Liste des évêques du Mans

le réseau des évêchés. - le texte de Gervais par le grand nombre de personnages qu’il évoque nous permet également de situer le centre de gravité de la monarchie capétienne au milieu du XIe siècle. La plupart des archevêques et des évêques présents appartiennent aux provinces ecclésiastiques de Reims (Reims, Laon, Soissons, Châlons-sur-Marne, Noyon, Senlis, Cambrai, Amiens) et de Sens (Sens, Paris, Meaux, Nevers, Auxerre, Troyes). Des représentants de la province de Lyon sont présents

| | |Livre des vers lyriques (1555) ; consacré évêque de | | | | |Châlon-sur-Saône en 1578 | |Guillaume DES AUTELS |1529-81 |20 ans |Sonnets à la manière de Pétrarque, Amoureux Repos (1553) | |Jacques PELETIER du MANS |1517-82 |32 ans |Traducteur d'Horace ;

en secondes noces un aristocrate Raoul de Crépy). On place sa naissance au début du XIe siècle, vers 1007. Il meurt après la majorité de Philippe Ier en 1067. Aristocrate de naissance, Gervais connaît une belle carrière ecclésiastique en étant évêque du Mans dès 1036 grâce aux faveurs de la maison de Blois, puis archevêque de Reims en 1055.   La nature du texte : il ne s’agit pas d’un ordo liturgique comme le mot « sacre » dans le titre pourrait le laisser croire, mais d’un récit de la cérémonie

Intro: I Un évêque .... A) Simonisme simonisme : Trafic des charges ecclésiastiques L2 à L 25: exemple d'acte de simonisme de la part de Siffroi pour augmenter sa charge ecclésiastique : Il donne des terres a Godefroy pour obtenir la charge d'évêques (L 5 a 10) Il s'allie a bouchard afin de ce battre face a hugues et lui donnera de nombreuses terres en echanges de benefices ecclesiastiques (L 10 a 27) et enfin il donne des terres de chanoines a son fils (L 32 a 36) B) Nicolaïsme Nicolaïsme

détenir les revenus fournis par trois manses(=unité éco capable par sa production de faire vivre une famille, cepandant 3 manses ne suffisent pas a s’équiper, et certaines ne sont pas éxploitées. Ainsi, en 808, ce seuil passe a 4manses vétues , et ajoute que ceux qui ont 1, 2, ou 3 manses doivent s’associer pour atteindre 4 manses, l’1 des associés pourra ainsi s’équiper lui aussi. Les ministériaux/sergintes, subalternes des senteniers/vicaires vont faire la liste des hommes libres équipés Les contes

un beau pays Le site de la ville actuelle de Laval, dans la vallée de la Mayenne, est à mi-chemin des cités plus anciennes que sont Le Mans et Rennes. Il en est fait mention dans les écrits de Lucain au temps de Jules César, et une voie romaine traverse la rivière par un gué au pied de l'éperon rocheux où le château s'élèvera plus tard. Pour autant, même si les recherches archéologiques attestent une occupation ancienne des lieux, rien ne confirme la tradition d'un château initial que les Normands

emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au IIIe siècle, le nom de cette constellation pour se désigner. Outre Ronsard, la Pléiade regroupe Joachim du Bellay, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Pelletier du Mans, Jean Dorat prendra sa place au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard prit, pour désigner ce groupe, le mot « Pléiade » entériné par la postérité. Les idées de la Pléiade sont rassemblées

Rhin (Ive siècle : ils obtiennent le statut de fédérés. Ils vivent en Gaule du Nord et passe sur la rive gauche du Rhin. (Ils intègrent si bien la Gaule qu’on parle de culture franque à partir du Ve siècle (Childéric / Tournai (Ricomer / Le Mans (Sigebert le Boiteux / Cologne (Rois de tribus (Francs rhénans / ripuaires (Francs saliens (2 grands ensembles de tribus b) Childéric, Barbare et commandant romain (Fil des Mérovée (Païen (Il avait le commandement

moins récent vu le nombre de détails sur la cérémonie. Il semblerait que l auteur soit Gervais du Chateau du Loir, qui fut l archeveque de Reims. Il fut aristocrate de naissance et marqua son époque pour sa belle carrière ecclesiastique en étant eveque du Mans des 1036 puis archeveque de Reims en 1055. Il serait né vers 1007, et serait décédé en 1067, date a laquelle Philippe 1 er atteint la majorité. Il est important de préciser l age de Philippe 1er, au moment du sacre, il n était agé que de 7 ans

fut roi des francs de 1060 à 1108. Ce procès-verbal fut prononcé par Gervais du Château-du-Loir, archevêque de Reims. Membre du conseil de régence, il meurt en 1067. Aristocrate de naissance il connaît une belle carrière ecclésiastique, étant évêque du Mans dès 1036 grâce aux faveurs de la maison de Blois, puis archevêque de Reims en 1055. Lors de son sacre Philipe Ier a 7 ans. Il se fait sacré du vivant de son père. Ceci constituait une coutume carolingienne. En effet les premiers Capétiens surent