est toujours positif.3. Sachant que −−→ OB = r~er, nous avons ~V (B/R) = ṙ~er + rθ̇~eθ = 2b ω 2 cos ωt 2 ~er + 2b ω 2 sin ωt 2 ~eθ = bω ( cos ωt 2 ~er + sin ωt 2 ~eθ ) On note que ‖~V (B/R)‖ = bω, ce qui était attendu. 4. Nous avons ‖−−→OB‖ = −→

forme autorise le passage d’ions. Canal de Wolff : canal pair présent chez l’embryon reliant le rein primitif au sinus uro-génital, qui disparaît chez l’embryon femelle et qui participe chez l’embryon mâle à la formation des voies génitales, (épididyme, canal déférent, vésicules séminales). Canal de Müller : canal pair présent chez l’embryon reliant le rein primitif au sinus uro-génital, qui disparaît chez l’embryon mâle et qui participe chez l’embryon femelle à la formation des voies génitales

|- construire la courbe de dispersion du verre, | | | | | | |- utiliser la loi de Cauchy [pic] pour déduire la constringence et le pouvoir|X | | | | | |dispersif du verre.

Equation du second degr´ . . . . . . . . . . . . . e IV.4 Racines N-i`mes d’un nombre complexe non nul e IV.5 Racines N-i`mes de l’unit´ . . . . . . . . . . . . . e e V Trigonom´trie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e V.1 Applications sinus et cosinus . . . . . . . . . . . V.2 Applications tangente et cotangente . . . . . . . V.3 Lin´arisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e V.4 Op´ration inverse de la lin´arisation . . . . . . . e e . . . . . . . . . .

Trouver le bon nombre de chiffres significatifs de cette somme. Savoir choisir le multiple approprié pour le calcul. Tout cela en moins de trois minutes Connaître les formules de trigonométries usuelles pour un triangle rectangle : tangente, sinus, cosinus Savoir choisir une échelle pour représenter des objets très petits ou très grands Savoir construire une représentation du système solaire à l’échelle humaine. I. Quelques outils en mathématique. Les puissances de 10. Formule

de Swarte, Holtan, Green et Ampt ou Morel-Seytoux et Verdin. Le choix se porte sur une équation parmi celles déjà testées avec LISEM et ayant fourni des résultats satisfaisants (référence ). L’équation de Green et Ampt (équation XX) ; basée sur la loi de Darcy semble adaptée. [pic] Equation XX : [pic] i(t) : taux d'infiltration au temps t (mm/h). Ks : conductivité hydraulique à saturation (mm/h) h0 : hauteur de la lame d’eau en surface (mm) hf : tension hydrique

Résumé de cours de Sup et Spé T.S.I. © Christophe Caignaert – Lycée Colbert 59200 Tourcoing – http://c.caignaert.free.fr Sommaire I 1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. Algèbre Théorie des ensembles Ensembles . . . . . . . . . Sous-ensembles . . . . . . Loi de composition interne Ensembles finis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 11. Matrices 7 7 7 7 8 11.1. 11.2. 11.3. 11.4. 11.5. 11.6. 11.7. Généralités . . . . . . . . .

(gènes : chromosomes Х) - cytoplasme (membrane cellulaire) Permet des échanges semi-perméables. • Etres unicellulaires : une cellule qui répond à la loi du tout ou rien. • Etres multicellulaires : plusieurs cellules (semblables les unes aux autres, associées entre elles en colonies qui répondent à la loi du tout ou rien. (Ex/ Eponge) • Etres pluricellulaires : cellules spécialisées assemblées en lignées. (Ex/ Homme : vertébré, mammifère, euthérien (longue croissance