Leurs Yeux Toujours Purs

comprendre la raison du danger auquel les femmes sont soumises, il convient d'abord d'expliquer pourquoi les femmes sont jugées dangereuses. Le danger qu’elles suscitent ne vient pas d'abord de leurs actions mais bien de leur nature propre. Depuis toujours, il existe des croyances dans de nombreuses sociétés selon lesquelles les femmes sont impures, malsaines ou encore inférieures. Ces qualificatifs leur ont évidemment été attribués par des hommes qui citent principalement le sang féminin en guise

librement au-dessus de notre tête sans jamais se heurter au mur, au plafond et autres obstacles. J'en concluais […] qu'il restait un filet de lumière dans leurs yeux. Je pensais empêcher cette ouverture en obligeant les paupières à rester fermées et pour cela j'appliquais sur celles-ci une boule de glu […] de façon à ce que non seulement les yeux mais aussi un petit espace autour reste couvert de glu. Malgré cela les chauves-souris volaient avec aisance, de nuit comme de jour, se dirigeant dans l'espace

encore vivant aujourd’hui, non pas pour son aide matérielle que pour m’avoir constamment rappelé, par sa présence, par sa façon simple et si facile d’être bon, qu’il existait encore, en dehors du nôtre, un monde juste, des choses et des êtres encore purs et intègres […] pour laquelle il valait la peine de se conserver vivant ». 6- Vous conclurez en discutant cette phrase d’Albert Camus : « On apprend au milieu des fléaux qu’il y a dans les hommes plus de choses à admirer que de choses à mépriser »

et Noura) Noura  A.: Oh ces larges beaux jours dont les matins flamboient ! La terre ardente et fière est plus superbe encor Et la vie éveillée est d'un parfum si fort Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie. Soyez remerciés, mes yeux, D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux, Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ; Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ; Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils Pendus au long du mur, près des

qualités intellectuelles : "sagesse", morales, "cœur" générosité/sensibilité) 3) La femme, ses dons, ses actions de bienfaisance Le poème fait l'inventaire de ses dons : a - don pour l'être aimé d'exister, de lui redonner confiance et "goût à la vie" b - yeux miroirs de l'âme opposition présent/passé "qui me reflète sinon toi"/"je n'ai pas pu percer" c - transcende la mort "ce cœur immortel" "grand soleil" à amour plus fort que la mort. La femme aimée est associée à des images de bonheur… II/UNE VISION

couleur de mes yeux, Elle s'engloutit dans mon ombre Comme une pierre sur le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s'évaporer les soleils, Me font rire, pleurer et rire,Parler sans avoir rien à dire. (Mourir de ne pas mourir, 1924) La version chantée de Jérôme Minières ; je vous invite à aller voir sur des sites de vidéos en ligne pour vous rendre compte que ces poèmes touchent toujours beaucoup de personnes

éléments de l'univers, entre l'univers réel et imaginaire, le surréel . Entre le passé et le présent, la femme présentement aimée ressuscite le souvenir des amours anciennes, en devient même l'accomplissement par ce que "c'est toujours le même aveu , la même jeunesse , les mêmes yeux purs , le même geste ingénu de ses bras, la même révélation » La dame de carreaux ,1926. Deux poèmes illustrent cette unification des temps amoureux. "Le mannequin " supprime les distances entre les rêves juvénile et des désirs

intellectuelles : "sagesse", morales, "cœur" générosité/sensibilité) 3) La femme, ses dons, ses actions de bienfaisance Le poème fait l'inventaire de ses dons : a - don pour l'être aimé d'exister, de lui redonner confiance et "goût à la vie" b - yeux miroirs de l'âme opposition présent/passé "qui me reflète sinon toi"/"je n'ai pas pu percer" c - transcende la mort "ce cœur immortel" "grand soleil" à amour plus fort que la mort. La femme aimée est associée à des images de bonheur… II/UNE VISION

symbole d’un amour corrompu ? Ou personne aimée peu fiable ? L’enjambement trouble le lecteur : qui aborde le poète ? Le voyou ou la personne aimée ? >> cette comparaison traduit l’obsession du poète pour la femme aimée. ➔ « me fit baisser les yeux de honte » : attitude étrange du poète. Répétition des marques de la 1ère personne « mon » « ma », « me » (x2) : effet d’insistance sur son trouble, son sentiment de malaise. Allitérations douces en -m- qui se poursuivent >> imitation sonore

grâce à son refrain qui crée une sorte de rythme, évoquant une chanson. Laissez-vous aller au grès des sonorités de ce poème musical. Le pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine
 Et nos amours
 Faut-il qu'il m'en souvienne
 La joie venait toujours après la peine
 
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Les jours s'en vont je demeure
 
 Les mains dans les mains restons face à face
 Tandis que sous
 Le pont de nos bras passe
 Des éternels regards l'onde si lasse
 
 Vienne la nuit sonne l'heure
 Les