Les Totalitarismes Nazi Et Stalinien

Neuilly-sur-Seine 27/11/1920, Grèce – Bulgarie : commissions mixtes, volontariat, but = dédommagement (on estime la valeur des terres récupérées par la Grèce et on rembourse) : avec l’inflation, le dédommagement ne vaut plus grand-chose… Politiques nazies, 38-41 : Hitler promeut une politique démographique respectable ; accord avec Mussolini pour les quelques allemands qui habitent dans les vallées italiennes (1938). Il rapatrie le plus d’Allemands possibles des pays extérieurs (Volksdeutsche). 1939

auparavant la révolution russe, l'autre quitté la France occupée par les nazis. Innombrables sont les migrations d'idées, de conceptions, les symbioses et transformations théoriques dues aux migrations de scientifiques chassés des Universités nazies ou staliniennes. » (Morin, 1994) 4 Il s’agit d’une théorie mathématique de l’information, utilisée notamment en informatique. 4 Le terme « schème » employé par Morin est dérivé des travaux de Piaget. Pour Piaget, le schème de la préhension du bébé

limitation des pouvoirs du Roi, l’inscription dans la Constitution des droits et libertés fondamentales du peuple belge (qui est encore perçu comme une modèle partout dans le monde). Après la Belgique, les deux constitutions les plus libérales sont la stalinienne et celle de Mobutu. La Révolution belge, tout à coup, embête car on a vu récemment celles de la Grèce et de la France. On est déjà loin du mouvement de restauration. Cette Belgique est alliée aux PaysBas. Les grandes puissances qui se sont alliées

démocraties libérales carte A p.69 : Elle fonde un Etat fédéral multiethnique. • Mais une réalité totalitaire :. Doté par la victoire de 1945 d’un grand prestige, Staline renforce son pouvoir personnel et met en place un véritable totalitarisme. Le totalitarisme désigne un système politique dans lequel l'Etat prime sur l’individu et la société et contrôle toute la vie pol, éco, la sté et la culture. o Une souveraineté de la nation inexistente : Doc 4 p.71 : Qui en définitive contrôle

sur l'Europe de l'entre-deux-guerres. Il est intéressant de remarquer que son ouvrage Fallen soldiers. Reshaping the memory of the world wars fut traduit en français en 1999 : De la Grande Guerre au totalitarisme, la brutalisationdes sociétés européennes. L'introduction des concepts de totalitarisme et debrutalisation, opérant ainsi un glissement de sens par rapport au titre initial de l'ouvrage, soulève en lui-même les questions fondamentales qui s'inscrivent au cœur du sujet soumis à notre réflexion

imposée. En ce qui concerne la statistique, au XXe siècle, ses applications industrielles se développent d'abord aux États-Unis, alors en avance sur les sciences de gestion, puis seulement après la Première Guerre mondiale en Europe. Le régime nazi employa des méthodes statistiques à partir de 1934 pour le réarmement. En France, un Bureau des statistiques générales est créé dès le XIXe siècle ; il prend en 1840 le nom qu'il garde jusqu'en 1941 : Statistique générale de la France (SGF). Fin 1936

institutionnalisé & monopolisé. Ces deux critères, entrainement quatre possibilités : - Pouvoir institutionnalisé est faiblement centralisé : la tyrannie, régime totalitaire qui contrôle les forces militaires qui n'a pas de sécurité juridique. L'Etat nazi n'existe pas. - Existence d'un pouvoir faiblement monopolisé et faiblement institutionnalisé : l’Europe féodale est la compétition entre différents fiefs qui sont dans une rivalité permanente. La féodalité repose sur le lien de fidélité. - Existence

Destruction des H : 40-50 millions de morts, dont moitié civils. URSS : 20 m, Pologne : 6 m. Villes, vois de comm°, mines, usines, affectent potentiel écoK des Etats. Espoir d’un monde meilleur à l’heure de la victoire, de la démocratie sur le totalitarisme nazi. Naissance ONU (Nations Unies en 1942, préparée à DIFF conférences : Téhéran (43), Dumbarton Oaks (44), Yalta (45), mais surtout San Francisco en juin 45) : maintient de la paix et fonctionnement démocratique. Cinq membres permanents (gagnants

ce que nous venons d’étudier jusqu’à présent. Pour faire simple et radical, le modèle soviétique et celui que l’on retrouve dans les états de l’Europe de l’est, véritables satellites de Moscou sous l’appellation de démocratie populaire, est un totalitarisme à parti unique. 1) Les caractéristiques du modèle sociétique : a) Les fondements idéologiques du régime : Pour bien comprendre le fonctionnement du système, je ne crois pas inutile de rappeler quelques principes de base que

: Dans l’historiographie, on parle souvent de concepts, de notions et de séquence.    Concepts : il n’est pas possible de réduire la réalité sociale à des concepts, car ils sont changeants et évoluent avec le temps. Par exemple, le terme totalitarisme était d’abord un symbole de la lutte contre le fascisme puis c’est devenu le nom de combat des anti-djiaïdiste. Transmission : il y a un problème dans la transmission des connaissances. Koselleck parle du champ d’expérience des horizons d’attente