Limites De La Désinflation Compétitive

LM= 250*0,33+250=333,33 Titre 2 : Inflation, chômage et courbe de Phillips. Chapitre 1 : l’inflation Elle peur être définie par une hausse cumulative et autoentretenue du niveau général des prix. La hausse des prix appel la hausse des prix. La désinflation : c’est la baisse du taux d’inflation La déflation : baisse du niveau général des prix et en général elle s’accompagne d’une récession ou d’une dépression. Pour mesurer l’inflation on utilise l’indice des prix à la consommation et dans l’UE l’indice

Ainsi il peut y avoir un plein emploi des facteurs de production qui rend difficile une augmentation de l’offre puisque l’offre domestique ne peut pas augmenter mais les importations peuvent en partie augmenter de plus on suppose que les stocks sont limités. 2. L’inflation par les couts La hausse des couts de production serait une cause de l’inflation. Ces couts concernent les éléments suivants : les matières premières, les salaires, les charges sociales, les charges financières (taux d’intérêt), les

européenne. La construction monétaire de l’Europe, de l’expérience du Serpent au début des années 1970 à l’actuelle UEM, a-t-elle favorisé la croissance des pays de cette zone ? [pic][pic][pic][pic] La crise de la fin des années 2000 a montré les limites de la zone Euro : différentiel d’endettement public et de croissance, différentiel d’inflation, différentiel de taux d’intérêt appliqués aux différents emprunts publics, etc Les Etats ont semblé vouloir retrouver leur souveraineté nationale en outrepassant

élevée aux Etats-Unis est compensée par une baisse du taux de change du dollar contre le yen. La parité du pouvoir d’achat est la théorie du change la plus connue, sans doute en raison de sa simplicité. Pourtant cette approche souffre d’importantes limites. Elle est supposée vérifier la loi du prix unique, selon laquelle chaque marchandise ne peut avoir qu’un seul prix, quelle que soit la monnaie utilisée pour l’exprimer. Or cette loi repose sur une hypothèse d’équilibre général et de concurrence à

rareté il faut entendre que les biens économiques ne sont pas libres, spontanément à disposition et gratuits : ils ont un prix, il faut les produire, ils n’existent pas à l’état naturel. a) La gestion de la rareté des ressources, des besoins limités et l’analyse des biens Le besoin au sens économique manifeste un état de manque (désir) doublé de la volonté de le faire disparaître par l’usage d’un bien matériel ou immatériel (service), c’est-à-dire par la consommation. Les économistes distinguent

des biens nécessaires dans les pays capitalistes) Mais s'assurer que ces pays vont bien acheter nos produis. La solvabilité de la demande se résout par : l'élite fortunée locale : ce qui permet d’écouler les produits mais qui ceci est assez limité, la population avec la généralisation du salariat, afin de la rendre solvable. Un rapport de domination s'impose : obtenir un monopole, émincer la concurrence => mettre des lois contraignantes. §6. Le rôle de l'État Pour Marx l'État est

marché du travail se font alors davantage par les quantités que par les prix et l'emploi ne réalise plus nécessairement l'égalité entre productivité marginale et salaire réel, d'où un conflit possible entre la recherche de la stabilité du salaire pour limiter les risques et l'objectif d'efficience productive. L'hypothèse que les salariés ont une plus grande aversion pour le risque que les employeurs explique ainsi la rigidité des salaires et le chômage involontaire. 8 -2- La théorie de l'économie

déséquilibres économiques ? • La contrepartie, l’inflation, allège la charge des emprunteurs, les incitants à a faire des crédits, tout en simplifiant les arbitrages sociaux et permettant d’obtenir un consensus social plus facilement. • La dévaluation compétitive, par la baisse des taux de change et souvent utilisée dans une politique de relance afin de contrecarrer la perte de compétitivité lié à l’inflation. Economie monétaire et financière Les phénomènes monétaires peuvent ils jouer sur les déséquilibres

peut s’expliquer par la chute de la croissance ce qui pousse les Etats à utiliser une politique budgétaire différente d’auparavant. Les Etats s’endettent pour maintenir au mieux le niveau de vie de la population et aussi pour sauver des entreprises, limiter la chute des marchés et relancer la croissance économique. Cependant, cette politique de dépenses n’a pas toujours les effets souhai[***]tés, ce qui apporte aux Etats une situation où la dette publique est beaucoup plus importante que les bénéfices

donne des signes de faiblesse, la mise en place d’un État-providence (fourni prestations sociales) , avec la construction dans les pays occidentaux de systèmes de sécurité sociale très sophistiqués. Mais les politiques keynésiennes ont atteint leurs limites quand s’est produit le phénomène de stagflation (faible croissance + inflation) dans les années 1970, ce qui a imposé un renouvellement des cadres de référence théoriques. Chapitre 2 : Consommation et épargne