Les Trappes à Bas Salaires

passer d’une logique keynésienne à une néo-classique. Le modèle est flexible, c’est pour sa qu’il est encore utilisé. IS : partit réel I : investissement S : épargne S : demande de monnaie M : offre de monnaie On met en relation le taux d’intérêt réel (r) (différent de i : taux d’intérêt nominal) et le revenu (y). Section 1 : représentation de l’équilibre keynésien I) La fonction d’investissement A) L’analyse de la relation entre

Introduction La question du chômage reste particulièrement critique en France. Alors qu'au sein de l'Union européenne de nombreux pays semblent être parvenus à inverser la tendance, comme l'Irlande, le Danemark ou bien encore l'Espagne, la France ne voit que très modestement son taux de chômage reculer avec un taux moyen pour l'année 2006 de 9,4 %. Il est logique que dans un tel contexte les propositions de réformes, souvent inspirées de modèles étrangers, se multiplient. Parmi les explications

sociale. Dans les sociétés modernes, le travail se différencie des autres activités sociales (temps travail, temps loisir) : c'est que qui conduit à évaluer le travail. De même, le fait que les sociétés modernes deviennent des sociétés salariales (90% population environs) → phénomène majeur. I. Le marché du travail 1. L'emploi et ses mutations A. L'évolution de la population active > Les mesures de la population Taux d'activité : Poids actifs sur la population en âge de travailler

L’idéal démocratique et les inégalités. Au 19ème siècle, Alexis de Tocqueville met en évidence que l’égalité constitue l’idéal des sociétés démocratiques. Il convient de s’interroger sur le type d’égalité à promouvoir. - S’agit-il de donner à tous les individus une même probabilité d’accéder à n’importe quelle position sociale ? - Peut-on tolérer que les inégalités persistent ? - Faut-il se contenter de l’égalité des droits ou faut-il chercher l’égalité réelle entre les individus ?

Zamboni Marie-Thérèse Thème 1 La formation et la répartition des revenus I La formation des revenus Doc 1 et 2 1) Les salariés ( travail-salaires), -l'entreprise (capital,bénéfices) -les propriétaires de l'entreprise (capital ,dividendes) -les banques (capital,intérêts) -l'Etat (impôts, cotisation). 2) 3) Le personnel, l'entreprise et l'Etat sont les bénéficiaires de la valeur ajoutée dans l'économie française. 4) Les revenus primaire se divisent en 3 catégories : -les revenus du travail

>> les cotisations sociales (protection sociale) pour la redistribution horizontale. Est-ce le cas dans tous les pays ? >> non, la France est bien placée derrières les nordiques. Les anglo-saxons accordent peu d’importance à la protection sociale (systèmes au mérite et cotisations individualistes + importants systèmes par capitalisation pour les retraites même si USA = par répartition (12.5% de cotisations)). La redistribution regroupe les opérations par lesquelles

Europe A) Historique et perception de la flexicurité en Europe B) Les 4 composantes de la flexicurité II) Etude de deux pays qui s’opposent: France et Danemark A) Le Danemark: Un modèle de « réussite » B) Un modèle transposable en France ? Conclusion Introduction Avec l’augmentation massive du chômage dans les années 1970, la lutte pour l’emploi est arrivée au cœur du débat politique. L’Europe doit donc réagir. Fin du 20e siècle, plusieurs pays du nord de l’Europe ont réussi à repousser

conjoncturelles Evolutions à CT Evolutions à LT Chapitre 1 : Le chômage Chapitre 2 : L’analyse des fluctuations à CT et le modèle ISLM Chapitre 3 : Le modèle AD AS Chapitre 4 : L’inflation Chapitre 5 : La courbe de Phillips Chapitre 6 : Les fluctuations à LT et l’analyse de la croissance La consommation dépend du revenu et du taux d’intérêt. Le revenu a un effet positif sur la consommation, contrairement au taux d’intérêt. Si le taux d’intérêt augmente, on va être incite à plus épargner donc la

modèle agrégé, à trois secteurs [modifier] Le modèle IS/LM ne part pas d'analyse micro-économique, mais raisonne directement en termes d'agrégats nationaux, dont les interdépendances sont déterminées empiriquement. Dans sa version de base proposée par Hicks, le modèle IS/LM comporte trois secteurs, ou trois marchés : celui des biens, celui de la monnaie et celui des titres. Les biens (considérés dans leur ensemble) sont soit consommés, soit investis ; la production de biens est à l'origine de

|Héritière de l’école marginaliste, « elle envahit de plus en plus la macro |Cette approche a d’ailleurs donné naissance à la comptabilité nationale en | |économie dans le cadre de la recherche sur les fondements micro économique » - |économie de marché dés 1947, et 1952 en France | |B. Guerrien, Dictionnaire d’analyse économique- Repères- p.353). |(Il y a des modèles dès 1920 en URSS : G.Feldman). | |D'où l’importance