Lexique De La Souffrance

Spielberg (1998) Sommaire : 1°)Introduction 2°)Présentation de l'oeuvre a-Biographie du réalisateur b-Contexte historique 3°)Analyse de l'oeuvre a-Résumé du film (analyse générale) b-Analyse cinématographique d'une scène 4°)Lexique 5°)Conclusion Introduction : Le film que nous allons étudier est un film de Steven Spielberg réalisé en 1998. Nous nous intéresserons ici au regard du réalisateur porté sur un événement historique majeur du XX ème siècle.

l'homme est hypocrite, il porte un masque, il se voile la face, il se voile sa propre réalité. II/ Un lexique provocateur Registre du diable, pacte avec le diable. V13 '' le diable'' V15 '' enfer'', V22 ''démons'' . V25 '' le poison, le poignard, l'incendie'' : termes violents et forts qui renvoient a la mort. Le plaisir de faire du mal ''canevas''. On accepte cette souffrance, le gens se laissent habiter par les démons petit a petit; sans rien dire. ''Monstre glapissant'' = animaux

8-9 ; 13 Métaphores Vide, manque, souffrance de l’absence et la séparation. Tirets après « N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - « - » tiret - « Triste » (Adjectif) ; « M‘éteindre » (Euphémisme) - Le tiret marque la défense d’écrire, ton ferme, volonté de rupture. - Les adjectifs marquent la souffrance profonde, désespoir ? Vers 2. - «

La Corrida Roger Zelazny (1937-1995) I/ les ambigüités du récit C’est un récit de science- fiction (condition humaine), une tragédie, il ya un lexique différent de celui du taureau et de la corrida (ex : ultrasonique, ses pieds, genou, paupières, il était nu) On ne sait pas si le personnage est un taureau, un homme ou un taureau qui se prend pour un homme ; on a un doute jusqu'à la ligne 49 ou, l’on comprend qu’il s’agit d’un homme. Les ambigüités sont présentes pour la femme nue

8-9 ; 13 Métaphores Vide, manque, souffrance de l’absence et la séparation. Tirets après « N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - «  - » tiret - « Triste » (Adjectif) ; « M‘éteindre » (Euphémisme) - Le tiret marque la défense d’écrire, ton ferme, volonté de rupture. - Les adjectifs marquent la souffrance profonde, désespoir ? Vers 2. - « Sans

Les Regrets Du Bellay • Références à un passé malheureux Négations + interrogations « Las + interjection » Lexique péjoratif / Laudatif Strophes : passé et présent (victime, perte de l’inspiration) Le dernier mot du poète « s’enfuient » montre un poète qui devient étranger à lui-même. « Où est » = passé révolu « Las » = interjection Répétition anaphorique de « où » = adverbe Poème élégiaque = où le poète se lamente, écrit ses peines, douleurs, etc… Impression qu’il y a deux

vouloir…), certains adjectifs qualificatifs (possible, certain, probable…). Le conditionnel peut indiquer aussi une distance de l’énonciateur à son énoncé : on pourrait dire qu’il a raison mais… Les marques de la subjectivité : utilisation d’un lexique appréciatif, évaluatif, affectif. Les marques du jugement : verbes de jugement (je pense, je crois, j’affirme). 3 L’énoncé « coupé » de la situation d’énonciation Il s’oppose point par point à l’énoncé ancré dans la situation d’énonciation

travail, les relations conjugales et les affrontements sociaux. Nous allons donc, dans ce commentaire, étudier la misère du peuple francais, des affrontements sociaux, et du cas des femmes pendant la deuxième moitié du 19ieme siècle à travers la souffrance d’une mère ayant tout perdue, si ce n’est sa fille. Les femmes souffrent d’un statut dégradant, qui date depuis des siècles et qui est donné par les hommes. Au cours du 18ieme siècle, Choderlosde Laclos avait dénoncé cet abus dans son œuvre «

», ainsi que « paralysie de la volonté ». Cette incapacité à produire la toile voulue plonge le peintre dans la souffrance et la dépression. c) La souffrance du peintre : Ainsi, on retrouve dans cet extrait le lexique de la souffrance, avec des expressions telles que « doutes d’autre fois », « ravagé », « ne réalisant pas l’effort tenté », « qui l’exaspérait », « quelle souffrance », « vivre des semaines abominables », « se dévorant », « heures mauvaises ». Ici, Zola nous apporte

révolte populaire et naïve de la nature humaine). → dans ce livre, Jules Michelet évoque l'inquisition et explique l'origine des hallucination (exemple). Lecture analytique : Un récit terrifiant. Un récit engagé. Le rôle de l'historien. Les souffrances infligées à Grandier : -détention : emmurement (l.8), « pour qu'il étouffe » : proposition subordonnée circonstancielle de but, intention de faire souffrir. -aiguilles enfoncées : « par les mains même de ses accusateurs » (l.10-11), métonymie, « exécrable