Les échanges Non Marchands

contribution des ménages à l’activité économique. B) La production marchande, l’utilisation des facteurs de production par les entreprises et la détermination de leur offre de biens et services. C) La production non marchande, la redistribution et la régulation opérées par l’Etat. D) Le financement de l’économie par le système bancaire. E) Les échanges internationaux de biens et services, de capitaux, de facteurs.

ayant une meilleur gestion pour que l’impact sur les différents acteurs externes et internes soit performant. Dans une entreprise, le processus de gestion est très important pour faciliter les échanges entre les acteurs économiques pour aboutir à une meilleure rentabilité économique et un gain de temps non négligeable. Yves Rocher, qui est une entreprise privée sera gérée de la même manière qu’une organisation publique, leurs buts est de dégager des bénéfices. Seule la gestion des ressources humaines

rencontrent, celui-ci est institutionnalisé, régulé par plusieurs institutions. 2 p 194 : Selon les économistes libéraux et la pensée d’Adam Smith, le développement du marché résulte de la division du travail, phénomène naturel qui pousse les hommes à échanger. En effet dans le courant libéraliste, les hommes sont poussés naturellement à troquer car ils se sont rendus compte qu’il est toujours plus avantageux de troquer son savoir faire pour subvenir à ses besoins, chacun cherche à satisfaire leur interêts

→ économie monétaire = la monnaie est un élément fondamental et qu'on ne peut pas éliminer de la représentation de l'économie marchande. C'est l'économie des pré-classiques (Aristote, D'Aquin et les scolastiques, le mercantilisme, Marx, Keynes..). Pour D'Aquin, la monnaie a un rôle fondamental car elle trouve l'origine de son rôle dans le consentement des marchands à l'utiliser. Le mercantilisme est le courant qui développe l'économie politique comme art du gouvernement. L'émergence de

0,4%. B - Production marchande et production non marchande La production marchande concerne des biens et des services échangés sur un marché contre un prix. Ce prix doit au moins couvrir les coûts de production (sauf exception). Une production non marchande qui concerne donc ici des services gratuits ou quasi-gratuits mis à la disposition des ménages par l’état ou les collectivités (Exemple : La bibliothèque, la piscine). Il n’y a donc pas ici de marché et les échanges se font aux coups de production

MISSIONS DIVERSIFIÉES - la protection économique du consommateur - la sécurité des consommateurs - la régulation concurrentielle des marchés Une couverture sectorielle étendue à tout le champ de la consommation - les denrées alimentaires - les produits non alimentaires - les services LES CHIFFRES CLÉS 2011 Les contrôles de la DGCCRF 153.000 établissements visités 853.000 actions de contrôle 240.000 prélèvements pour analyse 9.600 contrôles de sites internet -2- 1/ Quels sont les quatre principaux acteurs

L’ECHANGE SUR LES MARCHES L’organisation des échanges Pourquoi échange-t-on ? La division du travail constitue la règle dans notre société. Aucun individu ne peut prétendre à produire tous les biens dont il a besoin. La spécialisation est devenue la règle et chacun va échanger son surplus de production. L’échange a pour conséquence la division du travail. L’intérêt de l’échange c’est qu’il augmente la satisfaction des co-échangistes. A partir du moment où chacun se spécialise dans un domaine

secteur d’activités non concurrentiel, actuellement en plein développement. Après le secteur primaire : les produits du sol, le secteur secondaire : la production industrielle, et le secteur tertiaire : les services publics ou privés, vient s’ajouter aujourd’hui le secteur quaternaire qui concerne les productions sociales et écologiques. Ou si l’on préfère « l’économie solidaire », destinée à compenser la dure déshumanisation de l’économie de marché et qui se distingue par son but non lucratif. 3)-

BRESSON Alain, La cité marchande, Ausonius Scripta Antiqua 2, de Boccard Paris, Bordeaux, 2000, 343 pages. Chapitre XII : Les cités grecques, le marché et les prix pp.263-307. Ce chapitre, avec le chapitre 11, est considéré comme l’exposition de la théorie d’Alain Bresson à propos de l’économie des cités. Cette position constitue un renouvellement historiographique considérable. A prendre quand même avec précaution. Au cours premier XXe siècle, réflexion sur spécificité et place de l’économie

ou caravanière. Il existe partout des entrepreneurs marchands qui vagabondent pour vendre leurs denrées. Les moyens de transport et de communications jouent déjà un rôle décisif et rythment la vie économique. De la région du Tigre et de l’Euphrate provient l’or, du Liban le bois et les pierres, d’Anatolie du fer, de Chypre du cuivre. Le sel était depuis longtemps un des produits qui voyageait le plus. I) Les activités liées aux échanges : la police des mers et la banque 1) D’abord le commerce…