Littérature antique

»termine par une mise en garde → impératif présent → présent de vérité générale • Cet énoncé indique l'état, l'état de déchéance ( se piquait de littérature (ligne 3)) monde d'écrivain qui n'a pas marché. C'est dégradé pour devenir journaliste. Un être déchu dont la mise en garde montre toutes ses désillusions. 3. a) Indique le rôle, l'énonciation nous montre un « vous », Lousteau commence en douceur

plaire. 2) La littérature devient un instrument au service de la leçon. Afin de susciter notre réflexion, l’auteur n’utilise pas seulement les modes explicites et implicites mais emploie aussi de multiples registres et effets touchant le lecteur. L’auteur se sert de la littérature comme un instrument au service de la leçon. Ainsi, le rôle des registres est primordiale dans ces récits ; par exemple le registre satirique, très apprécié de certains grands auteurs de la littérature française comme

médiéval, une fois encore le thème de l’amour sous une forme idéalisée et sensuelle dont la femme est l’inspiratrice. La deuxième catégorie de la poésie humaniste et la poésie renaissante qui refuse l’héritage médiéval, mais prône l’imitation des poètes antiques et italiens. Ils leur empruntent d’ailleurs l'odes et les sonnets. Les poètes humanistes défendent la langue française en la valorisant par l’écriture poétique. Dans les thèmes nous retrouvons une fois encore la vision naturelle de l’amour. A la

d’Horace (« la poésie est comme la peinture ») a été paradoxalement inversée par les hommes de la Renaissance et de l’Âge classique. Pendant trois siècles, de Léonard à Reynolds, la peinture s’est flattée d’être « comme la poésie » : subordonnée à la littérature, dont elle a tiré ses sources d’inspiration et sa raison d’être. Cette rencontre se défait au dix-huitième siècle : affirmation d’un réalisme qui entend puiser ses thèmes directement dans la nature ; théories du génie et du sublime qui autorisent

théoriques : – Ernest Pinard, Réquisitoire (1857), p. 46 – Ferragus, « La littérature putride » (1868), p. 47 – Émile Zola, Les Romancier naturalistes (1881), p. 61 – Émile Zola, Mes Haines (1866), p. 71 – Sigmund Freud, Malaise dans la civilisation (1929), p. 98 • D’autres genres : – Poésie : Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois (1865), p. 35 – Théâtre : August Strindberg, Mademoiselle Julie (1888), p. 112 • La littérature étrangère : – Fedor Dostoïevski, Crime et châtiments (1866), p. 103

------------------ ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Le roman (sorti en 1966) de George Perec s'inscrit dans un registre expérimental correspondant à la littérature du XXIème siècle ; comme le considère l'auteur, "l'écriture est une façon de jouer" et non pas une contrainte à l'énonciation d'une idée. Bien que, la démesure stylistique que fait état l'œuvre semble provenir d'un choix sous jacent, et n'est pas

Racine avec ses tragédies à sujet antique qui étaient déjà traité par les tragédiens grecs, et qui respect les règles du théâtre classiques élaborées par les poètes classiques à partir de la poétique d'Aristote. b. Le camp des Modernes : Il est mené par Charles Perrault, qui soutient le mérite des auteurs du siècle de Louis XIV, il affirmait que la création littéraire devait innover contrairement au camp des classiques. Charles Perrault voulait une littérature adaptée à l'époque contemporaine et

au nom d’un retour à l’Antiquité, mais aussi de l’intelligence et du savoir. (Montaigne, Essais 1580-1588) -Roman, essai, portrait, littérature didactique, poésie, épître. La pléiade : Participant à l’humanisme, les écrivains de la Pléiade veulent retrouver l’inspiration qui a fait la grandeur de la culture antique. Ils rejettent les formes de la littérature médiévale et cherchent à développer et enrichir la langue française. (Du Bellay, Les regrets 1558) -Ode, hymne repris de l’antiquité

Humanisme ( XVIéme siécle ) L'humanisme est un courant de la Renaissance qui se caractérise par la foi en l'homme, par l'intérêt pour toutes les formes de la connaissance et par la redécouverte de la littérature antique. Classicisme ( XVIIéme siècle ) Le classicisme se définit par un ensemble de valeurs et de critéres qui dessinent un idéal s'incarnant dans «L'honnête Homme» et qui se développe sur une recherche de la perfection. Siécle des lumiéres (XVIIIéme siécle ) Le siécle des

dissertes Le Héros et l’anti-héros Le roman est un genre littéraire, caractérisé pour l’essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue, ce qui le distingue de la nouvelle. Dans le roman, le personnage principal s’oppose au héros antique, il n’est plus un demi dieu, il incarne des sentiments et... Premium464 Mots2 Pages Le premier homme qui passe est un héros suffisant INTRO :Autant de romans, autant de héros différents. Mais la tradition romanesque fait du héros le moteur de l’action