Limites De La Désinflation Compétitive

ainsi que l'organisation du travail. Les investissements réalisés, le travail divisé et organisé scientifique vont démultiplier les capacités productives des agents économiques. A- Croissance, capital, progrès technique : 1- Sources et limites de la croissance économique : Les PDEM et dans une moindre mesure certains pays en développement, notamment les Nouveaux Pays Industrialisés ont connu la croissance économique la plus forte, la plus régulière de l'histoire de l'humanité pendant

l'Offre. Exemple: chocs pétroliers de 1976, modifications de la fiscalité, catastrophes naturelles qui rasent les entreprises: plus d'offre ( Japon ). En cas de choc d'offre négatif, l'activité économique devient + coûteuse, les entreprises les – compétitives risquent de faire faillite. Inversement, lorsque des innovations permettent des gains de productivité et baissent les coûts unitaires de production. Elle produisent des chocs d'offre positif. La situation des productions des producteurs s'améliorent

du taux d’intérêt. La « trappe à liquidité » correspond à une situation dans laquelle LM est horizontale, dans ce cas aucun taux d’intérêt ne peut dynamiser la consommation et l’investissement. III) LES LIMITES On distingue 5 limites à la politique de stop & go L’effet d’éviction entre I et G. Lorsqu’on est en récession, on cherche à augmenter les dépenses publiques (G). Pour cela, on va devoir Soit maintenir les taxes T ce qui va augmenter le déficit public. Soit

Profiter des différences de change : L’entreprise qui exporte peut profiter des différences de change qui existent entre sa monnaie nationale et celle du pays dans lequel elle vend ses produits. Ainsi, Les Etats qui pratiquent des dévaluations compétitives renforcent-ils la compétitivité de leurs entreprises. 2-La compétitivité-hors-prix Indépendamment de la compétitivité au niveau du prix du produit, l’entreprise peut utiliser d’autres facteurs de concurrence. a. La qualité : La qualité des produits

 conséquences  sur  le  chômage  de  masse.     Objectifs  :   -­‐ Être   capable   de   maîtriser   les   notions   suivantes  :   fluctuations   économiques,   crise   économique,   désinflation,  croissance  potentielle,  dépression,  déflation.   -­‐ Être  capable  de  montrer  les  relations  entre  croissance  et  fluctuations  économiques.   -­‐ Être  capable  de  distinguer

croissance est le moteur de cette consommation, qui en retour alimente la croissance. Ce modèle économique qui pousse l'individu à consommer toujours plus pose cependant aujourd’hui des questions sur la finalité de notre système (sens) et sur les limites à cette croissance (notion de décroissance). Croissance et développement : La croissance se distingue du développement qui désigne l’ensemble des transformations techniques, sociales, démographiques et culturelles induites par la croissance de la

favorisée/OMC . Il correspond donc à une forme de coopération éco internationale très large (se distingue donc du régionalisme) et s’oppose au bilatéralisme. Protectionnisme : désigne un ensemble de mesures prises par un gouvernement afin empêcher ou limiter les importations de biens et services. Selon le contexte, ses objectifs sont variables : équilibre du cce extérieur, maintien de l’emploi dans certains secteurs, protection des industries naissantes (« éducateur »/ FList) et/ou vieillissantes. Il

affronter, influencer et résister aux pressions de sont environnement concurrentiel. Le poids de ces cinq forces permet de déterminer la capacité des firmes en présence à dégager un profit. Si toutes les forces sont élevées, le profit possible sera limité. A l'inverse, si les forces sont faibles, il est théoriquement possible de dégager un profit important. Le point essentiel consiste donc à hiérarchiser ces forces de manière à déterminer quels sont les facteurs clés de succès dans l'industrie, c'est-à-dire

ou de nouvelles organisations, induisent norma lement une hausse de la productivité du travail, qui réduit les coûts unitaires, et crée de nouveaux débouchés. Le potentiel de profits d’innovation s’accroît, malgré la baisse compétitive des prix, et malgré la « désinflation » qui exclut les profits et l s désendettements nominaux. Il s’ensuit une vague d’anticipations e positives qui accélèrent la croissance de l’économie. La crise de 2000-2002 a réduit sensiblement la hausse de la productivité

novembre 2008) ce qui a permet a l’Euro d’atteindre la barre du 1,35 dollars en mars 2010 du fait des problèmes que connaissait la Grèce a cette époque la. Cette dépréciation a certes eux des effets négatifs pour les échanges commerciaux en termes de compétitives prix en effet le taux de change entre l’euro et le dollar a connu une baisse passant de 1 EUR = 1,5120 USD en décembre 2009 a 1 EUR = 1,35 USD en mars 2010.Cette baisse n’a pas eu que des effets négatifs en effet en Espagne, en France ceci a même