Les émeutes Dans Les Banlieues

De plus en plus, on ne possède pas de moyens pour se loger en centre-ville, alors on habite dans les faubourgs, connus actuellement comme « les banlieues». Par ailleurs, leurs caractéristiques se ressemblent, malgré les années et cette juxtaposition spatiale perdure aujourd’hui. Cependant, tandis qu’autrefois la différence entre centre et banlieue se manifestait à travers les accents patois ou catalans, aujourd’hui, la différence est dominée, (mais non pas réservée), par ceux des immigrés maghrébins

= espace + temps. L’espace c’est qui est était là avant que l’homme n’arrive, le temps correspond à l’histoire, la politique, le pouvoir, l’administration, la gestion, les frontières, les guerres. Un espace est avant que l’Homme intervient. La banlieue est en dehors de la Ville. Urbain = bien élevé, éducation, société Quartier = fragment d’une ville, d’un tout Les enjeux du cours : * Politique : vie de la cité * Intercommunalité : 36 000 communes, en France 2/3 des communes de l’Union

exemple) . Les villes africaines sont particulièrement touchés par ce fléau qui balaie l’Afrique : le Sida 5. Des problèmes sociaux très graves . Un taux souvent élevé de chômage (souvent plus de 40% ) . Des mendiants et des vagabonds omniprésents... émeutes de la faim fréquentes... . Délinquance, gangs, mafias souvent liées à des groupements ethniques... Les villes d’Afrique du sud sont particulièrement peu sures. . Activités informelles très développées... 6. Absence de réelle politique de la ville

regardant la télé, en lisant les journaux, en famille ou entre amis, pour constater que le conflit est omniprésent, et qu’il peut engendrer des catastrophes horribles. Des massacres, que ce soit à Auschwitz ou à Verdun, des émeutes comme sur la place Tarir ou dans nos propres banlieues, mais aussi des meurtres et assassinats lorsqu’on se place au niveau de l’individu. Il est donc impossible de ne pas vouloir répondre à la question : Peut-il exister une société sans conflit ? Or les mécanismes et les conséquences

gouvernements tendraient à faire disparaître les disparités raciales et religieuses qui existent au sein d’une population. En effet, le problème majeur en France réside dans l’existence de banlieues/cités, véritables creusets culturels où chaque nouvelle génération a de plus en plus de mal à trouver ses repères en témoigne les émeutes de 2005, la violence étant leur seul moyen de communiquer leur malaise. Le rejet total de l’immigration est impossible aussi paraît il plus judicieux de mettre en place des institutions

1. La violence et ses origines 2. Le rôle des medias dans la propagation de la violence Introduction : La violence est un sujet actuel qui traite d’une réalité sociale plus ou moins divulgué sous son bon angle. Au lendemain des émeutes en banlieue de 2005, qualifiées d’enflammés, il est important de rappeler que les dommages essentiels causés par ces violences n’étaient que par le feu. Aucune victime n’a été enregistrée, si ce n’est que des victimes indirectes et des dégâts matériels

chômage et la Sécurité sociale. Par ailleurs, depuis 1986, l'État s'est globalement désengagé de certains secteurs économiques. Ceci s'accompagne d'une perte de confiance en l'État pour une part de la population, visible autant lors des émeutes de certaines banlieues en 2007 que par le développement du vote pour le Front national, basé en partie sur un rejet de la classe politique. B. Une nouvelle gouvernance : entre alternance et cohabitation • Dans ce contexte, une nouvelle pratique du pouvoir

la présidence de Nicolas Sarkozy est liée au triomphe d’une thématique identitaire, autrement dit de la lutte des races. Selon lui, le discours du futur Président concernait les banlieues, l’identité nationale, l’immigration plus que des thèmes économiques « rationnels ». Il montre par exemple que la crise des banlieues, qui a en fait été une révolte sociale et générationnelle, a été instrumentalisée par le personnel politique, les intellectuels et les médias comme une crise identitaire/religieuse/ethnique

chômage et la Sécurité sociale. Par ailleurs, depuis 1986, l'État s'est globalement désengagé de certains secteurs économiques. Ceci s'accompagne d'une perte de confiance en l'État pour une part de la population, visible autant lors des émeutes de certaines banlieues en 2007 que par le développement du vote pour le Front national, basé en partie sur un rejet de la classe politique. Une nouvelle gouvernance : entre alternance et cohabitation • Dans ce contexte, une nouvelle pratique du pouvoir se met

Sommaire 1 La constitution d’un problème social : le quartier sensible - 7 - 1.1 La stigmatisation territoriale - 7 - 1.2 Les publics, leurs modes de vie et leurs sociabilités en « banlieue » - 11 - 1.3 L’animateur, un opérateur du vivre ensemble - 16 - 2 La logique d’intervention territoriale au service du problème social - 20 - 2.1 La politique de la ville contre la ségrégation - 21 - 2.2 Le travail social : un nouveau modèle d’intervention de l’Etat animateur