Levi Strauss Race Et Histoire

l’énergie, l’eau, les forêts, les animaux. Mais force est de reconnaître que tous ces problèmes se rejoignent à un moment ou à un autre. Protéger la Terre. Mais quel intérêt à l’humanité de s’intéresser à l’environnement? Tout simplement pour préserver la race humaine le plus longtemps possible et donc de laisser aux générations futures une terre habitable. On appelle ça le développement durable. Le développement durable ce n’est pas seulement protéger la planète mais aussi doter les individus des comportements

principe contraire à l'ethnocentrisme ; (c'est ce problème qu'ont les sociétes occidentales, elles ne font pas appel à ce principe de relativisme culturel et se base uniquement sur leurs critères dont le principal, le développement technique.) Donc Lévi strauss démontre qu'il n'y a aucun classement de cultures possible puisqu'aucune n'est réellement supérieure a une aucun critère ne peut etre commun a toutes les cultures, une hiérarchisation des cultures dépend alors uniquement du point de vue choisi

radicale de cet ethnocentrisme, le racisme, c'est à dire dans une idéologie de la haine qui vise à l'extermination d'un groupe d'individus donné, afin de rester la seule race dominante. Intervient ici le concept de race, qui nie la nature humaine comme telle et croit en une hiérarchie des peuples, en se basant sur l'idée qu'elle reste la race supérieure par excellence. Le cas le plus célèbre de l'histoire reste celui de la Shoah, engendrée par le nazisme d'Hitler. En quoi peut-on dire que le cas d'Hitler

LA CULTURE ENTRE NATURE ET HISTOIRE : ECHANGE IDENTITE ET POUVOIR. Introduction : Toute culture se construit dans une certaine relation à la nature et se développe dans une certaine ? qui lui est propre. Cette relation à la nature + régime de la polarité = identité culturelle particulière. Depuis le 16ème 17ème : culture occidentale dominante sur les autres cultures. Extension : résultat, expression d’une certaine nécessité historique. La culture occ a eu tendance à se considérer comme

connaît assez le rôle décisif que cette scolarisation a pu jouer dans l’intégration dans la société française des communautés juives d’Europe centrale ou d’Afrique du Nord. C'est elle qui donne à l'enfant son identité de citoyen sans distinction de race, de culture ou de religion. Force est alors de constater que l’intégration est bien le résultat d’une maturation à la fois personnelle et collective. Dans quelle mesure cependant, les communautés ainsi intégrées, sont-elles menacées de disparaître

l’égard de cette éducation citoyenne précise dans l’Emile qu’il faut d’abord éduquer l’homme avant d’éduquer le citoyen. 2. En effet le risque de cette éducation est de favoriser des formes d’ethnocentrisme et d’intolérance Voir Lévi-Strauss, Race et histoire. A développer. Reprendre ce qui a été vu en cours. Si la culture nous est essentielle, elle se transmet selon des modalités diverses en fonction des sociétés : nous aurons donc naturellement tendance à considérer l’éducation que nous

pas comme des êtres humains mais comme une sorte de résidus de l’espèce humaine, tout juste bonne à corrompre la race supérieure qu’était la race Aryenne. C’était donc bien cette différence fondamentale entre le bourreau et sa victime, qui a certainement pu permettre l’ampleur de l’élimination systématique des Juifs. C’est dans ce sens là que Lévi Strauss déclarait dans Race et Histoire : « Le barbare c’est d’abord celui qui croit à la barbarie ». Cela signifie que l’auteur de barbarie par ses actes

de celle-ci à l’usage courant : une recherche sur google révèle 333 000 occurrences pour « reproduction sociale ». Il est désormais ressenti comme synonyme de déterminisme, de fatalité, de destin. Il est devenu un thème politique. Ainsi, Dominique Strauss Kahn écrit sur son blog : « L’égalité réelle, c’est d’abord l’égalité des droits, la lutte contre les discriminations sexistes, raciales, générationnelles, territoriales. Mais c’est aussi la lutte contre la reproduction sociale qui demeure, malgré

à la culture qui le distingue des autres espèces terrestres. La culture s'ajoute en effet à la nature et traduit la manière dont l'espèce humaine se libère de l'instinct et du déterminisme grâce à l'esprit pour acquérir un devenir singulier, une histoire. La culture devient à la fois des valeurs particulières qui peuvent s'opposer les unes aux autres dans leur diversité et une notion générale, synonyme de civilisation dans le langage des philosophes et des anthropologues modernes. Cette ambivalence

moyens qui leur procurent ce qui leur est utile sur terre, ils sont forcés de penser que ceux-ci ont été déposé pour eux par une autre personne d'où la superstition. Ainsi, pour Spinoza la superstition est du aux préjugés. De plus, dans Race et Histoire Levi-Strauss explique ce qu'est l'ethnocentrisme c'est à dire le rejet et la dépréciation des autres cultures. Or, on peut penser que ce rejet provient éventuellement de préjugés qu'ils soient raciaux ou moraux. Ainsi, les grecs excluaient les "barbares"