Lidocaïne

injectable (4), Aspégic® 500mg/5mL en injectable (2), Atropine® 0,5mg/1mL en injectable (4), Ceftriaxone® 2g en injectable (1), Flumazénil® 0,5mg/5mL en injectable (2), Furosémide® 20mg/2mL en injectable (4), Glucose® 30% 20mL en injectable (6), Lidocaine® 50mg/5mL en injectable (2), Méthylprédnisolone® 120mg en injectable (2) + 2 ampoules d'eau pour préparation injectable de 5mL, Nalaxone® 0,4mg/1mL en injectable (2), Paracétamol® 1g en injectable (2), Polaramine® 5mg/1mL en injectable (2), Profénid®

les corticoïdes, morsure, zone irradiée. 5 PRINCIPES DE PRISE EN CHARGE • Prise en charge de la douleur : • Doit être organisée, anticipée, gestes doux, précis. Anesthésie locale, loco régionale : • - Locale : Lidocaïne 1% et 2% sans adrénaline (doigts, orteils), Lidocaïne avec vasoconstricteur (Adrénaline) : plaies larges, contrôle hémorragique • Kalinox (O2+Protoxyde d’azote), • Environnement calme, patient bien installé. PRINCIPES DE PRISE EN CHARGE • Bilan des lésions initiales :

dermique. • Seringues stériles de 10 ml. • Seringue de 60 ml à gros embout. • Eau distillée stérile. • 2 pinces Kocher (clamp). • Pince à traire. • Pansement. • Bandes adhésives. • Matériel pour l'anesthésie locale : • Anesthésique local : lidocaïne 1% (Xylocaïne®). • Seringue de 10 mL. • Aiguille pompeuse (rose : 18 Gauge). • Aiguille intramusculaire (noir : 22 Gauge ; verte : 21 Gauge). • Matériel pour l'habillage : • Tenue du médecin : • Casaque stérile. • Gants stériles à usage

dangereuse. - alcalinisation si - ACR prolongé. - pH < 7.10. - acidose préexistante à l’ACR. - hyperkaliémie. - Le meilleur agent alcalinisant = le rétablissement d’une activité cardiaque spontanée. ( Antiarythmiques : - lidocaïne (xylocaïne) 1.5 mg/kg I.V. en bolus en cas de F.V. résistante à la défibrillation. ( Calcium : - Le calcium est toxique au niveau cellulaire dans l’ACR : accumulation de Ca dans la cellule ischémique. - Utile seulement si : - hypocalcémie

inconfortable pour les soignants. A ce jour, on applique du Dexeril sur les fesses pour une bonne hydratation. Monsieur M. présente des hémorroïdes sur lesquels on applique une crème nommée Titanoreïne. Cette crème contient un anesthésique local (lidocaïne) et des substances protectrices et cicatrisantes. Elle est utilisée dans le traitement symptomatique des douleurs, des sensations de brûlures et des démangeaisons de l'anus, en particulier dues aux hémorroïdes. Ce patient a également une gynécomastie

le soin du faite que elle n’aime pas les prélèvements sanguins car elle ressens de la douleur. Il y’a plusieurs techniques pour appréhender le soin : - la technique d’apaisement : la discussion - les patchs anesthésiants : EMLAPATCH / LIDOCAINE - ou meme utilisés une aillette plus petite certaines personnes sont plus a l’aise en voyant En psychiatrie on utilise beaucoup des techniques d’apaisement dans les soins techniques comme dans les soin relationnels Dans cette situation

: - Travail avec ergo : transfert avec appui Évaluation: À ce jour Mr V aura la séance kiné cet après midi, Risque d’hémorroides : Suite au constipation Mr V a tendances à avoir des selles très dur et forcer pour faire sortir ses selles - Lidocaïne crème 2% en si besoin ( hémorroïdes) - Surveiller l’apparition d’hémorroïdes lors des changes - Signaler au médecin dés l’apparition - Appliquer la crème Évaluation : À ce jour Mr V ne présente pas d’hémorroïdes, La télé de Mr va jusqu’au

troubles neurologiques (céphalées, délire, agitation)… Les antiarythmiques de classe I La classe IB : Action : diminuent la durée du potentiel d’action et peu ou pas d’action sur l’intervalle QT Produits : phénytoïne, chlorhydrate de lidocaïne. Effets indésirables : • troubles cardio-vasculaires : bradycardie, aggravation d'un bloc auriculoventriculaire, effet inotrope négatif aux fortes doses. • réactions allergiques • troubles neuropsychiques : agitation, troubles visuels et auditifs

subjectifs d’alerte. La littérature est peu rassurante sur ce point. En effet, des doses peu élevées de Midazolam et d’une morphinique (1,5mg de Midazolam et 75 ug de Fentanyl), diminuent la sensibilité du patient à l’injection intraveineuse de Lidocaïne en gommant les symtômes subjectifs de l’intoxication mais en respectant les signes objectifs (amplitude de l’onde T, pic hypertensif). Par ailleurs, un facteur limitant l’utilisation de la Kétamine est l’existence d’effets secondaires doses-dépendants

Voie d’urgence et d’exception -indications rares : vasodilatation artérite invalidante, trhombolyse caillot occlusif Voie IM : Injection préférentielle dans la quadrant supéroexterne du muscle fessier BD variable Anesthésique local (lidocaïne ou dérivé) : diminution de la douleur Contre-indiquée : enfant &lt;30 mois, allergie anesthésiques locaux, traitements anti-coagulant Voie Sous Cutanée : Epaule, face postérieure du bras, abdomen, face externe de la cuisse Volume injecté faible