Levi Leipheimer

Dissertation : citation de Levi Strauss. L’Homme vit en société et ressent le besoin d'appartenir à un groupe. Ceci dit il vaut mieux être seul que mal accompagné. A l’époque, tout le monde n’avait pas la capacité de choisir son ou ses adversaires. Ici Claude Levi Strauss dit : « le barbare est d’abord celui qui croit à la barbarie ». Les questions qu’on se pose sont de savoir quelle est la signification exacte du mot barbare dans cette phrase ? Être barbare dépendrait-il seulement de nous ?

société Nuer est organisée à partir de groupes constitués qui s’opposent ou fusionnent suivant les circonstances, ce qui satisfait la logique occidentale : une chose est ou n’est pas. Ces groupes se divisent, selon le principe que précisera plus tard Lévi-Strauss sous le nom de principe d’opposition, ou bien s’unissent pour faire face à l’étranger avec lequel ils constituent une opposition nouvelle. Mais on trouve également l’idée que ces mêmes groupes fusionnent quand ils sont séparés et se divisent

Claude Lévi-Strauss : anthropologie structurale, chapitre langage et société. RECTO : 1) Wiener expose deux réserves : -« Il estime que la nature même des sciences sociales implique que leur développement retentisse sur l’objet d’investigation » (p.70), d’où l’interdépendance entre en jeu entre l’observateur et l’objet étudié. -« Il note que les phénomènes qui relèvent en propre des recherches sociologiques et anthropologiques se définissent en fonction de nos propres intérêts… » (p.71). Ce

mer phosphorescente » Voyages d’un Naturaliste autour du monde. Cl. 3 lectures analytiques rapides et mise en relation des trois textes Gr. Deux textes complémentaires : Lévi-Strauss Tristes tropiques et Diderot Supplément au voyage de Bougainville Ecriture : « Je hais les voyages et les explorateurs » écrit Claude Lévi-Strauss en introduction à Tristes Tropiques. Comment comprenez-vous cette remarque provocatrice ? Groupement de textes 2 : La fascination de l’orient au XIXème siècle :

©2009-2010 GRAILLAT Amaury Claude Lévi-Strauss – Race et histoire Licence : GNU FDL Chapitre 1 : Race et culture : On ne peut pas dire que les groupes ethniques aient apporté spécifiquement tel ou tel contribution au patrimoine commun. En admettant qu’il existe des caractéristiques biologiques à chaque « race », on ne peut pas affirmer la supériorité de l’une par rapport aux autres. On ne doit pas confondre les caractéristiques biologiques et les productions sociologiques et culturelles

a poussé les hommes à développer leurs talents respectifs et leurs dispositions naturelles, bref, à devenir des êtres de culture. 5. Les échanges sont-ils réductibles au commerce des services et des biens ? Comme l'a montré l'ethnologue Claude Lévi-Strauss, on ne saurait réduire les échanges aux seules transactions économiques. En fait, il existe deux autres types d'échanges qui ont d'ailleurs la même structure : l'organisation de la parenté, et la communication linguistique. Une société n'est

central dans l’organisation sociale, où les individus sont définis avant tout par leurs liens de filiation (fils et fille de qui ?) et d’alliance (mari ou femme de qui ?), plus que par leur activité ou leurs caractéristiques personnelles. Claude Lévi-Strauss a notamment essayé de systématiser l’analyse des systèmes de parenté (qui épouse qui, qui est considéré comme père ou mère des enfants…), en montrant que s’ils varient fortement suivant les sociétés, il existe certaines constantes, certains

Kepel,, La revanche de Dieu, Éd. du Seuil, coll. Points, 1992 Denis Lacorne, La crise de l'identité américaine, Gallimard, coll. « Tel », n° 324 Claude Lefort,,  L'invention de la démocratie, Éd. Fayard, 1981 Claude Lévi-Strauss, Race et histoire, Ed. Denoël Gonthier, 1974 Claude Lévi-Strauss, Tristes Tropiques, Éd. Plon, 2002 Pierre Manent, Histoire intellectuelle du libéralisme, Paris Hachette, Pluriel, (2002) Bernard Manin, Principes du gouvernement représentatif,  Ed. Flammarion, coll. « Champs »

valeurs, si et seulement si, son acquisition fût conforme aux règles qui ont instauré son oral et son écrit. Dans L’anthropologie structurale, Claude Lévi-Strauss considérait : « le langage, à la fois comme le fait culturel par excellence et celui par l’intermédiaire duquel toutes les formes de la vie sociale s’établissent et se perpétuent. » (Lévi-Strauss, 1958, p.392). Dès lors, nous saisissons combien il est important le rapport qui met en évidence l’association de la vie sociale, la culture et

l’ethnocentrisme, ayant le même impact sur relation avec les autres et leur culture. Voyons donc à présent à quoi correspond ce concept. L’ethnocentrisme est en quelque sorte la tendance à rejeter ce qui est différent de nous. Mais comme nous le témoigne Claude Lévi-Strauss, lorsque nous disons « nous », nous parlons de nos repères par rapport à notre société et à notre culture. Notre jugement se base donc ici non pas sur « nous » en tant que personne individuelle, mais comme individu faisant partie d’un groupe