Les échanges Non Marchands

bien, ou la satisfaction procuré par la dernière unité consommé du bien. Les échanges : -monétaires : la contrepartie de l’objet échangé est l’argent. -non monétaire : la contrepartie de l’objet échangé n’est pas l’argent. -marchand : il n’y a pas de relation personnelles entre les agents éco. qui échanges. -non marchand : implique l’existence d’une relation particulières entre les deux personnes qui échanges. Niveau de vie : (pouvoir d’achat) quantité de biens et services qu’un ménage

composition d'Histoire 2de Rappel du sujet : «  Les échanges et les villes médiévales en Europe occidentale, du XI° au XIII°siècle » Rédigez introduction & conclusion Aide à la réflexion : Echanges : on peut échanger des biens, donc on pense au commerce, aux villes marchandes, aux ports, aux foires... Mais on peut aussi échanger des informations, des connaissances, des idées, ce qui renvoie aux universités. La nature des échanges n 'étant pas précisée dans le sujet, prendre le mot au

relève-t-elle d’une certaine antériorité? Peut-on en isoler une historicité proprement économique? S’identifie-t-elle à l’extension planétaire des échanges marchands? Se réduit-elle plus prosaïquement à la libéralisation commerciale des vingt dernières années? Est-elle cette instance tant invoquée d’affrontement entre raison étatique et rationalité marchande? Plus que sur d’autres objets d’étude, nous sommes confrontés ici à une multiplicité inquiétante des dimensions de la question envisagée. Nous pouvons

Dépenses principal | Société & SNF (Société Non Financière) + Assos. | -Entreprise privée non financière-Entreprise public non financière | -Produire des biens/services marchand non financier-Distribuer des revenus -crée des emplois | -Montant des ventes-Subvention de l’état/collectivité local | -Salaires-Equipement (conso. intermédiaire, investissement)-P.O. (impôt + cotisation)-Intérêt versé aux banques | S.F. | Banques | -Institution monétaire-Institution non monétaire (crédit foncier) | -Elles prêtent

pour d’autres (destinée à la vente) o production marchande (produit vendu a un prix économiquement significatif) o production non marchande (produit non vendu a un pris significatif, voir pas de pris du tout) • production pour compte propre (ou usage final propre) - La Production pour d’autres 1) Production marchande (PM) Production écoulée ou destinée à être écoulée sur le marché. La production marchande inclus tout tous d’abord les produits vendus à un prix économiquement

contemporaine. 4L'étude du potlatch et de la kula est un des points les plus connus et discutés de l'ouvrage de Mauss. Le potlatch est une lutte de prestige de type agonistique : il consiste en une immense fête qui rassemble une ou plusieurs tribus pour des échanges de cadeaux qui vont jusqu'à la destruction de richesses. Le but poursuivi au cours de cette « lutte de générosité » est d'établir la hiérarchie entre les groupes et leurs représentants. Le plus fort est celui qui aura offert le plus de richesses

Le marché financier. Par ailleurs, traditionnellement, un marché est un rassemblement à but commercial, généralement périodique et dans un lieu prédéterminé, d'agriculteurs, de marchands revendeurs et de personnes acheteuses, consommatrices ou non. Par extension, le mot marché désigne également le lieu aménagé (ou non) où se tient un marché. Pour des raisons de commodité ou de saisonnalité, ce rassemblement peut être organisé dans des lieux ou lors de dates spécifiques : marché aux fleurs, marché

et un outil de prévision des évolutions futures. Les conventions qui président à son élaboration sont : - une délimitation spatiale (le territoire économique) et temporelle (l’année civile) - une comptabilité de flux - une comptabilité monétaire (et non pas en volume). La comptabilité nationale repose sur les agents (acteurs de la vie économiques) et les opérations. I-2 : Les acteurs de la vie économique Ce sont les centres élémentaires de décision économique, ou unités institutionnelles, dont la

semblent constituer, leur donnent accés à des univers fragmentaires, semblables à celui que les économistes se forgent à grand renfort de statistiques marchandes et de modèles bourrés d'équations empiriques. Une telle démarche laisse dans l'ombre la société considérée dans la plénitude de ses déterminations propres et l'énorme système mondial "non-américain" dans lequel leur société est insérée. Sauf exceptions peu fréquentes, la pensée américaine ne peut concevoir ces totalités qu'en ayant recours

d'affaires au Moyen Age est un livre de Jean Favier publié aux éditions Fayard en 1987. Cet ouvrage à pour but de nous présenter et de nous expliquer comme l'homme d'affaires est né, c'est à dire comme est il passé d'un simple « pirate », d'un simple marchand à un homme d'affaires calculant les risques, gérant son affaire... On peut considérer ce livre comme une référence car l'auteur est un passionné du moyen âge, qui a écrit de très nombreux ouvrages à ce sujet et qui aujourd'hui encore s'intéresse