Lexique Du Portrait Physique Humain

une description (physique et morale) valorisante de la personne aimée, détaillée par petites touches. Dans la scène, Perdican valorise Rosette en la flattant pour mieux obtenir son consentement. Après avoir rappelé sa singularité par l'anaphore de « toi seule... », intensifiée par la précision « au monde », il loue ses « beaux yeux », son « joli visage », sa « jeunesse », et résume sa séduction par un groupe binaire vigoureux : « te voilà jeune et belle... » À ses attraits physiques répondent des qualités

capable d’identifier et d’employer un adjectif qualificatif.1hOralDécrire des personnages, des lieux…- Amener l’élève à décrire oralement des personnages, des lieux…1hProduction écriteSujet : « décrire un paysage » ou « faire la description ou le portrait de votre ami »- Être capable de produire un texte descriptif. · Séquence 3 : Le texte argumentatifDuréeActivitéContenuObjectifs1hLecture méthodiqueLe sport collectif- Identifier les caractéristiques d’un texte argumentatif

haut lieu de la vie berlinoise – reliée au passant de droite par le trait de couleur, un femme dont on ne perçoit que le visage et le buste. Une roue suggère la circulation automobile, le mouvement, la modernité. Un aplat mauve relie le passant au portrait de la jeune femme et se poursuit enserrant la silhouette de la femme au comptoir. Le mauve se retrouve à gauche de la toile sur la robe de la femme attablée et sur les vêtements du couple. Le trait est appuyé, la composition géométrique, les couleurs

au-dessus du maître, mais aussi au-dessus des Hommes (jugement sur l'humanité en général). Cet homme-là ne vaut pas plus que les autres, et il ne faut pas leur en vouloir car cela fait partie de la nature (conception très pessimiste de la condition humaine). Marivaux émet son jugement sur l'humanité. Dans cette pièce, on ne s'arrête pas à une vengeance personnelle, on va aller plus loin. C'est là le sens du pardon d'Arlequin. Aussi, lors de sa tirade, Arlequin fait un constat de l'attitude passée de

le nom p. 29 La modalisation Impératif présent / subjonctif présent le discours indirect au moment de l'étude du dialogue le vocabulaire des métiers de la mine p.3-4 fiche élève 2 La nominalisation L.V. p. 24 et p. 43 Le lexique de la narration Les reprises nominales Contrôle de lecture à chaque séance 1 : de la p. 1 à 44 : l’énigme 2 : de la p. 44 à 100 : la découverte et le piège 3 : de la p. 100 à 136 : la nouvelle Aberfoyle 4 : de la p 137 à 188 : Nell 5. de la p 188

étaient enfants, mais ils s'étaient brouillés. Il l'invite à venir un jeudi soir. Pendant la soirée, Laurent propose à Camille de faire un portrait. Il accepte. Pendant qu'il peint, Thérèse, fascinée, l'observe sans cesse. Sur le chemin du retour, Laurent décide de devenir son amant, et de l'embrasser dès la première occasion. Quelques jours plus tard, le portrait est terminé, mais il est étrange car il représente plus un noyé qu'un être vivant, tellement les couleurs sont ternes. Cependant, Camille

calicots !... », F. COPPÉE, A. RENOIR  ............................. 30 Faire le point • Nouvelles réalistes du XIXe siècle ............................................................................................ 31 Langue et expression • Lexique : Le vocabulaire du jugement ................................................................................ • Orthographe et conjugaison : Réviser les terminaisons de l’imparfait et du passé simple de l’indicatif – Réviser l’accord du verbe avec

étaient enfants, mais ils s'étaient brouillés. Il l'invite à venir un jeudi soir. Pendant la soirée, Laurent propose à Camille de faire un portrait. Il accepte. Pendant qu'il peint, Thérèse, fascinée, l'observe sans cesse. Sur le chemin du retour, Laurent décide de devenir son amant, et de l'embrasser dès la première occasion. Quelques jours plus tard, le portrait est terminé, mais il est étrange car il représente plus un noyé qu'un être vivant, tellement les couleurs sont ternes. Cependant, Camille

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Enseignements artistiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 Éducation physique et sportive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 Enseignement moral et civique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

1834, dont la publication commence dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie. Il fait partie des Scènes de la vie privée de La Comédie humaine1. Le Père Goriot établit les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : La Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. « Goriot mettait ses filles au rang des anges, et nécessairement au-dessus de lui, le pauvre homme ! Il aimait jusqu’au mal qu’elles lui