La corrida, roger zelazny
I/ les ambigüités du récit
C’est un récit de science- fiction (condition humaine), une tragédie, il ya un lexique différent de celui du taureau et de la corrida (ex : ultrasonique, ses pieds, genou, paupières, il était nu)
On ne sait pas si le personnage est un taureau, un homme ou un taureau qui se prend pour un homme ; on a un doute jusqu'à la ligne 49 ou, l’on comprend qu’il s’agit d’un homme. Les ambigüités sont présentes pour la femme nue qu’on désigne comme un bandério et la forme noire qu’on désigne étant un torero. Tous les personnages sont ambigus.
La particularité syntaxique permet de garder l’anonymat des personnages, Les phrases passives en début de texte font que le personnage subit l’action ; on comprend alors qu’il n’est pas maitre de son destin. Le personnage est dès le début du texte, confondu avec le taureau, et agit de même car dès qu’il aperçoit la femme nue, il se comporte comme une bête (un sauvage). Dans le texte, le personnage répond à son instinct primaire. Un peu plus loin dans le texte, on apprend que le personnage et sa mémoire s’arrête la : c’est une ellipse narrative, on ne sait pas se qui c’est passer entre le moment ou il s’est fait interpellé au coin de la rue et au moment ou il se réveille dans un endroit qui lui est étranger. Cette ellipse est là pour que le lecteur puisse imaginer un scénario, l’auteur veut que l’on se pose des questions, que l’on s’intéresse d’avantage au texte.
II/ La visée argumentative de la nouvelle
La voix passive du début exprime un sentiment d’impuissance du taureau : une fatalité.
Les premières sensations du texte sont auditives et visuelles elles sont liées a la souffrance.
La sortie du taureau (qui sort de son enclos pour aller dans l’arène, vers la lumière) est comparé à la naissance, on y retrouve la colère puis un sentiment d’impuissance.
Le texte raconte le cycle de la vie : la naissance, les aléas de la vie (l’amour, la souffrance),