Liste des ordres monastiques

structures anatomiques. La composante «!activité et participations!» : • Couvre la gamme des domaines définissant les aspects du fonctionnement de la personne : – Comme individu – Comme être social ! Composantes des facteurs contextuels ! Une liste de facteurs environnementaux ayant un impact sur le fonctionnement et le handicap : • Environnement proche • Environnement général Les facteurs personnels : • Non intégrés à la CIH-2 à cause des variations sociales et culturelles importantes qui leur

siècle, les insignes royaux sont ceux des dieux cet a dire la toge pourpre, la couronne d’or, le sceptre, la chaise curule et les faisceaux portée par 12 licteurs. Le sénat : conseil d’anciens composés des chefs ou des patrès qui sont inscrit sur une liste conscrite. A l’origine, ils étaient 100 puis 300 (100/tribus) ils sont choisis par le roi. Il est le conseiller du roi et le protecteur des coutumes des ancêtres. Il a la tutelle sur l’assemblée des curies en ratifiant leurs actes et assure l’interrègne

leur mort précoce ; ceux-ci sont victimes de la peste, alors que le jeune garçon n’a que treize ans. Ensuite il est confié à des oncles peu soucieux de lui qui l’engagent à entrer au couvent pour mieux se débarrasser de lui. Ces années de vie monastique lui laissent un souvenir peu favorable des rigueurs de la règle et de la pauvreté du savoir enseigné (cf. texte étudié). Sa bonne connaissance du latin lui permet de suivre l’évêque de Cambrai comme secrétaire, ce qui l’amène à Paris où il fait

chaudement défendue par les 4% des privilégiés. Sous la façade des ordres encore existant au 18ème, en réalité une nouvelle organisation sociale s’est dessinée beaucoup plus moderne, qui repose désormais sur des classes sociales. Devant cette crise, il y avait deux possibilités : soit on abandonnait ce mode d’organisation dépassé, soit au contraire on se crispait sur ce modèle social et on refusait de l’abandonner. Les deux premiers ordres ont choisi la 2nde solution et ont reçu en large part le soutien

chrétiennes de mener des enquêtes préalables minutieuses. Il faut aussi être libre (ne pas être esclave). Une fois accordé, le statut clérical comprend des obligations : il faut se raser la barbe, porter certains vêtements. Ceux qui sont engagés dans les ordres majeurs n’ont pas non plus le droit de se marier. En cas de mariage avant l’ordination, il faut cesser toute relation conjugale. Le clerc doit aussi faire vœux d’une relative pauvreté. Ces obligations sont accompagnées de certaines contreparties :

Article détaillé : Les cinq propositions et leur condamnation. Les opposants au jansénisme veulent faire officiellement condamner l’Augustinus. Isaac Habert, ancien collaborateur de Richelieu, devenu évêque de Vabres, publie en décembre 1646 une liste de huit propositions extraites de l’Augustinus et qu'il tient pour hérétiques. Quelques années plus tard, en 1649, le syndic de la Sorbonne, Nicolas Cornet, demande à ce que soient examinées sept propositions tirées de thèses soutenues par des bacheliers

magistrats sont hiérarchisés : il y a une sorte de carrière dans la magistrature : censeurs puis consules puis prêteurs puis questeurs et les édiles. Les pouvoirs de ces magistrats sont pour certains communs : La puissance : ils pouvaient donner des ordres ou assurer la réalisation de leurs fonctions. Ils pouvaient conclure un contrat, lever des impôts ou attribuer la collecte des impôts à certaines personnes. Ils pouvaient acheter ou vendre des choses au nom de la ville de Rome : ils représentaient

rassemblement des peuples occidentaux sous le contrôle du pape afin de faire front aux avancées islamiques (ex : bataille de Poitiers en 732). Ce rayonnement de la chrétienté, partant de Rome, va gagner vers la Scandinavie. Il y aura aussi l'action des ordres, notamment des chevaliers teutoniques en direction des pays slaves (ex : Pologne, Hongrie, Moscovie). C'est donc une expansion géographique et de pouvoir. Il y a eut également l'État des Templiers en France. L'Église devient une véritable force militaire

doivent obéissance au roi, s'ils leur prêtent serment d'aide et de conseil, ils ne tirent pas pour autant leur légitimité de la puissance royale : à mesure que l'autorité effective du roi diminue, la séparation se fit de plus en plus nette entre les 2 ordres ; indépendance croissante de l'Eglise. Associé à l'autorité royale pour guider le peuple vers le salut, le ministère royal n'en est pas pour autant ds la main du roi. Les églises, confiées par Dieu aux évêques, n'ont rien à voir avec les bénéfices

Plan : traitement de la problématique Notions clés Repères A. Une église qui devient la principale puissance de la chrétienté 1. Une Église indépendante Chrétienté de la tutelle des laïcs 2. Réformer l’Église 3. Réformer les laïcs Réforme Ordres Lire et analyser une carte Lire et analyser une image (photographie-enluminure) B. Renouveau de la vie religieuse à partir du XIe siècle L’abbaye de l’Épau Mouvement cistercien 1. Contexte de l’édification Patrimoine et architecture relià l’échelle